vendredi 30 mai 2014

Pierre Elliott Trudeau le fils de l'Homme

Pierre Elliot Trudeau ne put aller à Ottawa
sans bâtir l'église multiculturel corrompu


Mesurez alors l'imposture de la politique depuis un siècle


Le Fils de l'Homme, ayant Pierre Elliott Trudeau pour image, alors il est certain que ce Pierre est un imposteur.


Or, le Fils de l'Homme annoncé par la politique est bien parmi nous, on s'en persuade en lisant entièrement pour que sa vie nous ouvre les yeux, dans lequel il démontre que Pierre Trudeau n'a jamais été autre que le personnage d'une mystification rocambolesques de sa haine des québécois Canayen. Il tente de nous expliquer que tous ses descendants seront à l'image de l'Agneau, du Fils de l'Homme lui-même Pierre qui est le seul et unique dans la course. Pierre sur cette pierre je bâtirai des paradis fiscaux.
Personne ne peut donc être le remplaçant de celui qui n'était pas encore venu... Aucun ne peut être son vicaire ni sa représentation... Ce qui condamne la secte libéral qui fait croire ce qui n'est pas sur Pierre Trudeau, la prophétie, la résurrection des valeurs canadiennes anglicanes, la pâque, la trinité, la séparation des boucs et des brebis par le Fils de l'Homme juste avant la fin du monde, c'est à dire du Canada, Canayen.  Réveillez-vous l'apocalypse, et tous les discours libéraux vont s'accomplir aujourd'hui à l'aube de la révolution libertaine de Castro et de Mao en Amérique.
En fin des écritures, Pierre Trudeau nous dit :
Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son œuvre. Donc, nous mettrons le Canada et le Petit Québec à nos pieds.  Toutes les commissions judiciaires n'arriverons  jamais à démontrer notre corruption légalisée par nos propres lois.
Peut-on faire fi de cette annonce de Pierre Trudeau ? Si on croit en Dieu «Stephan Harper» et en ses prophètes «Thomas Mulcair» et «Philippe Couillard» qu'ils envoient un peu partout pour semer la bonne nouvelle.  On ne peut donc qu'attendre que Pierre Elliott Trudeau sous la forme démoniaque se présentera sous un autre nom «Justin Trudeau».
Dans le Livre de Vie de Pierre Elliott Trudeau l'immolé, qui est son esprit soyez-en sûrs, il rend effectivement à chacun selon ce qu'est son œuvre. Être maître chez-vous car le chez-vous m'appartient, je suis l'empereur et le sauveur Canayen, de l'identité national. Et ce n'est pas toujours agréable à entendre de votre part, veuillez vous en tenir pour dit.


Ceux qui adorent la bête Justin Trudeau frivole seront à l'éprouve déjà, car ils s'opposent farouchement au vrai Fils de l'Homme «Philippe Couillard» qui prédit pour nous des jours difficiles. Ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour l'empêcher dans sa mission libérale, alors que sans lui il ne pourra y avoir de survivants dans l'Apocalypse vicieux qu'ils amènent à leur insu des belles enveloppes pourvues d'argent.
L'état actuel du Canada montre que le monde donne ses dernières représentations et qu'il n'aura pas d'autre chance que celle que le Messager lui donne. S'opposer au Fils de l'Homme «Justin Trudeau», comme le font ceux qui sont sous la coupe des sectes religieuses, est criminel et punissable en conséquence d'un tel crime. Aucun n'échappera à son jugement de bozo le clown selon un sénateur à Ottawa.



Muhammad Iqbal tue et lapide ses deux femmes. Est-ce leurs coutumes????

