Jean Daniaux et Renée Brunet
Jean Daniaux
Né le ………………………………..
Décédé le …………………………..
Marié ……………………………….
Renée Brunet
Née le ………………………………
Décédée le …………………………
Enfants
Françoise Daniau dite Laprise, Jacques Daniaux, Marguerite Daniaux,
Joseph Daniaux, Laurent Daniaux, Pierre Daniaux,
François-Martine Daniaux, Augustin Daniaux, Jean Daniaux
Deuxième génération
Jean Daniau et Marie-Louise Michaud
Jean Daniau
Né vers 1637 à Niort, baptisé au Temple Calviniste, Deux-Sèvres
Décédé à l’âge peut être de 72 ans
Inhumé le 06 janvier 1709 à La Durantaye, Saint-Michel de Bellechasse
Parents : Jean Daniau et Renée Brunet
Première noce
Marié le 10 septembre 1670 à Québec
Contrat de mariage le 31 août 1670 chez le notaire Romain Becquet
Marie-Louise Michaud
Née vers 1647 à Sennevoy-le-Haut, Avallon, Sens
Décédée avant le 02 juin 1686 à Berthier-en-Bas (sur-mer)
Parents : Colonel Brésitte Michel et Marguerite Taistre
Enfants
Jacques Daniau, Marguerite Daniau, Marie-Françoise Daniau
Deuxième noce
Marié le 07 juin 1686 à Saint-Jean Ile d’Orléans
Contrat de mariage le 02 juin 1686 chez le notaire Gilles Rajeot
Françoise Rondeau
Née vers 1672
Décédée à l’âge peut-être de 58 ans
Inhumée le 21 mars 1730 à Saint-Vallier
Parents : Pierre Rondeau et Catherine Verrier
Enfants
Jean Daniau, Guillaume Daniau, François Daniau,
Joseph Daniau, François-Martine Daniau
Daniau dit Laprise. Décédé à 72 ans ou 80 ans; 44 ans au recensement 1681, à Berthier. Date de naissance selon le Fichier Origine. A adjuré la Prétendue Religion Réformée le 06 septembre 1670 à Notre-Dame-de-Québec. Il a dû être baptisé au Temple protestant de Niort. Il se fixe d'abord à la seigneurie de La Durantaye, puis à Berthier
Jean Dagneau dit Laprise, votre premier ancêtre au pays et celui des familles Dagneau, Daniaux, Deniau et Laprise était originaire de Saint-André, ville de Niort, diocèse de Poitiers, autrefois de la province du Poitou. Cette commune fait aujourd'hui partie du département de s Deux-Sèvres.
Jean Daniau dit Laprise doit immigrer en Nouvelle-France le 24 avril 1665 de La Rochelle à bord du Saint-Sébastiendu capitaine du Pas de Jeu, tonnage : 200
Il a été cantonné comme soldat militaire le 24 mai 1665 à la Compagnie du capitaine Jean-Marie Philippe de Vernon de la Fouille au régiment de Carignan-Salières. Il demeure au Fort Barreaux entre Grenoble et Chambéry et il arrive à Québec le 12 septembre 1665 à bord du navire La Justice du capitaine Guillet
Jean Dagneau émigra au Canada vers 1665. Le 10 septembre 1670 il se maria à Québec avec Marie Louise Michaud. Les époux s'établirent à Saint-Thomas de Montmagny. Devenu veuf, Jean Dagneau se remaria à Saint-Jean, Ile d'Orléans, le 7 juin 1686 avec Françoise
Patronyme Daniau
Porté au Québec, le nom est originaire de Niort premier porteur au Québec : Daniau dit de la Prise. Il désigne celui qui est originaire d'un lieu-dit "la Prise", toponyme évoquant un pré, un terrain cultivable pris sur les marais ou sur des terres caillouteuses."
Nom porté dans la Nièvre. Variantes : Daignaud, Daignault. Sans doute une variante de Daniau, autre forme du prénom Daniel. Formes voisines : Daignea, Daigneaux, Dagnaud, Dagnault , Dagneau, Dagneaud, Dagneaux, Daignot.
Variante de Daniau, qui est lui-même un diminutif de Daniel. On trouve beaucoup de Deniau dans le Loir-et-Cher et de Deniaud dans l'Ouest, en Vendée et au nord de la France.
Nom porté dans la Nièvre. Variantes : Daignaud, Daignault. Sans doute une variante de Daniau, autre forme du prénom Daniel. Formes voisines : Daignea, Daigneaux, Dagnaud, Dagnault , Dagneau, Dagneaud, Dagneaux, Daignot.
Variante de Daniau, qui est lui-même un diminutif de Daniel. On trouve beaucoup de Deniau dans le Loir-et-Cher et de Deniaud dans l'Ouest, en Vendée et au nord de la France.
Origine de la famille Daniau
Maury d'Aigneaux, écuyer, alias Amaury qui est nommé avec Jean, son frère, à la Recherche des Francs-fiefs du 23 décembre 1555. Il fut le père de Michel d'Aigneaux, qui vivait en 1555 et qui laissa pour fils.
