samedi 23 novembre 2013

Arthur Laprise sculpteur de croix à Sainte-Cécile-de-Whitton au mois de juillet 1933

clip_image001 Paroisse Sainte-Cécile-de-Whitton clip_image003Au mois de juillet 1933, un violent orage s'abattit sur la paroisse avec vent et à la stupeur de nos bonnes gens, il tombait des chenilles, pire qu'une épidémie. il s'ensuivit une dévastation des jardins et des potagers en quelques jours, mais ça ne s'arrêta pas là; voilà qu'on s'aperçut que les arbres feuillus fanaient. Les feuilles et même les jeunes écorces se faisaient dévorer. Beaucoup d'arbres ont péri cette année là. clip_image004Devant la gravité de la situation pour chaque cultivateur de la paroisse qui se voyait perdre sa récolte et de ce fait, son moyen de bien nourrir sa famille pour la saison d'hiver qui suivrait,

le curé Ernest Turgeon

leur demanda, le dimanche au prône, de faire le sacrifice de la tempérance et de construire une croix d'au moins deux pieds de haut puis de la planter bien en vue sur chaque terre, tout en bénissant et en demandant à Dieu de sauver les récoltes et de conserver les forêts, sans oublier de le remercier pour le déjà reçu. Je sais que la plupart d'entre-nous travaillent en dehors six jours par semaine; on permet de la fabriquer le dimanche, qu'elle soit en planche ou en branche, pas d'importance; on posa cet acte de foi et le bon Dieu sauva ce qui restait des récoltes. clip_image006C'est ainsi que chacun, quittant l'église, se rendit le jour même planter une croix sur sa terre. Pour plusieurs années, près de la route, on pouvait voir une croix de bois surmonter une digue de roches. Cependant, une seule demeure aujourd'hui; elle a été faite en fer forgé dans une petite boutique par

Arthur Laprise;

il avait décidé de la poser solidement dans la plus grosse roche, où son terrain était le plus élevé. Comme il était tailleur de pierre, il a sculpté dans cette grosse roche un cercle autour du pied de la croix avec points et tranches qui voulaient dire quelque chose qui m'échappe étant trop jeune à ce moment là pour tout comprendre. Sur la petite face, une croix avec un «  M » qui est le même dessin que sur l'envers d'une médaille miraculeuse, tandis que sur la plus grande face, il grava de son mieux cette invocation « Mon Dieu Bénissez Nos Champs ».

  Par un beau matin d'août, étant en promenade chez mon parrain, sa croix étant prête ainsi que la roche, nous montâmes en famille, oncle Arthur Mercier, tante Marie-Ange Trépanier Laprise, Rose-de-Lima Laprise, Émile Laprise , Louis Laprise et moi-même Carment Trépanier dans la carriole tiré par un cheval.

Nous sommes montés jusqu'au cap, à environ deux mille de la maison, sur la côte. Rendu là, il fallait se rendre à pied en traversant une clôture et en marchant environ ( 200 ) deux cents pieds dans le clos de pacage. Je suis resté marqué par la piété avec laquelle il chargea sur son épaule cette croix en fer de ¾ de pouce d'épais et de 36 pouces par 26 pouces pour se rendre la déposer solidement dans son trou, face à la maison. Puis il nous commanda de nous agenouiller tous autour de la croix pour la bénédiction et il remercia Dieu car sa récolte reverdissait.

Arthur Laprise était maintenant convaincu de récolter assez de patates, et autres légumes pour toute sa famille. À sa demande précise à tante Marie-Ange Trépanier Laprise sortit de son tablier un long chapelet que nous avons tous récité à genoux. clip_image008Plusieurs années plus tard, soit en 1959, ma fille, en allant cueillir des bleuets, remarqua une couronne fraîche de lierre sauvage qui était déposée au pied de cette croix et chaque année par la suite, cette couronne fut enlevée, mise par terre et remplacée par une fraîche.

Longtemps on se posa la question, qui vient chaque année refaire cette couronne? Cependant, j'avais remarqué le pèlerinage annuel de son fils Louis Laprise, chaque automne venait faire une marche sur la terre où son père avait été élevé, Louis est décédé le 6 janvier 1979 et en cette année là, plus de couronne. Donc, j'en conclu que c'était bien lui, Louis Laprise qui venait rendre hommage à Dieu et au travail de son père Arthur Laprise.

 Texte de Mme Carmen Trépanier

 Reçu de Lisette Laprise Paloczi

 © Alain Laprise 22 novembre 2013
















vendredi 22 novembre 2013

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Grégoire Deslongchamps marié à Marie-Ange Trépanier Hubou dit Deslongchamps généalogie

Hubou dit Deslonchamps


Première génération


Nicolas Hubou dit Deslongchamps et Madeleine Moulin
Nicolas Hubou dit Deslongchamps
Né vers 1600
Décédé avant le 28 septembre 1649
Parents: inconnus
Marié en 1625 en France
Madeleine Moulin
Née le.............................
Décédée le.....................
Parents: inconnus
Enfants
Mathieu ou Mathurin Hubou dit Deslongchamps,
Françoise Hubou dit Deslongchamps


Mathieu Hubou dit Deslongchamps.