Femme enceinte lapidée: Sharif exige des «mesures immédiates»

29 mai 2014 11h58 | Agence France-Presse - à Islamabad | Actualités internationales
 Photo : Agence France-Presse (photo) Aamir QureshiManifestation ce jeudi à Islamabad contre le meurtre de Farzana Parveen, 25 ans, qui a été battue à mort mardi à coups de briques par sa propre famille devant un tribunal en plein centre de Lahore.
Le premier ministre pakistanais Nawaz Sharif a exigé jeudi des mesures urgentes dans l’affaire de la femme enceinte lapidée par sa famille et dont le mari a admis avoir tué sa première épouse donnant à ce drame une tournure shakespearienne.

Farzana Parveen, 25 ans, avait été battue à mort mardi à coups de briques par une trentaine de membres de sa propre famille devant un tribunal dans le centre de Lahore, ville de plus de dix millions d’habitants dans la province centrale du Penjab.

Crime de cette Juliette pakistanaise: s’être mariée par amour à son Roméo local sans l’assentiment de sa famille dans un pays où les unions demeurent le plus souvent arrangées.

La police a arrêté le père de Farzana, mais le reste de la famille cavale encore en liberté.

Le premier ministre Sharif a demandé jeudi aux autorités de la province du Penjab de «prendre des mesures immédiates» concernant ce crime «totalement inacceptable» survenu «devant la police».

Au Pakistan, des lois en vigueur depuis le début des années 2000 interdisent les mariages forcés et pénalisent les crimes d’honneur, mais se heurtent à des coutumes ancestrales ou à une interprétation rigoriste de l’islam.

Mais la police refuse le plus souvent d’intervenir dans ces affaires familiales. Et des associations locales dénoncent des dispositions de la loi permettant à des meurtriers d’échapper à la justice s’ils paient la «diya», le «prix du sang».

Dans un rebondissement aussi inattendu que macabre, le veuf de Farzana, Mohammad Iqbal, un fermier de 45 ans, a avoué jeudi avoir tué sa première épouse, mais avoir justement échappé à la justice en échange du prix du sang.

«J’étais amoureux de Farzana et c’est à cause de cet amour que j’ai tué ma première femme... par strangulation», a-t-il déclaré à l’AFP dans un entretien téléphonique.
Le fils du couple avait à l’époque porté plainte contre son père, mais l’avait ensuite pardonné après le versement du «prix du sang».

«Iqbal a tué sa première épouse il y a six ans. Il avait été arrêté, puis relâché après avoir trouvé un compromis avec sa famille», a confirmé à l’AFP Zulfiqar Hameed, un responsable de la police enquêtant sur le meurtre de la jeune Farzana.

En liberté, le meurtrier a convaincu Farzana de l’épouser, mais après un accord initial, la famille de la jeune femme a exigé le versement d’une dot plus généreuse, ce que Mohammad Iqbal a refusé, selon ce dernier.

Le couple s’est marié malgré le refus final de la famille de Farzana qui s’est sentie «déshonorée» par la jeune femme, et non le mari qui se dit désormais victime de «menaces de mort».

Au Pakistan, près de 1000 femmes ou adolescentes ont été tuées l’an dernier pour avoir «déshonoré» leur famille, selon la Commission nationale des droits de l’Homme, qui dénonce «l’impunité» dont jouissent les auteurs de ces meurtres.

«Le gouvernement doit prendre des mesures fortes et urgentes pour mettre fin à ce flux continu de soi-disant — meurtres d’honneur — ...», a déclaré la Commissaire des Nations unies sur les droits de l’Homme, Navi Pillay. Car «il n’y a pas la moindre trace d’honneur à tuer une femme...», a-t-elle ajouté.

Le chef de la diplomatie britannique William Hague s’est dit «révulsé» jeudi par le «meurtre atroce» de Farzana Parveen et a exhorté Islamabad à prendre des mesures rapides pour traduire en justice les auteurs ce crime et juguler cette pratique.

«Il n’y a absolument rien d’honorable dans les crimes d’honneur et j’en appelle au gouvernement pakistanais de faire tout ce qui est en son pouvoir pour éradiquer cette pratique barbare», a-t-il déclaré.