Michel d'Aigneaux, écuyer, sieur de la Picquanière, qui épousa, le 18 novembre 1603, Anne d'Esquay, veuve d'Olivier de Guerville, écuyer, de la paroisse de Cully et fille de Jean d'Esquay, écuyer, seigneur de Rapilly, Rossel, Trérel etc., et d'Isabeau Le Fournier de Tournebu.
C'était à l'époque de Jeanne d'Arc
Les d'Esquay, d'origine chevaleresque, portaient d'argent au chevron de sable. Michel d'Aigneaux de la Picquanière, fonda aux Deux-Jumeaux, un Libera, moyennant une rente de 14 sols.
Michel D'Aigneauxfut inhumé dans la dite église le 13 février 1647.
Maury d'Aigneaux, inhumé dans l'église de Deux-Jumeaux, le 15 octobre 1608 et qui est mentionné par Roissy en 1599.
Michel laissa un fils, nommé également Michel d'Aigneaux, sieur de la Picquanière, qui est sans doute le même que le sieur d'Aigneaux de la Piquanière passé au Canada et qui ne paraît pas avoir laissé de postérité.
Fils de Maury Daniau ou D'Aigneaux-en-Bessin et Madeleine nom de famille inconnue.
Fils de Maury Daniau ou D'Aigneaux-en-Bessin et Madeleine nom de famille inconnue.
Catholiques et protestants
La Nouvelle-France est catholique
S’il est un sujet qui sépare protestants et catholiques c’est bien celui de l’approche de la mort et de l’accès à un éventuel au-delà.
Disons simplement que pour les catholiquesil y a la nécessité de la confession des péchés, d’un sacrement, de l’intercession du prêtre pour gagner le ciel. Pour les protestants chacun, ayant gagné son ciel par sa façon de vivre sur terre, se présente donc devant Dieu tel qu’il a vécu.
Cette différence explique pourquoi, après la révocation, les protestants les plus fermes,
Disons simplement que pour les catholiquesil y a la nécessité de la confession des péchés, d’un sacrement, de l’intercession du prêtre pour gagner le ciel. Pour les protestants chacun, ayant gagné son ciel par sa façon de vivre sur terre, se présente donc devant Dieu tel qu’il a vécu.
Cette différence explique pourquoi, après la révocation, les protestants les plus fermes,
à l’article de la mort, résistèrent autant qu’ils le purent aux tentatives des prêtres qui voulaient leur donner les derniers sacrements afin qu’ils meurent en appartenant à l’Église catholique, apostolique et romaine. Cette résistance déclencha les plus odieux excès de l’Église catholique à l’encontre des cadavres des “hérétiques”. Ce furent les dépouilles des “opiniâtres” traînées sur la claie infamante et abandonnées dans les champs et pire encore, les cadavres que l’on déterrait pour les juger et les condamner à ce supplice.
C’est pourquoi le problème des sépultures protestantes est difficile et d’un abord délicat.
Avant la révocation les protestants étaient enterrés au mieux dans un “espace” qui leur était réservé dans le cimetière catholique mais le plus souvent ils avaient leurs propres lieux de sépultures.
La révocation change tout: partant du principe qu’il n’y a plus d’hérétiques, ces espaces et les cimetières qui leurs sont réservés sont interdits, tous les défunts doivent être inhumés dans la terre consacrée du cimetière paroissial.
C’est à partir de cette époque que peu à peu, le temps passant, les protestants vont commencer à créer leurs propres cimetières, d’abord en secret (difficile, dans un village de dissimuler à ses voisins le décès d’un membre de sa famille), puis en en demandant l’autorisation auprès de la Sénéchaussée ou du Siège Royal dont dépend la paroisse. Les généalogistes connaissent bien les registres de permis d’inhumer où on peut relever les noms des décédés.
C’est pourquoi le problème des sépultures protestantes est difficile et d’un abord délicat.
Avant la révocation les protestants étaient enterrés au mieux dans un “espace” qui leur était réservé dans le cimetière catholique mais le plus souvent ils avaient leurs propres lieux de sépultures.
La révocation change tout: partant du principe qu’il n’y a plus d’hérétiques, ces espaces et les cimetières qui leurs sont réservés sont interdits, tous les défunts doivent être inhumés dans la terre consacrée du cimetière paroissial.
C’est à partir de cette époque que peu à peu, le temps passant, les protestants vont commencer à créer leurs propres cimetières, d’abord en secret (difficile, dans un village de dissimuler à ses voisins le décès d’un membre de sa famille), puis en en demandant l’autorisation auprès de la Sénéchaussée ou du Siège Royal dont dépend la paroisse. Les généalogistes connaissent bien les registres de permis d’inhumer où on peut relever les noms des décédés.
L’usage de ces cimetières familiaux va durer tout au long de la période du “désert”, de la Révolution,de l’Empire et perdurer jusqu’à nos jours. Cependant, le nombre de ces inhumations dans un terrain familial s’amenuise régulièrement. À partir du concordat, la liberté de culte est reconnue. On verra dans les cimetières communaux des parties réservées à chacun des deux cultes.