Procureur fiscal de la seigneurie de Montréal, le 03 avril 1677 au 23 février 1678. Il est parrain à Québec, le 24 octobre 1641. Qualifié de serrurier en 1642, on le dit aussi maître armurier. Il devient procureur fiscal du bailliage de Montréal, et habite à Lachenaie, quand le 21 octobre 1676, il achète de Jean Martinet dit Fonblanche un bâtiment rue Notre-Dame.
   
Deuxième génération


Mathieu Hubou dit Deslongchamps et Suzanne Buffer (Bedford)
Mathieu Hubou dit Deslongchamps
Baptisé le 05 mars 1626 à Saint-André, Le Mesnil-Durand au Calvados, France
Décédé le 31 octobre 1678 à Lachenaie
Inhumé le 02 novembre 1678 à Pointe-aux-Trembles
Occupation: Armurier et procureur fiscale
Parents: Nicolas Hubou dit Deslongchamps et Madeleine Moulin
Marié le 28 septembre 1649 à Québec
Suzanne Beffer (Bedford)
Né vers 1633 à Glouchester, Angleterre
Décédée lavant le 29 mai 1694 à Lachenaie
Parents: Gilbert Beffer et Anne Bonne
Enfants
Athanase Huboult, Mathieu Huboult dit Deslongchamps,
Jean Hubou dit Deslongchamps, Geneviève Hubou dit Deslongchamps,
Anne Hubou dit Deslongchamps, Jacques Huboult,
Nicolas Huboult, Charles Huboult, Madeleine Huboult


Mathieu Longschamps, arrivé en 1641; première mention: parrain 24 octobre 1641 Sillery; serrurier en 1642, maître-armurier en 1649; concession d’une terre le 07 avril 1650;membre de la Société de traite de Tadoussac en 1659; marguillier en 1659 et 1661; bourgeois en 1662; procureur fiscal de la seigneurie de Montréal le 03 avril 1677 au 23 février 1678; au recensement 1667 à Québec; sait signer.


Première recrue pour Montréal
Paul de Chomedey de Maisonneuve
Fondateur de la ville de Montréal
                     Mathieu ou Mathurin Hubou dit Deslongchamps (1627 - 1678)

Il est aussi connu sous le nom de
Mathieu Hubou dit Deslongchamps. Il est aussi connu sous les noms de Mathieu Hubou dit Deslongchamps, Mathieu Hubou dit Deslongchamps dit Deslongchamps, Mathieu des Longchamps et Mathieu Hubou dit Deslongchamps ou
dit Des Longschamps.
                                                     Ville-Marie en 1642
Il naît vers 1627 à Menildurand, Normandie, France. Il est procureur fiscal. Il épouse
Suzanne Bedford, fille de Richard Boifaite et Anne Boune le 28 septembre 1649 à Notre-Dame, Québec, Capitale-Nationale, Québec, Canada. Mathurin Hubou dit Deslongchamps vends une propriété avec bâtiments d'un arpent et demi de front sur la rivière Saint-Charles par soixante à Isaac Bédard le 5 mars 1662 à Notre-Dame-des-Anges, Québec. Mathurin Hubou dit Deslongchamps se plaignit que Isaac Bédard n'avait pas tiré son bois ni travaillé à son 'bastiment'. Isaac rétorqua qu'il ne le pouvait pas et même que Hubou dit Deslongchamps l'avait battu.


Le Conseil Souverain en présence de Mgr de Laval ordonna à Hubou dit Deslongchamps de fournir le bois et à Bédard de se mettre au travail de la construction dès les semailles "deffences aux partyes de se mesdire, quereller ny frapper..." le premier avril 1664. Mathurin Hubou dit Deslongchamps, Suzanne Bedford, Anne Hubou dit Deslongchamps, Geneviève Hubou dit Deslongchamps, Charles Hubou dit Deslongchamps, Nicolas Hubou dit Deslongchamps, Jean-Baptiste Hubou dit Deslongchamps, Mathieu Hubou dit Deslongchamps et Athanase Hubou dit Deslongchamps vivaient en 1667 à Québec. Il est inhumé le 2 novembre 1678 à Pointe-aux-Trembles, Île de Montréal, Québec. 



Arrivé en Nouvelle-France en 1641


À Sillery il était serrurier en 1642, puis maître-armurier en 1649 et eu la  concession d’une terre 07 avril 1650; membre de la Société de traite de Tadoussac en 1659 et marguillier en 1659 et 1661; bourgeois en 1662; procureur fiscal de la seigneurie de Montréal 03 avril 1677 au 23 février 1678; au recensement 67 à Québec et sait signer son nom.