Muhammad Iqbal kills and lapidated 2 of his wifes? What kind of religion that is?

Muhammad Iqbal said police did nothing to stop the stoning
Pakistani Prime Minister Nawaz Sharif has described the stoning to death of a woman by her family in front of a Lahore court as "totally unacceptable".
Farzana Parveen, who was three months pregnant, was pelted with bricks and bludgeoned by relatives furious because she married against their wishes.
Her husband told the BBC that police simply stood by during the attack.
Lahore's police chief has denied this and said Ms Parveen had been killed by the time police arrived at the scene.
There are hundreds of so-called "honour killings" in Pakistan each year.
This incident has prompted particular outrage as it took place in daylight while police and members of the public reportedly stood by and did nothing to save her.
Prime Minister Nawaz Sharif has ordered the chief minister of Punjab province to take "immediate action" and submit a report by Thursday evening.
'Inhuman'
"They watched Farzana being killed and did nothing," her husband, Muhammad Iqbal, told the BBC.
Mr Iqbal described the police as "shameful" and "inhuman" for their failure to stop the attack.
 Police questioned witnesses as Ms Parveen's bloodied body lay on the pavement
"We were shouting for help, but nobody listened. One of my relatives took off his clothes to capture police attention but they didn't intervene," he added.
Another witness told Reuters news agency that police ignored the attack.
"Policemen were standing outside the High Court, but no policeman came forward. In spite of the noise, no policeman took the trouble of coming forward to save her," the witness, who was not named, said.
However, Lahore police chief Shafique Ahmad questioned Mr Iqbal's credibility, and told the BBC that police did not stand by while the attack occurred.
Police were a distance away, and were told by a member of the public that a scuffle was taking place outside the court, Mr Ahmad said.
By the time police arrived, Ms Parveen had been killed after being hit on the head with a brick, he added.
Arranged marriages are the norm in Pakistan, and to marry against the wishes of the family is unthinkable in many deeply conservative communities.

jeudi 29 mai 2014

Paradis Pierre et Barbe Guyon dite Dion - Généalogie Famille Champagne et Poulin Lewinston Maine USA

Paradis



Pierre Paradis et Barbe Guyon
Pierre Paradis
Né le 20 juillet 1604 Notre-Dame de Mortagne, Chartres
Décédé le 29 janvier 1675 Sainte-Famille, Ile d’Orléans
Parents: Jacques Paradis et Marie LePelle
Marié le 11 février 1632 Mortagne, Sees, Perche
Barbe Guyon dite Dion
Née le 19 avril 1617 Saint-Jean de Mortagne
Décédée le 27 novembre 1700 Saint-Pierre, Ile d’Orléans
Parents: Jean Guyon et Mathurine Robin
Enfants
Marie-Anne Paradis, Jacques Paradis, Guillaume Paradis, Pierre Paradis,
Jean Paradis, Madeleine Paradis, Marie-Madeleine Paradis,
Jean Paradis, Louise Paradis, Charlotte Paradis, Marguerite Paradis


Chartres France
Sa profession était maître coutelier


Le métier de coutelier était jadis fort respecté. Dès le X11e Siècle, ce terme
regroupait des spécialités. ll y avait par exemple des fèvres-couteliers, le premier de ces deux mots signifiant "artisan", des couteliers faiseurs de manches, car l'on attachait beaucoup d'importance à l'élégance de l'instrument, et des taillandiers-émouleurs, chargés d'assurer le fil tranchant des lames. A la fin du XVe siècle, chaque maître coutelier devait posséder son poinçon déposé en lieu sûr pour éviter toute contrefaçon.


Pierre Paradis est baptisé le 20 juillet 1604, à la paroisse Notre-Dame de Mortagne, dans la capitale du Perche. Il est le fils de Jacques Paradis, coutelier de métier et de Michelle Pelle.