Par exemple à Saint-Coutant (79) le cimetière de la commune fut divisé en deux parties, la partie haute réservée aux catholiques, la partie basse aux protestants, chacune ayant sa porte d’entrée. À Mougon, par tradition, la partie droite du cimetière était plutôt utilisée par les protestants et les libres-penseurs et la gauche pour les catholiques et ce, jusqu’à il y a quelques décennies. Des communes ont des cimetières protestants séparés, comme ceux d’Exoudun, La Mothe Saint-Héray, et Saint-Pierre de Melle par exemple.
C’est à ce moment que fut créé le cimetière de La Cournolière dans la commune de Moncoutant. Implantée au bord du bocage vendéen, presque en pays chouan, une forte communauté protestante vit ici. Cet immense cimetière, unique dans le Poitou huguenot, où l’on peut voir sans doute plus d’un millier de tombes est encore régulièrement utilisé par cette communauté.
C’est à ce moment que fut créé le cimetière de La Cournolière dans la commune de Moncoutant. Implantée au bord du bocage vendéen, presque en pays chouan, une forte communauté protestante vit ici. Cet immense cimetière, unique dans le Poitou huguenot, où l’on peut voir sans doute plus d’un millier de tombes est encore régulièrement utilisé par cette communauté.
Automne 1665
Occupation: Soldat au Régiment de la Fouille
Navire no. Capitaine: Guillet
Daniel de Rémy de Courcelle, un militaire, le nouveau gouverneur et neuvième en titre, arrive à Québec le 12 septembre 1665 à bord du Saint-Sébastien.
Arrivée du premier intendant de la Nouvelle-France
Jean Talon, premier intendant de la Nouvelle-France, arrive à Québec le 12 septembre 1665 à bord du Saint-Sébastien. Éviction puis départ inopiné du fondateur et premier gouverneur de Montréal.
Le 23 octobre 1665 c'est le départ définitif pour la France de Paul de Chomedey de Maisonneuve, premier gouverneur de Montréal.
Jean-Daniau dit Laprise embarquée à bord du navire le Justice
Les 117 jours de traversé, embarquement inclus), selon un courrier de Jean Talon au Roy, celui ci a fait une escale près de Tadoussac pour prendre des Pilotes et ce n'est qu'à partir de la que la maladie est tombé sur le navire, il y a compté jusqu' à 80 malades selon Jean Talonet 100 selon les pères Jésuites en y incluant " Le Justice "
Compagnie de la Fouille
Il est l'un des divers ouvrages défensifs érigés au XVIIe siècle le long du fleuve Saint-Laurent, au Québec.
Organisation militaire de la Nouvelle-France
Pendant plus de 150 ans, de 1608 à 1759, la France résiste militairement à plusieurs ennemis, anglais, hollandais ou amérindiens afin de maintenir une colonie en Amérique du Nord, la Nouvelle-France. La défense du pays repose sur trois piliers majeurs, la milice canadienne, les Compagnies franches de la Marine et les Régiments réguliers français.
Jean Daniau ou Dagneau ou Dania dit Laprise, Le premier ancêtre au pays et celui des familles Dagneau ou Daniaux ou Deniau et Laprise était originaire de Saint-.André, ville de Niort, diocèse de Poitiers, autrefois de la province du Poitou. Cette commune fait aujourd'hui partie du département des Deux Sèvres, Poitou, France.
Jean Daniau dit Laprise émigra au Canada vers 1668. Le 10 septembre 1670 il se maria à Québec avec Marie-Louise Michaud. Les époux s'établirent à Saint-Thomas de Montmagny. Devenu veuf, Jean Dagneau se remaria à Saint-Jean, Ile d'Orléans, le 7 juin 1686 avec Françoise Rondeau.
Ils eurent six fils qui continuèrent la lignée. Les descendants de Jean Daniau ou Dagneau dit Laprise se sont surtout multiplié près de Québec, sur les deux rives du Fleuve.
Jean Daniau dit Laprise émigra au Canada vers 1668. Le 10 septembre 1670 il se maria à Québec avec Marie-Louise Michaud. Les époux s'établirent à Saint-Thomas de Montmagny. Devenu veuf, Jean Dagneau se remaria à Saint-Jean, Ile d'Orléans, le 7 juin 1686 avec Françoise Rondeau.
Ils eurent six fils qui continuèrent la lignée. Les descendants de Jean Daniau ou Dagneau dit Laprise se sont surtout multiplié près de Québec, sur les deux rives du Fleuve.
Daniau dit Laprise. Décédé à 80 ans; 44 ans au recensement 1681, à Berthier. A adjuré la Prétendue Réformée le 06 septembre 1670 à Notre-Dame-de-Québec. Il a dû être baptisé au Temple protestant de Niort. Il se fixe d'abord à la seigneurie de La Durantaye, puis à Berthier.