Monseigneur François de Laval

Il est aussi gouverneur de la Nouvelle-France (à titre provisoire) à deux occasions : du 23 juillet au 15 août 1663 et du 9 mai 1682 au 9 octobre 1682.

Mathurin Hubou vends une propriété avec bâtiments d'un arpent et demi de front sur la rivière Saint-Charles par soixante à Isaac Bédard le 5 mars 1662 à Notre-Dame-des-Anges,  Québec. Mathurin Hubou se plaignit que Isaac Bédard n'avait pas tiré son bois ni travaillé à son 'bastiment'. Isaac Bédard rétorqua qu'il ne le pouvait pas et même que Hubou l'avait battu. Le Conseil Souverain en présence de Mgr de Laval ordonna à Hubou de fournir le bois et à Bédard de se mettre au travail de la construction dès les semailles "deffences aux partyes de se mesdire, quereller ny frapper..." le premier avril 1664.

Mathurin Hubou, Suzanne Bedford, Anne Huboust, Geneviève Hubou, Charles Huboust, Nicolas Huboust, Jean-Baptiste Hubou, Mathieu Hubou et Athanase Huboust vivaient en 1667 à Québec. Il est inhumé le 2 novembre 1678 à Pointe-aux-Tremble.
Les Iroquois déterrent la hache de guerre


En juin 1641 à Trois-Rivières Montmagny parlemente avec les Iroquois. Les négociations dégénèrent en un bref combat dont le gouverneur sort vainqueur. La guerre est alors officiellement déclarée entre Français et Iroquois. Elle durera jusqu'en 1666. Dès 1634 les excursions des Iroquois dans la colonie avaient recommencé. Elles s'intensifient à partir de 1639 lorsque les Hollandais leur troquent des armes pour des peaux de castor. Montmagny défend aux Français de faire de même avec les Amérindiens. Les Alliés des Français seront dès lors grandement désavantagés. Les guerres iroquoises auront de graves conséquences sur la colonisation : environ un dixième de la population paiera de sa vie; les colons vivant retranchés dans leurs forts, le défrichement et la culture s'arrêteront et la peur empêchera d'autres Français de venir s'y établir.



Flotte à Québec en 1641

La flotte de quatre navires, en tout, arrive en juin d’après Marcel Trudel, qui identifie 57 immigrants sur 100, dont 14 pour Montréal. La recrue montréalaise est arrivée à la fin août à Québec avec un vaisseau des Cent-Associés.
                             
Jérôme Le Royer de La Dauversière, Jean-Jacques Olier et le baron de Fancamp fondent en 1639 la Société Notre-Dame de Montréal pour un établissement sur l’île de Montréal « pour la conversion des Sauvages de la Nouvelle-France ». Les motifs de cette société sont uniquement religieux et ils choisissent pour cette mission un gentilhomme :
Paul de Chomedey de Maisonneuve.
 
Le 9 mai 1641 deux navires partent de La Rochelle. Paul de Chomedy, sieur de Maisonneuve s'embarque dans l'un d'eux avec 25 colons et un prêtre séculier; dans l'autre navire Jeanne Mance, le Jésuite Jacques de La Place et 12 hommes. Quelques semaines plus tôt est parti de Dieppe un troisième navire, ayant à son bord dix hommes et trois femmes. Avec cette première recrue pour Montréal, la Nouvelle-France compte maintenant environ 300 habitants.
 
Jeanne Mance, future fondatrice des Hospitalières de Montréal, celle que l'on surnommera à juste titre co-fondatrice de Montréal, a beaucoup souffert du voyage qui a duré trois mois, quoique son navire « n’expérimenta quasi que de la bonasse ».


Il jette l’ancre à Québec le 8 août. Quant à celui de Maisonneuve, il arrive vers le 20 septembre à Tadoussac. En effet il est cité à cet endroit comme parrain au baptême d’une petite Indienne et Jeanne Mance en est la marraine. Le navire de Maisonneuve a essuyé de si furieuses tempêtes qu’il a relâchées en France trois fois, de plus trois ou quatre hommes ont perdu la vie de même que le chirurgien.


Seigneurie Robert Giffard
    
Mathieu Hubou dit Des Longschamps est un des ancêtres de Sir Wilfrid Laurier
 
Le très honorable Sir Wilfrid Laurier, (né le 20 novembre 1841 et mort le 17 février 1919), est le septième Premier ministre du Canada, poste qu'il occupe du 11 juillet 1896 au 07 octobre 1911. Il est le premier Canadien-français à accéder à ce poste de Premier ministre.
 