Tous ceux qui portent le nom de Paradis, descendent de Pierre et de son mariage le 11 février 1632, avec Barbe Guyon. Cette dernière, baptisée le 19 avril 1617, est plus jeune que son mari de 13 ans. Elle est la fille aînée de l'ancêtre Jean Guyon, sieur DuBuisson et, de Mathurine Robin qui sont aussi venus, en Nouvelle-France, au printemps de 1634.
Pierre Paradis arrive en Nouvelle-France le 01 juillet 1652, comme armurier, de son métier. Le couple a douze enfants, dont huit sont nés en France, puis de ceux-là, trois nous lient avec l'ancêtre, dans cette généalogie. Une quatrième nous lie aussi, née à Beauport, dans le fief du Buisson et baptisée Madeleine Paradis, à Québec, en 1653. Elle est la neuvième enfant du couple.


Madeleine Paradis épouse Nicolas Roussin, en 1667, mais décède à la naissance de son premier enfant Marie Roussin, en 1669. Cette dernière épouse en 1685, Pierre Tremblay, fils des ancêtres Pierre Tremblay et Ozanne Achon. Par Marie Roussin et Pierre Tremblay, neuf enfants du couple créent des liens de descendance jusqu'à nous, toujours dans cette généalogie.


Revenons aux trois enfants nés en France et qui ont franchi l'Atlantique avec leurs parents. Tout d'abord, Marie Paradis, née à Mortagne, en 1642, qui devient l'épouse le 16 octobre 1656, à l’âge de 14 ans, de l’ancêtre Guillaume Baucher, dit Morency, à qui elle donne treize enfants. Guillaume Baucher est originaire de la ville de Montmorency, près de Paris, où il est né vers 1630, dans la paroisse de l’église Saint-Martin. Guillaume Baucher est mort en octobre 1687 et sa veuve, Marie Paradis, le 15 décembre 1708.
Le deuxième enfant venu de France, Guillaume Paradis, est baptisé le 24 septembre 1644, à Sainte-Croix de Mortagne au Perche. Il épouse en 1670, Geneviève Milloir, fille de l'ancêtre Jean Milloir et de Jeanne LeRoy. Douze enfants naissent au couple, dont Ignace Paradis qui épouse Marie-Anne Turcotte.


Puis, le troisième, Pierre Paradis, est baptisé le 2 octobre 1647, à Ste-Croix de Mortagne au Perche. Il suit fidèlement l'exemple de son frère et choisit pour compagne de vie en 1674, Jeanne Milloir, la sœur de Geneviève. Ils ont quant à eux, quinze enfants, dont Anne Paradis qui épouse Pierre Bouchard, dit Dorval, en 1709.


L'ancêtre, Pierre Paradis décède le 29 janvier 1675, à St-Pierre de l’île d’Orléans et est inhumé le 30, à Ste-Famille de l’île d’Orléans. Sa veuve, Barbe Guyon, demeure plusieurs années chez sa fille Marie Paradis, épouse de Guillaume Baucher, dit Morency, à Ste-Famille de l’île d’Orléans. Elle est inhumée le 29 novembre 1700, à St-Pierre, de l’île d’Orléans.


Navire venue en Nouvelle-France


Navire numéro 674 de Jean Pointel Maître Jean Pointel En provenance de Rouen Arrive à Québec le 01 juillet 1652 et le navire au retour vers la France le 20 octobre 1652 à l’Ile aux Coudes
Deuxième génération