Début 1665 La compagnie La Fouille était en Poste à La Mothe Saint-Héray (Poitou)cette compagnie à probablement été fractionné et une partie aurait été embarqué à bord du
« Justice »
Le 14 septembre le navire le Justice jette l'ancre à Québec avec ses quatre compagnies du régiment de Carignan : Lafouille,Lanoraye, Loubias et Saint-Ours. Il y a contagion à bord et « en tout plus de 100 malades, la plus part à l'hôpital, partie dans la salle des malades, partie dans l'église. Il en meurt quantité ». Le vaisseau le Justice repart
Compagnie de Lafouille
Quitte Québec en octobre pour prendre ses quartiers d'hiver à Trois-Rivières. Une vingtaine de soldats accompagnés de leur capitaine participent aux expéditions de janvier et de l'automne 1666 contre les Iroquois. Envoyée à Château-Richer pour ses quartiers d'hiver de 1667 elle y cantonne jusqu'à son départ en 1668).
Compagnie de la Fouille
Philippe de Vernon, sieur de La Fouille, capitaine
Pierre Ferré, sieur de L'Espine, lieutenant
Charles Du Jay, vicomte de Manereuil, enseigne
Pierre Ferré, sieur de L'Espine, lieutenant
Charles Du Jay, vicomte de Manereuil, enseigne
Sous-officiers
Fort de la Rivière-du-Loup (Louiseville)
Le fort de la Rivière-du-Loup était situé dans la municipalité de Louiseville, en Mauricie
(Québec), à l'embouchure de la rivière du Loup, nommée Mahigan-sipiy par les Algonquins. Il est l'un des divers ouvrages défensifs érigés au XVIIe siècle le long du fleuve Saint-Laurent, au Québec.
Historique
Le fort de la Rivière-du-Loup a été construit à l'automne 1665 par les soldats du Sieur De la Fouille
Trois-Rivières. Fouille qui reçut l'ordre de passer l'hiver à l'embouchure de cette rivière, à sept lieues de Trois-Rivières, en aval du fleuve Saint-Laurent. L'existence de ce fort est à confirmer, peut-être s'agissait-il simplement d'un campement d'hiver.
Ils sont au nombre de trente-six : quatre officiers et trente-deux simples soldats. Les officiers sont : le capitaine Jean-Maurice Philippe de Vernon, Sieur De la Fouille; le lieutenant Philippe Gauthier de Comporté; l'enseigne Charles du JAY, Vicomte de Manereuil; le caporal Guillaume de Lanné, Jean Daniau Dit Laprise sous-officier
Le fort de la Rivière-du-Loup était situé dans la municipalité de Louiseville, en Mauricie au Québec, à l'embouchure de la rivière du Loup, nommée Mahigan-sipiy par les Algonquins. Il est l'un des divers ouvrages défensifs érigés au XVIIe siècle le long du fleuve Saint-Laurent, au Québec.
Le fort de la Rivière-du-Loup a été construit à l'automne 1665 par les soldats du Sieur De la Fouille qui reçurent l'ordre de passer l'hiver à l'embouchure de cette rivière, à sept lieues de Trois-Rivières, en aval du fleuve Saint-Laurent. L'existence de ce fort est à confirmer, peut-être s'agissait-il simplement d'un campement d'hiver.
Les tâches réussies par le régiment étaient nombreuses. Les hommes du régiment construisirent ainsi, sur les rives de la rivière Richelieu, les forts Saint-Louis, Sainte-Thérése et Richelieu immédiatement après leur arrivée en Nouvelle-France afin de renforcer leurs positions contre les Iroquois, qui utilisaient cette rivière comme voie d’attaque. Avec l’aide de ces établissements et, plus tard, de deux autres forts, les Français pouvait attaquer les Iroquois.
Habillement de Jean Daniau dit Laprise
- Pipe de plâtre: on utilisait une pipe pour fumer le tabac qu’on peut facilement trouver dans la colonie.
- Corne de bœuf: pour transporter la poudre à fusil.
- Poire à poudre noire: on portait la poudre noire dans une poche.
- Épée: Les soldats avaient besoin de l’épée, car il y avait beaucoup de combats au corps-à-corps.
- Hache: Il était courant d'échanger son épée contre une hache, moins encombrante et plus utile pour la construction d'abris et même pour le corps-à-corps.
- Fusil: utilisé pour engager l'ennemi sur une plus longue distance.
- Pistolet: pour les distances courtes.
- Bottes en cuir: bottes noires et brunes pour monter à cheval et pour se protéger les pieds
- Chapeau: il s'agissait d'un chapeau à trois pointes très en vogue à l'époque, appelé tricorne.
- Manteau: les manteaux étaient bruns avec des revêtements gris et avaient des rubans noirs qui décoraient leurs chapeaux et leur épaule droite.
- Le drapeau du régiment était une simple croix blanche.
Ce que mangeait Jean Daniau dit Laprise
Les miliciens se nourrissent de ce qu’ils trouvent dans les bois. Quand on manque de gibier, on mange un peu de Pemmican:
Pemmican (du cri pimikan, qui signifie « graisse fabriquée ») est fait de viande séchée, habituellement du Bison, broyée en poudre grossière et mélangée avec une quantité égale de graisse fondue. On peut parfois y ajouter des petites poires (fruits de l'amélanchier) ou d'autres aliments. Refroidi et empaqueté dans des sacs en peau de bison en lots de 41 kg, le pemmican peut facilement être emmagasiné et expédié pour approvisionner le personnel impliqué dans la Traite des fourrures. On attribue à Peter Pond d'avoir fait connaître cette nourriture vitale aux commerçants en 1779, nourriture qu'il a reçue des Chipewyans dans la région de l'Athabasca. ou une sorte de gruau (soupane) que les soldats français appelle de la "colle".