Château-Richer
Robert Drouin et Anne Cloutier
 
Selon la carte tracée par l'ingénieur Jean Bourdon en 1641, le nom de Château-Richer ne désigne à l'époque, que le promontoire sur lequel s'élève l'église actuelle.
 
Ce plan indique cependant que le territoire situé entre la rivière du Petit Pré et la rivière aux Chiens est déjà habité par quelques familles qui s'y seraient installées dès 1636. Zacharie Cloutier et son beau-frère, Robert Drouin, sont parmi les r:e colons à s'établir dans la future paroisse de Château- Richer. Le contrat de mariage de Robert Drouin sa première femme, Anne Cloutier, passé dans la maison de Robert Giffard à Beauport en 1636 plus ancien contrat de mariage original conservé au Canada. Briqueteur de métier, Drouin s'installe sa terre située proche de la rivière aux Chiens en 1641. Cent ans plus tard, dans l'inventaire de feu Étienne Drouin, il y a toujours un « four de brique » à cet endroit.


Château Richer Auberge le Petit Séjour


En 1652, en sa qualité de procureur de la Compagnie de Beaupré, réserve un emplacement pour un moulin à vent sur la terre qu'il concède à Olivier Letardif. Le moulin bâti vers 1655, se trouve près du fleuve à l'extrémité nord-est de cette terre située vis-à-vis du cap appelé vulgairement «Château Richer».


On ne sait pas quand le moulin cesse d'être utilisé pour moudre le blé, mais en 1732, la tour de pierre du moulin sert de prison. Il ne reste aucun vestige de cette tour depuis la construction du chemin de fer en bordure du fleuve.


A partir de 1657, Olivier Letardif, seigneur en partie de la seigneurie de Beaupré de 1646 concède les premiers emplacements du dieu et place du Château-Richer. Le premier colon une de ces terres est Guillaume Thibault, le 18 novembre 1657.  C'est par extension que: Château-Richer aurait été donné à l'ensemble de la paroisse, car dans les actes notarié concernant des terres situées dans les environs de ce lieu, on dit qu'elles étaient « proche le Château-Richer ».


Une petite chapelle de bois construite vers 1636 au pied du cap, sous le vocable de Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle, permet aux missionnaires de célébrer la sainte messe devant les premiers habitants de la région pendant plus de vingt ans. En 1658, l'abbé de Queylus, un sulpicien, pose la première pierre de l'église de Château-Richer dédiée au mystère de la Visitation de Notre-Dame.


Deux ans plus tard, lors de sa visite sur la Côte-de-Beaupré, Mgr de Laval y confirme 170 paroissiens. La paroisse de Château-Richer est érigée canoniquement par l'évêque en 1678 et elle obtient sa charte de village en 1753. Plus de deux cents ans plus tard, en 1968, Château-Richer obtient son statut de ville.


Un moulin actionné courant de la rivière à la Puce est construit vers 1661. Dans le premier contrat conservé, datant du 10 me Mgr de Laval accorde à David Estourneau, meunier un bail de sept ans pour les deux moulins de la seigneurie. D'autres moulins sont construits plus tard le long de la rivière du Sault à la Puce: moulins à foule scie et un deuxième farine vers 1850.  Ce dernier est transformé, cinquante plus tard en moulin à carton de fibre. Il cesse de fonctionner en 1938  


                                  Rivière du Sault à la Puce


En 1667, Mgr de Laval fait construire le manoir seigneurial à proximité de l'église. En 1674 ce bâtiment est appelé le Petit Séminaire de Château-Richer dans le grand livre des comptes du Séminaire de Québec. Il sert donc d'école pour les enfants de la seigneurie. Vers 1700, Mgr de Laval fait transférer les élèves qui étudient le latin à Saint-Joachim au petit Séminaire de Château-Richer. Pour l'occasion. Seigneurial est allongé. Le Petit Séminaire de Château-  Richer, trop coûteux à entretenir, ferme, dix ans plus tard. Le manoir seigneurial sera détruit par les Anglais en 1759.


Restaurant Moulin le Petit-Pré à Château-Richer


En 1695, les travaux de construction du moulin du Petit-Pré ou de la Longue-Pointe à Château-Richer sur la terre ayant jadis appartenue à Jean Jolliet, le père de Louis Jolliet, découvreur du Mississipi, sont en cours. Mgr de Laval engage, à cet effet, plusieurs hommes de la seigneurie de Beaupré. Cette farine alimentée par le courant de la rivière Lotinville, connue sous le nom de Petit Pré, est le premier moulin industriel en Nouvelle-France.


Il sert non seulement à moudre les grains des habitants de la Côte-de-Beaupré, mais aussi ceux des marchands de Québec. Le moulin est incendié à quelques reprises au cours de son histoire.
 
