mercredi 9 octobre 2024

Marie-Hélène Mercier et Armande Langlois - LAPRISE-MERCIER-TRÉPANIER- LANGLOIS- NOS DERNIERS SURVIVANTS

 LAPRISE-MERCIER-TRÉPANIER- LANGLOIS-  NOS derniers SURVIVANTS


Le 9 octobre 2024, aujourd’hui nos seules  familles survivantes en 2024 vivantes  et soyons tous heureux de pouvoir leurs rendre gloire, près de nous tous en ce jour, Marie-Hélène Mercier et Armande Langlois 

Marie-Hélène Mercier

Née le 2 octobre 1927

Parents : Alfred Mercier et Adèle Rancourt

Mariage
Marie-Hélène Mercier  21 ans & Camilien Lapierre  24 ans
23 avril 1949 à St-Samuel De Gayhurst, Frontenac, Québec
Canada

Enfants : Michel Lapierre, Carole Lapierre, Francine Lapierre et Alain Lapierre 

Armande  Langlois

Née le 17 décembre 1932 à  Saint-Samuel de Gayhurst

Parents : Théophile Langlois et Yvonne Boucher 

Mariage
Armande Langlois 17 ans & Arthur  Mercier 38 ans
28 octobre 1950 Saint-Samuel de Gayhurst

Enfants mariés de Mercier Arthur et Armande Langlois


 Nom

Naissance

Décès

Père

Mère

Époux(se)

 Raymond Mercier

17 déc 1951


Arthur Mercier

Armande Langlois

Boulanger Angele

 Donald Mercier

23 mai 1953


Arthur Mercier

Armande Langlois

Grenier Francine

 Maurice Mercier

22 nov 1954


Arthur Mercier

Armande Langlois

Legendre Mariette

 Mario Mercier

23 juil 1956


Arthur Mercier

Armande Langlois

Bellavance Louise

 Andre Mercier

18 sept 1957


Arthur Mercier

Armande Langlois

Quirion Aline

 Jean-Denis Mercier

15 avr 1961


Arthur Mercier

Armande Langlois

Deschiever Linda

 Rene Mercier

29 mars 1966


Arthur Mercier

Armande Langlois

Isabelle Chantal




 Jacqueline Mercier

    03 août 1959


                  Arthur Mercier

          Armande Langlois

 

La vie c’est un chemin tortueux et rempli de  bonheur  et c'est à nous de choisir le chemin que nous voulons prendre en toute liberté.

Poème à la vie

Le chemin n'est d'abord qu'un sentier fuyant par la prairie,

Où la mère conduit son enfant par la main, aux abords du vallon, le sentier des enfants

Passe dans un jardin. Rêveur solitaire et l'adolescent effeuillé et jette à tous les vents les roses blanches du parterre.

Quand l'amoureux s'égare en ce bosquet charmant, il voit s'évanouir ses chimères lointaines, le démon du mal l'entraîne indolemment au bord des impures fontaines.

Plus loin, c'est l'arbre noir, détourne toi toujours, de l'arbre de la science où flottent les mensonges, des intelligences artificielles.

Garde que ses rameaux ne voilent tes beaux jours, et n'effarouchent tes beaux songes.

En quittant le jardin, la fleur et la chanson, la Jeunesse et l'Amour qui s'endorment sur l'herbe,  vous le voyageur aborde au champ de la moisson, où son bras étreint une gerbe de  sa moisson il va bientôt se reposer sur la blonde colline où les raisins mûrissent :

Pour la coupe enivrante, il retrouve un baiser à ses lèvres qui se flétrissent.

Plus loin, c'est le désert, le désert nébuleux, parsemé de cyprès et de bouquets funèbres enfin, c'est la montagne aux rochers anguleux, d'où vont descendre les ténèbres.

Pour la gravir, passant, Dieu te laissera tout seul sur la terre.

Un ami te restait, mais le voilà qui tombe, et adieu ; l'oubli de tous t’à couvert du linceul,

Et tes enfants creusent ta tombe !

Et, se voyant si loin du sentier où sa mère s'endormait tous les soirs sur son sein palpitant et il essuie une larme amère.

Se voyant loin de vous, paradis regrettés, dans un doux souvenir son cœur se réfugie :

En vain il tend les bras vers la belle saison, il jette des sanglots au vent d'hiver qui brame ; Il a vu près de lui le dernier horizon,


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