La soupaneest une sorte de bouillie amérindienne, faite d’eau et de maïs ou de blé, de seigle, d’avoine et très appréciée. On pouvait lui ajouter soit du lait, des herbettes, du sucre d’érable ou même de la viande. Il va s’en dire que la préparation pouvait varier beaucoup et ressemblait en quelque sorte à une de nos soupes ou à un plat de gruau, de colle, selon la consistance. "
L'efficacité de la milice canadienne devient rapidement légendaire chez ses ennemis. Les miliciens de la Nouvelle-France entreprennent souvent des expéditions avec des tribus indiennes alliées. Ils ont toutes les opportunités de parfaire leur technique militaire. L'habitant en Nouvelle-France peut être demandé deux fois par année pour aller faire la "petite guerre". « La Nouvelle-France était vraiment une colonie composée d'habitants-soldats.»
Les Habitants devaient l’ustensile au Soldat, c'est à dire le lit; le pot et la place au feu et à la chandelle. A cela s’ajoutait la nourriture, comme viennent de nous le décrire les textes cités plus haut. Cela était valable pour les troupes en France, cependant en Nouvelle-France, il en est tout autrement.
L’envoi par la France de troupes régulières pour la défense du pays, crée le problème du " logement des gens de guerre ", faute de bâtiment adéquat, on loge le soldat chez l’habitant, sauf chez celui qui accomplit déjà, à titre bénévole une fonction publique. Le soldat apportant ses rations, l'habitant fournit le couvert, la place auprès du feu et le coucher; en retour, le soldat peut l'aider dans certains travaux. Au point de vue de la discipline, le militaire relève toujours de son supérieur immédiat et il appartient à ce dernier d'intervenir s'il survient des disputes entre l'habitant et le soldat.
L’envoi par la France de troupes régulières pour la défense du pays, crée le problème du " logement des gens de guerre ", faute de bâtiment adéquat, on loge le soldat chez l’habitant, sauf chez celui qui accomplit déjà, à titre bénévole une fonction publique. Le soldat apportant ses rations, l'habitant fournit le couvert, la place auprès du feu et le coucher; en retour, le soldat peut l'aider dans certains travaux. Au point de vue de la discipline, le militaire relève toujours de son supérieur immédiat et il appartient à ce dernier d'intervenir s'il survient des disputes entre l'habitant et le soldat.
Deuxième génération
François Dagneau dit Laprise et Marie Rousseau
François Dagneau dit Laprise
Né vers 1696
Décédé le 25 juin 1769
Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Inhumé le 26 juin 1769
Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Parents: Jean Daniau dit Laprise et Françoise Rondeau
Marié le 11 février 1725 à
Saint-Pierre -de-la-Rivière-du-Sud
Marie Rousseau
Née le 05 août 1702 à Montmagny
Baptisée le 19 août 1702 Montmagny
Décédée le 19 février 1774 Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Inhumée le 21 février 1774 Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Parents: Jean Rousseau et Marie Des Trois Maisons
Contrat de notaire Michon le 11 février 1725
Enfant
François Daigneault, Jean-Baptiste Dagniau, Prisque Daniau,
Charles Daniau, Reine Dagneau
La bataille de Saint-Pierre en 1776
Au printemps de 1776, la Côte-du-Sud est le théâtre de l’un des épisodes les plus dramatiques de l’invasion de la province de Québec par les Américains. L’allégeance de la population à la couronne britannique est alors sérieusement mise à l’épreuve. Après avoir répondu avec peu d’empressement à la mobilisation des miliciens à la défense de la province en 1774 et en 1775, les sud-côtois sont cependant divisés quand vient le moment de soutenir plus activement la cause républicaine.
Les rebelles pro-américains
Le souvenir des dévastations de la guerre de la Conquête est encore très présent à l’esprit des sud-côtois lorsque les soldats américains commandés par Benedict Arnold, les « Bostonnais », remontent la rivière Chaudière et se présentent devant Québec à l’automne de 1775. L’assaut contre la capitale tourne au désastre le 31 décembre : Arnold est blessé et Montgomery, qui a réussi plus tôt à s’emparer de Montréal, est tué. Malgré cet échec cuisant, l’armée américaine poursuit le siège de la ville depuis leur camp de la Pointe-Lévy jusqu’au printemps.
Durant l’hiver, les Bostonnais se font plus menaçants à l’endroit de la population. C’est ainsi qu’une proclamation menace de la peine de mort ou de l’exil ceux qui s’opposent au Congrès, même en paroles. Les sympathisants à la cause américaine s’efforcent de recruter des rebelles, avec un certain succès. À Sainte-Anne-de-la-Pocatière, Clément Gosselin, gendre de Germain Dionne, se charge de l’enrôlement des rebelles. Germain Dionne, qui, selon le curé Pierre-Antoine Porlier, a beaucoup d’ascendant sur les esprits parce qu’il a été premier bailli, est riche et leur fournit les vivres, les souliers, etc. Mais le curé qualifie de « vagabonds » et de « meurs de faim » ceux qui se laissent séduire par les propos des partisans du Congrès.