Le premier incendie, en 1705, cause peu de dommages, mais le second, déclenché par les Anglais en 1759, ravage le moulin en entier. Le Séminaire de Québec procède à sa reconstruction en 1763 et ajoute une annexe sur le côté ouest de la bâtisse. En 1696, Mgr de Laval fait construire à ses frais, sur un terrain situé au sud du chemin du Roy, près du moulin à vent, une école pour l'instruction et la bonne éducation des filles de la seigneurie de Beaupré.
 


Église Sainte-Famille Île d’Orléans


L’ancien évêque et les directeurs du Séminaire de Québec, en tant que seigneurs de Beaupré, établissent, en 1697, une fondation afin d'assurer d'une manière stable et solide la subsistance des maîtresses de cette école, les Sœurs de la Congrégation de Notre-Dame qui ont établi une mission à Château-Richer en 1689. Le couvent incendié en 1759, n'est pas reconstruit avant plusieurs années, car le Séminaire et les habitants refusent de le rebâtir à leurs frais. En attendant la reconstruction de l'école, qui a lieu entre 1829 et 1830, les petites filles vont en classe de l'autre côté du fleuve, dans la paroisse de la Sainte-Famille à l'île d'Orléans.


En 1748 le manoir seigneurial qui sert de presbytère tombe en ruine et il est jugé préférable de bâtir un nouveau presbytère plutôt que de réparer le manoir. À cet effet, le Séminaire de Québec concède à la fabrique de Château-Richer un terrain situé à proximité de l'église. Les travaux de construction sont effectués en 1749 par le menuisier Prisque Verreau et le maçon Sieur Langevin. Lors de son passage sur la Côte-de-Beaupré en 1756, le marquis de Montcalm passe une nuit dans ce presbytère.


Le Calendrier des Pionniers


À la faveur de notre éphéméride du 14 avril, nous avons dégagé les traits de l'une des plus belles figures qui aient marqué les débuts de la colonisation en Nouvelle-France, Robert Giffard. Nous avons vu que celui-ci obtint la seigneurie de Beauport en 1634 et qu'il s'employa à recruter des colons dans son Perche natal en France. À Mortagne, même, il signa des ententes avec plusieurs candidats, dont Zacharie Cloutier, à qui il promit mille arpents de terre.
 
Ce colon était né en 1590. Il avait par conséquent 44 ans lorsqu'il passa au Canada. Il était accompagné de sa femme, née Dupont (Xainte), de ses filles, Anne et Louise et de ses fils Zacharie, Jean et Charles. En 1635 arrivait un autre colon du Perche, Robert Drouin, né en 1606 et originaire du Pin: son père portait le même nom que lui et sa mère s'appelait Marie Dubois.  
Manoir Robert Giffard


Le 27 juillet 1636, Robert Drouin se choisissait une femme-enfant, la petite Anne Cloutier, qui avait encore 11 ans: en effet, elle avait été baptisée le 19 janvier 1626. Ce jour-là, il y a eut sans doute une animation exceptionnelle au manoir de Giffard. Lui et sa femme, Marie Regnouard, accueillaient un certain nombre d'invités à l'occasion de la signature du premier contrat de mariage en Nouvelle-France. On conserve précieusement ce document aux archives du séminaire de Québec.


Robert Drouin était assisté de son cousin, Barthélémy Lemoine et de leur ami commun, François Bélanger. Quant à Anne Cloutier, bien que ses père et mère aient été là, ce sont le seigneur et la seigneuresse qui lui servaient de témoins, de même que Jean Guyon et Mathurine Robin, deux amis de la promise.


C'est par devant le notaire F. Guyon qu'on passa le contrat.
 
Drouin et la dite Anne Cloutier, y lit-on, du vouloir et consentement des susdits leurs parents et amis, se sont promis et promettent par ces présentes se prendre l'un l'autre par foi et loyauté de mariage, le parfaire et solenniser en sainte face d'église le plus tôt qu'il sera en eux leurs parents et amis avisés.
 
Cette formule vous étonnera peut-être. C'est que la jeune fille n'était peut-être pas nubile. En fait, le mariage ne fit célébré qu'un an plus tard le 12 juillet 1637.


Le dit futur époux, poursuit le contrat, prendra la future épouse avec les droits qui lui peuvent appartenir et le dit futur époux à donné et donne par le mariage faisant à tous et chacun ses biens, terres, maisons à lui venus et échus par le décès de ses défunts père et mère.


Suivant d'autres conditions, puis le tabellion stipule que «  commencera la communauté des dits futurs mariés dès le jour de la bénédiction nuptiale». Enfin le père et la mère de la marié s'engagent à les loger et héberger durant Trois ans.


Ce contrat de mariage est en excellent état de conservation et on y lit facilement les signatures de Robert Giffard, de la fille Marie, de sa femme Marie Regnouard, de François Bélanger, de Martin Grouvel qui assistaient à la rédaction du document, de Mathurine Robin et du tabellion.