Pierre Paradis et Marie-Jeanne-Anne Milloir ou Millouer
Pierre Paradis
Né le 02 octobre 1747 Sainte-Croix, Mortagne, Perche
Décédé le 03 décembre 1700 Saint-Pierre Ile d’Orléans
Parents: Pierre Paradis et Barbe Guyon
Marié le 23 août 1674
Marie-Jeanne-Anne Miloir, Milouer
Née le 24 mars 1656 Québec
Décédée le 10 décembre 1700 Saint-Pierre Ile d’Orléans
Enfants
Marie Paradis, Joseph Paradis, Jeanne Paradis, Claire Paradis (1),
Anne Paradis, Charles Paradis, Angélique Paradis,
Madeleine Paradis, Geneviève Paradis (1), Charles Paradis (2),
Barbe Paradis, Élisabeth Paradis, Geneviève Paradis (2), Pierre Paradis
Flotte à Québec en 1652
La flotte de trois navires arrive à Québec en juillet, août et septembre. Selon Marcel Trudel, le pilote Jean Labrecque a peut-être servi soit dans le « navire de Jean Pointel » soit dans le «navire du capitaine Poulet». Il mentionne aussi comme présents à Québec: Raphaël Thierry, François Ballon, Godefroy Martin et Gilbert Furmoleau. La flotte amène 100 hommes de travail, Trudel identifie 112 sur environ 150 immigrants, dont 12 pour Montréal.
Massacre de 22 colons et soldats, dont le gouverneur des Trois-Rivières, puis Pierre Boucher sauve la colonie.
Entre 1648 et 1649 les Iroquois menacent d’anéantir la colonie française. Ville-Marie n’est plus sûre. Trois-Rivières est le seul bourg «pour empêcher l’ennemi de se jeter sur Québec sans défense et dont la prise serait la ruine du pays». Le nouveau gouverneur Louis d’Ailleboust nomme Pierre Boucher, «capitaine du bourg», et lui demande de préparer un plan de défense qui deviendra une ordonnance officielle. Boucher recommande que les habitations trop éparpillées soient regroupées à l’intérieur d’une enceinte de palissades protégées par des corps de garde. La population trop éparse est une proie facile pour l’ennemi. Les attaques des Iroquois, les corps des colons trouvés tous les jours dans les champs et surtout la découverte de quatre colons morts au Cap, révoltent le gouverneur des Trois-Rivières, Guillaume Guillemot de Kerbodot. Même s’il n’est pas un militaire
Il veut tenter une sortie pour exterminer les ennemis. Boucher, qui connait bien les tactiques indiennes, redoute un échec et s’y oppose. Il protègera le fort avec quelques hommes valides. De ce conflit d’autorité résulte l’hécatombe du 19 août 1652. Ce matin-là sous les ordres du gouverneur environ 60 hommes, dont 12 Indiens alliés, s’embarquent dans deux chaloupes. La petite troupe longe les rives boisés du Saint-Laurent. Lorsqu’elle débarque elle tombe alors dans l’embuscade des Iroquois qui avaient épié sa venue. Vingt-deux colons et soldats, dont le gouverneur, sont massacrés sur place ou amenés prisonniers. Des 40 premiers habitants trifluviens, la plupart des chefs de famille, il n’en reste plus que 10. Québec est aux abois et la panique gagne toute la colonie. Beaucoup de colons songent à tout quitter et rentrer en France.
Une année après le massacre, le 23 août 1653, une troupe de 600 Iroquois assiège le bourg pendant neuf jours, brûlant les récoltes et tuant les animaux. Boucher ne peut plus compter que sur 40 hommes valides: la plupart, des adolescents et des vieillards. Ces hommes parviennent chaque fois à repousser les attaques ennemies. Désespérant de s’emparer du fort les Iroquois demandent alors à parler de paix. Boucher négocie habilement les conditions: remise de tous les prisonniers de leur armée, tant français que sauvages, même ceux dans leurs villages. Ils devront les ramener avant 40 jours et toutes les nations iroquoises viendront à Québec avec des présents conclure la paix avec monsieur de Lauzon, le gouverneur. Celui-ci dit à Pierre Boucher qu’il avait «eu du bonheur d’avoir si bien conservé son poste. Car si les ennemis eussent pris les Trois-Rivières, tout le pays était perdu».
Troisième génération