Au commencement de février, le sieur Feré, un commissaire du Congrès pour les vivres, vient acheter des provisions du seigneur Duchenay de Saint-Roch pour les troupes rebelles. Il avoue alors au curé de Sainte-Anne la faiblesse de celles-ci depuis leur échec du 31 décembre. C’est une très bonne nouvelle pour les royalistes. Cependant, ceux-ci constatent que peu d’habitants sont prêts à risquer leur vie pour tenter de déloger les troupes américaines de leurs positions.
L’affrontement armé
Les royalistes parviennent à convaincre un certain nombre de miliciens de marcher contre les rebelles. Commandée par Louis Liénard de Beaujeu, seigneur de l’Île-aux-Grues, une avant-garde formée de 50 hommes de Kamouraska, 4 de Rivière-Ouelle, 27 de Sainte-Anne et 25 de Saint-Roch part de Sainte-Anne le 23 mars 1776 avec l’intention de se rendre à Saint-Thomas. Les paroisses situées sur sa route préfèrent demeurer neutres et cherchent même à décourager les royalistes. De Beaujeu répond à cet argument « en annonçant autant de monde par derrière qu’il en avait avec luy ».
L’avant-garde se rend au deuxième quartier général de la milice de Saint-Thomas, où des hommes se chargent de faire du recrutement. Le commandant de Beaujeu envoie alors un courrier au curé Porlier pour faire marcher l’arrière-garde. Les voitures sont assemblées à 4 heures du matin le 26 mars au presbytère de Sainte-Anne quand le sieur Feré vient annoncer une triste nouvelle : « Tout est perdu, s’écria-t-il en entrant, nos gens sont massacrés. M. Charles-François Bailly de Messein, prêtre du Séminaire est du nombre, d’autres ont été faits prisonniers. »
En fait, les témoignages sur l’affrontement entre les miliciens demeurés fidèles à la couronne britannique et les Bostonnais et leurs partisans, qui se déroule à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud le 25 mars, sont contradictoires. Certains parlent de 3 victimes chez les royalistes, tandis qu’une autre source avance le chiffre de 5 victimes canadiennes et de 6 chez les rebelles. Une vingtaine de prisonniers, dont l’abbé Bailly de Messein, sont capturés par les Bostonnais. Les royalistes, retranchés dans la maison du capitaine de milice Michel Blais, se sont heurtés à une force supérieure en nombre (150 habitants pro-rebelles et 80 Américains).
Les rebelles pro-américains
Le souvenir des dévastations de la guerre de la Conquête est encore très présent à l’esprit des sud-côtois lorsque les soldats américains commandés par Benedict Arnold, les « Bostonnais », remontent la rivière Chaudière et se présentent devant Québec à l’automne de 1775. L’assaut contre la capitale tourne au désastre le 31 décembre : Arnold est blessé et Montgomery, qui a réussi plus tôt à s’emparer de Montréal, est tué. Malgré cet échec cuisant, l’armée américaine poursuit le siège de la ville depuis leur camp de la Pointe-Lévy jusqu’au printemps.
Durant l’hiver, les Bostonnais se font plus menaçants à l’endroit de la population. C’est ainsi qu’une proclamation menace de la peine de mort ou de l’exil ceux qui s’opposent au Congrès, même en paroles. Les sympathisants à la cause américaine s’efforcent de recruter des rebelles, avec un certain succès. À Sainte-Anne-de-la-Pocatière, Clément Gosselin, gendre de Germain Dionne, se charge de l’enrôlement des rebelles. Germain Dionne, qui, selon le curé Pierre-Antoine Porlier, a beaucoup d’ascendant sur les esprits parce qu’il a été premier bailli, est riche et leur fournit les vivres, les souliers, etc. Mais le curé qualifie de « vagabonds » et de « meurs de faim » ceux qui se laissent séduire par les propos des partisans du Congrès.
Au commencement de février, le sieur Feré, un commissaire du Congrès pour les vivres, vient acheter des provisions du seigneur Duchenay de Saint-Roch pour les troupes rebelles. Il avoue alors au curé de Sainte-Anne la faiblesse de celles-ci depuis leur échec du 31 décembre. C’est une très bonne nouvelle pour les royalistes. Cependant, ceux-ci constatent que peu d’habitants sont prêts à risquer leur vie pour tenter de déloger les troupes américaines de leurs positions.
L’affrontement armé
Les royalistes parviennent à convaincre un certain nombre de miliciens de marcher contre les rebelles. Commandée par Louis Liénard de Beaujeu, seigneur de l’Île-aux-Grues, une avant-garde formée de 50 hommes de Kamouraska, 4 de Rivière-Ouelle, 27 de Sainte-Anne et 25 de Saint-Roch part de Sainte-Anne le 23 mars 1776 avec l’intention de se rendre à Saint-Thomas. Les paroisses situées sur sa route préfèrent demeurer neutres et cherchent même à décourager les royalistes. De Beaujeu répond à cet argument « en annonçant autant de monde par derrière qu’il en avait avec luy ».