Cependant, les deux futurs époux ne savaient signer pas plus que les parents Cloutier d’ailleurs : ils apposèrent donc leurs marques ainsi que deux autres témoins, Noël Langlois et Denis Robert.


Robert Drouin était briquetier. Le 15 mars 1640, il s’engageait devant Martial Piraude à fournir aux hospitalières de Québec sept mille briques «bonnes et suffisantes», livrables le 15 juin suivant «  sur le bord de la rivière proche de Beauport»


Son épouse mourut en février 1648 à 22 ans. Elle laissait deux filles. L’aînée mourut en bas âge. Sa deuxième fille Geneviève Drouin qui maria Romain D’Estrepagny, notre ancêtre à tous.
Troisième génération


Mathieu Hubou dit Deslongchamps et Rose Charbonneau
Mathieu (Mathurin) Hubou dit Deslongchamps
Né le 09 août 1652 Québec
Baptisé le 11 août 1652 à Québec
Décédé le 17 janvier 1723 Saint-François, Île d’Orléans
Inhumé le 17 janvier 1723 à Laval
Parents : Mathieu Hubou dit Deslongchamps et Suzanne Beffer
Ferme Ile d’Orléans 1652
Première noce
Marié le 16 février 1722 Lachenaie, l'Assomption
Rose Charbonneau
Née le 29 avril 1706 Saint-François-de-Sales, Laval
Décédée le 16 mai 1741 Lachenaie
Parents: Joseph Charbonneau et Anne Picard
Enfants
Rose Huboult, Anne Huboult, Catherine Huboult, Josephte Huboult, Athanas Huboult


Deuxième noce
Marié le 29 mai 1694 Lachenaie
Catherine Goulet
Née le 26 novembre 1677 à L'Ange-Gardien comté de Montmorency
Baptisé le 27 novembre 1677 à L'Ange-Gardien comté de Montmorency
Décédée le 07 mai 1707 Montréal
Inhumé le 07 mai 1707 à Montréal
Parents: René Goulet et Catherine Leroux
Enfants
Catherine Hubou dit Deslongchamps,
Athanase Hubou dit Deslongchamps,
Agathe Hubou dit Deslongchamps,


Quatrième génération


Athanase Hubou et  Rose Charbonneau
Athanase Hubou
Né en 1698
Décédé le 29 octobre 1747 Lachenaie
Parents: Mathieu Huboult dit Deslongchamps et Catherine Goulet


Première noce
Marié le 16 février 1722 Lachenaie, l'Assomption
Rose Charbonneau
Née le 29 avril 1706 Saint-François-de-Sales, Laval
Décédée le 16 mai 1741 Lachenaie
Parents: Joseph Charbonneau et Anne Picard
Enfants
Rose Huboult, Anne Huboult, Catherine Huboult, Athanas Huboult


Deuxième noce


Marié le 04 septembre 1741 Lachenaie, Cté L'Assomption
Marie-Agathe Beauchamps
Née le 13 septembre 1716 Saint-François-de-Salle, Île Jésus
Décédée le 15 janvier 1750 Lachenaie
Parents: Pierre Beauchamp et Françoise-Angélique Leclerc
Enfants
Rose Huboult, Anne Huboult, Catherine Huboult, Josephte Huboult,
Athanas Huboult, Jean-Baptiste Deslongchamps,
Agathe Huboult, Marie-Matguerite Huboult
Terrebonne Ile des Moulins


Cinquième génération


Jean-Baptiste Hubou dit Deslongchamps et Marguerite Charles Clément
Jean-Baptiste Hubou dit Deslongchamps
Née le 1745 L'Assomption
Décédé le 28 décembre 1821
Parents: Mathurin  (Mathieu) Hubou dit Deslongchamps


Première noce
Marié le 25 novembre 1688 Lachenaie
Marguerite Charles Goulet
Née le 03 juillet 1744 Terrebonne
Décédée le 07 avril 1777 Québec
Parents: René Goulet et Atherine Leroux


Enfant
Jean-Baptiste Hubou dit Deslongchamps
Deuxième noce
Marié le 11 août 1777 Mascouche
Anne Leclerc
Née le ....................................
Décédée le .............................
Parents: François Leclerc et Marie-Anne Turgeon
Enfants
Louise Huboult, Charles Huboult, Anne Huboult (1), Anne Huboult (2),
Louis Huboult, Archange Huboult, Angélique Huboult, Marguerite Huboult


Troisième noce
Marié le 15 juillet 1799 Repentigny
Élisabeth Gauthier
Née le .......................................
Décédée le..................................
Parents:.........................................
Enfant
Aucun