L’avant-garde se rend au deuxième quartier général de la milice de Saint-Thomas, où des hommes se chargent de faire du recrutement. Le commandant de Beaujeu envoie alors un courrier au curé Porlier pour faire marcher l’arrière-garde. Les voitures sont assemblées à 4 heures du matin le 26 mars au presbytère de Sainte-Anne quand le sieur Feré vient annoncer une triste nouvelle : « Tout est perdu, s’écria-t-il en entrant, nos gens sont massacrés. M. Charles-François Bailly de Messein, prêtre du Séminaire est du nombre, d’autres ont été faits prisonniers. »
En fait, les témoignages sur l’affrontement entre les miliciens demeurés fidèles à la couronne britannique et les Bostonnais et leurs partisans, qui se déroule à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud le 25 mars, sont contradictoires. Certains parlent de 3 victimes chez les royalistes, tandis qu’une autre source avance le chiffre de 5 victimes canadiennes et de 6 chez les rebelles. Une vingtaine de prisonniers, dont l’abbé Bailly de Messein, sont capturés par les Bostonnais. Les royalistes, retranchés dans la maison du capitaine de milice Michel Blais, se sont heurtés à une force supérieure en nombre (150 habitants pro-rebelles et 80 Américains).
Les sanctions contre les révoltés
Si la bataille de Saint-Pierre est de courte durée, elle laisse de profondes cicatrices au sein de la population sud-côtoise. D’après la tradition, des pères se sont battus contre leurs fils et des frères contre leurs frères. Après le départ des Américains, au printemps de 1776, le gouverneur met sur pied une commission d’enquête pour s’enquérir de la loyauté des paroisses du district de Québec. Plusieurs officiers de milice qui ont soutenu la cause des rebelles sont remplacés par des candidats loyaux à la couronne britannique. Afin de prévenir de nouveaux soulèvements dans la région, des mercenaires allemands sont aussi cantonnés dans les principales paroisses durant les années suivantes.
Plusieurs rebelles s’étaient rangés du côté des Américains parce que la France soutenait leur cause. Ils espéraient le retour des Français en Amérique si les rebelles réussissaient à chasser les Britanniques. Le ressentiment de certains était si profond qu’ils ont préféré la sanction de l’excommunication de l’Église catholique à la soumission au nouveau régime. Le romancier Philippe Aubert de Gaspé écrit dans les notes de son livre Les Anciens Canadiens (publié en 1864) qu’on retrouvait autrefois le long de la Côte-du-Sud plusieurs tombes d’insurgés à qui on avait refusé une sépulture au cimetière. Dans l’état actuel de la recherche, on n’en connaît cependant qu’un seul groupe de cinq personnes de Saint-Michel.
Parmi ces excommuniés, qui ont été immortalisés par le poète Louis Fréchette, on retrouvait deux femmes. De fait, les sud-côtoises semblent avoir été très hostiles aux Britanniques, qui ont brûlé leurs maisons. L’abbé Charles Trudelle, qui est curé de Saint-François de 1854 à 1876, mentionne ceci dans ses notes historiques sur cette paroisse qui est au cœur des événements tragiques de 1776 : « Les femmes étaient pleines de zèle pour la cause de la révolte et je me rappelle avoir entendu dire à M. Louis Jacques Casault natif de Montmagny, que plusieurs d’entre elles faisaient leurs prières au saint Congrès qu’elles croyaient un saint parce qu’elles n’en entendaient parler qu’en bien et avec éloge. »
La bataille qui se déroule à Saint-Pierre au printemps de 1776 témoigne surtout de la profonde division qui règne au sein de la population sud-côtoise sur l’attitude à adopter face au nouveau régime. Elle marque en quelque sorte le début de l’histoire politique de la région.
Si la bataille de Saint-Pierre est de courte durée, elle laisse de profondes cicatrices au sein de la population sud-côtoise. D’après la tradition, des pères se sont battus contre leurs fils et des frères contre leurs frères. Après le départ des Américains, au printemps de 1776, le gouverneur met sur pied une commission d’enquête pour s’enquérir de la loyauté des paroisses du district de Québec. Plusieurs officiers de milice qui ont soutenu la cause des rebelles sont remplacés par des candidats loyaux à la couronne britannique. Afin de prévenir de nouveaux soulèvements dans la région, des mercenaires allemands sont aussi cantonnés dans les principales paroisses durant les années suivantes.
Plusieurs rebelles s’étaient rangés du côté des Américains parce que la France soutenait leur cause. Ils espéraient le retour des Français en Amérique si les rebelles réussissaient à chasser les Britanniques. Le ressentiment de certains était si profond qu’ils ont préféré la sanction de l’excommunication de l’Église catholique à la soumission au nouveau régime. Le romancier Philippe Aubert de Gaspé écrit dans les notes de son livre Les Anciens Canadiens (publié en 1864) qu’on retrouvait autrefois le long de la Côte-du-Sud plusieurs tombes d’insurgés à qui on avait refusé une sépulture au cimetière. Dans l’état actuel de la recherche, on n’en connaît cependant qu’un seul groupe de cinq personnes de Saint-Michel.
Parmi ces excommuniés, qui ont été immortalisés par le poète Louis Fréchette, on retrouvait deux femmes. De fait, les sud-côtoises semblent avoir été très hostiles aux Britanniques, qui ont brûlé leurs maisons. L’abbé Charles Trudelle, qui est curé de Saint-François de 1854 à 1876, mentionne ceci dans ses notes historiques sur cette paroisse qui est au cœur des événements tragiques de 1776 : « Les femmes étaient pleines de zèle pour la cause de la révolte et je me rappelle avoir entendu dire à M. Louis Jacques Casault natif de Montmagny, que plusieurs d’entre elles faisaient leurs prières au saint Congrès qu’elles croyaient un saint parce qu’elles n’en entendaient parler qu’en bien et avec éloge. »
La bataille qui se déroule à Saint-Pierre au printemps de 1776 témoigne surtout de la profonde division qui règne au sein de la population sud-côtoise sur l’attitude à adopter face au nouveau régime. Elle marque en quelque sorte le début de l’histoire politique de la région.
Troisième génération
Jean-Baptiste Dagneau et Marie-Josephte Morin
Jean-Baptiste Dagniau
Né vers 1729
Décédé le 02 décembre 1791 à Saint-Pierre-de- la-Rivière-du-Sud
Inhumé le 02 décembre 1791 Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Parents: François Dagneau et Marie-Françoise Rousseau
Première noce
Marié le 05 février 1753 à Berthier-en-Bas (Sur Mer)
Marie-Josephte Morin
Née vers 1736
Décédée le 12 juillet 1771 à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Inhumée le 13 juillet 1771 Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Parents: Pierre-Noël Morin et Thérèse Pelletier
Enfants
François Dagneau, Jean-Baptiste Dagneau, Joseph Dagniau, Charlotte Dagneault
Deuxième noce
Marié le 27 février 1775 Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Marie-Euphrosyne Lizotte dit Lizot
Née le 02 septembre 1749 à La Pocatière
Décédée le .............................
Parents: Nicolas Lizotte et Marie-Madeleine Miville
Enfant
Aucun
Quatrième génération
Joseph Daniau dit Laprise et Marie-Josèphe Pellerin
Joseph Daniau dit Laprise
Né le 08 avril 1758 à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Parents: Jean-Baptiste Dagneau et Marie-Josephte Morin
Marié le 17 août 1782 à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Marie-Josephte Pellerin dit Pèlerin
Née le 12 juillet 1761 à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Parents: Louis Pellerin et Geneviève Huard
Enfants
Françoise Dagniau, Pierre Laprise
Cinquième génération
Pierre Laprise et Angélique Gagnon
Pierre Laprise
Né vers 1797
Décédé le .....................................
Parents: Joseph Daniau et Marie-Josephte Morin
Marié le 05 septembre 1815 à Saint-Charles comté de Bellechasse
Angélique Gagnon
Née vers 1797
Décédé le ..................................
Parents: Inconnus
Enfant
Joseph Laprise
Sixième génération
Joseph Laprise et Délima Rose Renaud
Joseph Laprise
Né vers 1830
Décédé le ..............................
Parents: Pierre Laprise et Angélique Gagnon
Marié le 08 janvier 1850 à Saint-Henri-de-Lauzon
Délima Rose Renaud
Née vers 1830
Décédée le ....................................
Parents: Inconnus
Enfant
Pierre Laprise
Quatrième génération
Joseph Daniau dit Laprise et Marie-Josephte Pellerin
Joseph Daniau dit Laprise
Né le 08 avril 1758 à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Décédé le .....................................
Parents: Jean-Baptiste Dagneau et Marie-Josephte Morin
Marié le 17 août 1782 à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Marie-Josephte Pellerin dit Pèlerin
Née le 12 juillet 1761 à Saint-Pierre-de-la-Rivière-du-Sud
Décédée le ........................................
Parents: Louis Pellerin et Geneviève Huard
Enfants
Françoise Dagniau, Pierre Laprise
Septième génération
Pierre Laprise et Délima Provost
Pierre Laprise
Né vers 1850
Décédé le ....................................
Parents: Joseph Laprise et Célina Renaud
Marié le 08 août 1887 à Lambton, Beauce
Rose-de-Lima Provost
Née vers 1850
Décédée le ...........................................
Parents: Inconnus
Enfants
Soupherine Laprise, Rose-Anna Laprise, Joseph Laprise, Arthur Laprise
Huitième génération
Arthur Laprise et Marie-Ange-Agathe-LéonieTrépanier
Arthur Laprise
Né vers 1890
Décédée le .....................................
Parents: Pierre Laprise et Délima Provost
Marié le 27 octobre 1913 à Sainte-Cécile de Whitton
Marie-Ange-Agathe-Léonie Trépanier
Née ..............................
Décédée le 10 février 1975 à Lac-Mégantic
Inhumée à Scotstown
Parents: Gédéon Trépanier et Émilia Nadeau
Enfants
Rose-de-Lima Laprise, Émile Laprise, Louis-Philippe Laprise
Autres mariages de Marie-Ange-Agathe-Léonie Trépanier
Grégoire Deslonchamps
Adrien Lessard