Sixième génération
Lachenaie maison de pierre


Jean-Baptiste Hubou Deslongchamps et Marie Marguerite Guilbault
Jean-Baptiste Hubou Deslongchamps
Né le 15 septembre 1772 Lachenaie, l'Assomption
Décédé le 30 novembre 1844 Saint-Roch, l'Assomption
Parents: Jean-Baptiste Hubou dit Deslongchamps, Marguerite Charles Clément
Marié le17 novembre 1794 Mascouche
Marguerite Guilbault
Née le 03 mai 1772 Saint-Pierre de Sorel
Décédée le......................................
Parents: Joseph Guilbault et Marie-Josephte Paquet
Enfants
Charles Deslongchamps, Jean-Louis Deslongchamps, Mary Deslongchamps, Michel Deslongchamps, Pierre Deslongchamps, Jean-Baptiste Deslongchamps, Antoine Deslongchamps, Joseph Deslongchamps, Marie Hubout Deslongchamps,


Septième génération


Joseph Hubou dit Deslongchamps et Marie-Catherine Beauchamps
Joseph Hubou dit Deslongchamps
Né le 19 août 1798 Mascouche
Décédé le 01 octobre 1832 Saint-Roch de l'Achigan
Parents: Jean-Baptiste Hubou Deslongchamps et Marie-Marguerite Guilbault
Marié le 27 avril 1819 Saint-Roch de l'Achigan


Saint-Roch-de-l’Achigan
Marie Catherine Beauchamps
Née le 12 janvier 1800 Saint-Roch de l'Achigan
Décédée le .....................................
Parents: Jean Beauchamp et Marie-Louise Soucy
Enfants
Catherine Deslongchamps, Marguerite Deslongchamps, Joseph Deslongchamps,
François-Xavier Deslongchamps, Louise Deslongchamps, Marie Deslongchamps


Huitième génération


François-Xavier Deslongchamps et Marie Émile Lavallée
François-Xavier Deslongchamps
Né le 22 août 1825 à l'Assomption
Décédé le 16 octobre 1907 Stratford Centre
Inhumé le 19 octobre Stratford Centre
Parents: Joseph Hubou et Marie-Catherine Beauchamp
Marié le 16 octobre 1849 à Worcester, Mass
Marie-Émilie Lavallée
Née le 13 août 1832 Saint-Pierre-de-Sorel, Richelieu
Décédée le 19 mai 1910 à Stratford Centre
Parents: Louis Lavallée 1799 et Marie-Archange Bergevin 1809
Enfant
Pierre Deslongchamps, Marie-Aline Deslongchamps, Alix Deslongchamps,
Louis Napoléon Deslongchamps, Alexandre Deslongchamps,
Louis-François Deslongchamps, Clarence Deslongchamps,
Odilon Deslongchamps, Philippe Alfred Deslongchamps,
Apolline Deslongchamps, Joseph Henri Deslongchamps,
Marie-Élise Deslongchamps


Pierre Deslongchamps
Né le 04 mai 1854 Webster, Worcester, Mass
Décédé le ......................................
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée

Marie Aline Deslongchamps
Née le 02 mai 1856 Saint-Gabriel de Stratford
Décédée le 31 juillet 1939 Trurners Falls, Franklin, Mass
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée
Alix Deslongchamps
Né le 05 mai 1858 Saint-Gabriel de Wolfe
Décédé le .........................................
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée

Louis Napoléon Deslongchamps
Né le 26 mars 1860 Saint-Gabriel de Wolfe
Décédé le 27 avril 1861 Saint-Gabriel de Stratford
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée
Alexandre Deslongchamps
Né le 01 septembre 1861 Saint-Gabriel de Stratford
Décédé le ............................................
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée
Louis François Deslongchamps
Né le 29 mars 1863 Saint-Gabriel de Stratford
Décédé le 25 juin 1877 Saint-Gabriel de Stratford
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée
Clarence Deslongchamps
Née le 02 avril 1865 Saint-Gabriel de Stratford
Décédée le .......................................
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée

Sorel vieille gare

Philippe Alfred Deslongchamps et Exilire Mary Jobin
Philippe-Alfred Deslongchamps
Né le 16 avril 1870 Saint-Gabriel de Wolfe
Décédé le.........................................
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée
Marié le 14 février 1900 Whitefield, NH
Exilire Mary Jobin
Née vers 1863 Coaticook, Compton
Décédée le 19 octobre 1939 Brockton, Plymouth, Mass
Parents: Joseph Leon Jolin et Célina (Lena) Leclaire
Enfants
Joseph Alphonse Deslongchamps,
Alfonso P. Deslongchamps,
Arthur Deslongchamps,
Wilfred Arthur Deslongchamps
Apolline Deslongchamps
Née le 01 janvier 1872 Saint-Gabriel de Stratford
Décédée le .........................
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée
Joseph Henri Deslongchamps
Née le 13 septembre 1873 Saint-Gabriel de Stratford
Décédé le 10 décembre 1923 Montague City, Franklin, Mass
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée
Marie Élise Deslongchamps
Née le 13 mars 1875 Saint-Gabriel de Stratford
Décédée le ....................................................
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie-Émile Lavallée



Neuvième génération


Odilon Deslongchamps et Marie-Arzélie Picard
Odilon Deslongchamps
Né le 11 juin 1868 à Stratford
Décédé le 04 mai 1959 Saint-Gabriel de Stratford
Parents: François-Xavier Deslongchamps et Marie Émile Lavallée
Marié le 25 juillet 1892 Stratford Centre
Marie-Arzélie Picard
Née vers 1872
Décédée le........................................
Parents: Jean-Baptiste Picard et Marcelline Thibault
Enfants
Grégoire Deslongchamps, Marie-Cécile Deslongchamps,
Marie Deslongchamps,
Arthur Deslongchamps, Rose-Délima Deslongchamps


Marie-Cécile Deslongchamps
Née le 17 mars 1895 Stratford
Décédée le ................................
Parents: Odilon Deslongchamps et Marie-Azélie Picard
Marie Deslongchamps
Née le 12 avril 1896 Stratford
Décédée le..............................
Parents: Odilon Deslongchamps et Marie-Azélie Picard
Arthur Deslongchamps
Né le 20 mai 1897 Stratford
Décédé le .............................
Parents: Odilon Deslongchamps et Marie-Azélie Picard
Rose-Délima Deslongchamps
Née le 03 juillet 1898 Stratford
Décédée le ......................................
Parents: Odilon Deslongchamps et Marie-Azélie Picard


Dixième génération


Grégoire Deslongchamps et Laure Labrecque
Grégoire Deslongchamps  
Né 04 janvier 1894 Stratford
Décédé 28 octobre 1962 à Sherbrooke
Parents: Odilon Deslongchamps et Marie-Aglaé-Arzélie Picard


Première noce
Marié le 24 octobre 1914 Stratford Centre
Laure Labrecque
Née vers 1894
Décédée le..................................
Parents: Hilaire Labrecque et Artémise Mercier
Enfants
Bernadette Deslongchamps, Renaud Deslongchamps,
Bertrand Deslongchamps, Marguerite Deslongchamps


Deuxième noce
Marié le 29 octobre 1938 à Nantes, église Notre-Dame-du-Bon-Conseil
**Marie-Ange-Agathe-Léonie Trépanier
Née le 12 février 1898 East Broughton
Décédé le 10 février 1975 Lac-Mégantic
Parents: Gédéon Trépanier et Émilia Nadeau
Marie-Ange-Agathe Léonie Trépanier
Veuve d'Arthur Laprise
Enfants
Rose-de-Lima Laprise, Émile Laprise, Louis-Philippe Laprise

Autres mariages de Marie Ange Agathe Léonie Trépanier
Pierre Lessard


M9 registres civils
Stratford Centre 1914 page 14

24 août 1914 – Grégoire Delongchamps, Il est né le 4 janvier 1894 à Stratford, Québec fils mineur de Odilon Delongchamps et Arzélie Picard de cette paroisse et Laure Labreque, fille mineure de Hilaire Labreque et Arthemise Mercier

Il se remarie le 29 octobre 1938 à Nantes, Notre-Dame-du-Bon-Conseil à Marie-Ange Trépanier, veuve Arthur Lapierre mais doit lire Arthur Laprise (source BMS2000)
et meurt le 28 octobre 1962 à Sherbrooke (source BSQ)

Il signe Grégoire Deslongchamps


Onzième génération


Marguerite Deslongchamps
Née le 27 mars 1933 Saint-Agnès de Lac-Mégantic
Décédée le................................
Parents: Grégoire Deslongchamps et Laure Labrecque


Renaud Deslongchamps et Thérèse Archambault
Renaud Deslongchamps
Né le 12 avril 1925 Saint-Agnès de Lac-Mégantic
Décédé le........................
Parents: Grégoire Deslongchamps et Laure Labrecque
Marié le 01 juillet 1950 L'Assomption
Thérèse Archambault
Née le..............................
Décédée le...............................
Parents: Ernest Archambault et Rolande Reed


Bertrand Deslongchamps
Né le 27 mars 1927 Saint-Agnès de Lac-Mégantic
Décédé le.........................
Parents: Grégoire Deslongchamps et Laure Labrecque



Bernadette Marie-Rose Antoinette Deslongchamps et Léandre Couture
Bernadette Deslongchamps
Née le 09 juillet 1922 Saint-Agnès de Lac-Mégantic
Décédée le ..........................................
Parents: Grégoire Deslongchamps et Laure Labrecque
Mariée en 1943
Léandre Couture
Né le 17 septembre 1923 Saint-Samuel-de-Gayhurst
Décédé le..........................
Parents: Didace Couture et Délia Fortier




















© Alain Laprise 22 novembre 2013