Joseph Paradis et Geneviève Cauchon
Joseph Paradis
Né le 07 septembre 1679 Saint-Jean Ile d’Orléans
Décédé le 06 décembre 1749 Saint-Pierre Ile d’Orléans
Parents: Pierre Paradis et Marie-Jeanne-Anne Milioir
Marié le 05 avril 1712 Château-Richer
Geneviève Cauchon
Née le 30 avril 1696 Château-Richer
Décédée le 16 mai 1736
Parents : Jean-Baptiste Cauchon et Geneviève Plante
Enfants
Joseph Paradis, Geneviève Paradis, Pierre Paradis, Paul Paradis,
Étienne Paradis, Claire Paradis, Marie-Joseph Paradis,
Jean-Baptiste Paradis, Marie Paradis, Marie-Madeleine Paradis


Quatrième génération


Étienne Paradis et Geneviève Demers
Étienne Paradis
Né le 10 octobre 1727 Saint-Pierre Ile d’Orléans
Décédé le 05 février 1800 Saint-Henri de Lauzon
Parents : Joseph Paradis et Geneviève Cauchon


Première noce
Marié le 25 octobre 1756 Lévis
Geneviève Demers dite Dumay
Née le 31 janvier 1736 Pointe-de-Lévy, Lauzon
Décédée le 23 janvier 1783 Saint-Henri-de-Lauzon
Parents : Joseph Demers et Geneviève Huard
Enfants
Louis Paradis, Joseph Paradis, Pierre Paradis


Autre noce d’Étienne Paradis avec Marie-Angélique Tremblay
Autre noce de Geneviève Demers avec Joseph Dussault


Cinquième génération


Pierre Paradis et Rosalie Bussière
Pierre Paradis
Né le 02 janvier 1771 Saint-Henri-de-Lauzon
Décédé le 07 novembre 1849 Sainte-Claire de Dorchester
Parents : Étienne Paradis et Geneviève Demers
Marié le 06 février 1797 Saint-Henri de Lauzon
Rosalie Bussière
Née vers 1779
Décédée le 03 août 1834 Sainte-Claire de Dorchester
Parents : Pierre Bussière et Marie-Josephte Allaire
Enfants
Pierre Paradis, Charles Paradis, Joseph Paradis, Jean Paradis,
Olivier Paradis, Étienne Paradis, François Paradis,
Rosalie Paradis, Jean-Étienne Paradis, Marie-Céleste Paradis,
Flavie Paradis, Guillaume Paradis, Hubert Paradis, Marie Paradis


Sixième génération


Charles Paradis et Madeleine Shink
Charles Paradis
Né le 08 décembre 1799 Saint-Henri de Lauzon
Décédé ………………………..
Parents : Pierre Paradis et Rosalie Bussière
Marié le 01 février 1832 Sainte-Claire de Dorchester
Madeleine Shink, ou Shinck ou Chink
Née vers 1812
Décédée ……………………..
Parents: Nicolas Shink et Suzanne Couture
Enfants
Mélanie Paradis, Hilaire Paradis


Septième génération


Hilaire Paradis et Marie-Claire Audet dite Lapointe
Hilaire Paradis
Née vers 1838
Décédé le ……………………….
Parents: Charles Paradis et Madeleine Shink


Première noce
Marié le 10 février 1863 Sainte-Claire de Dorchester
Marie-Claire Audet dite Lapointe
Née ………………………….
Décédée …………………….
Parents : Jean Audet dit Lapointe et Marie Mercier
Enfants
Hilaire Paradis, Rose-Aimée Paradis


Deuxième noce
Marié le 23 novembre 1858 Sainte-Claire de Dorchester
Agnès Charbonneau
Née vers 1838
Décédée ……………………..
Parents : Augustin Carbonneau et Marie Blais


Huitième génération


Hilaire Paradis et Célina Gagné
Hilaire Paradis
Né le 07 novembre 1864
Décédé le 07 mai 1951
Parents : Hilaire Paradis et Marie-Claire Audet
Marié le 25 mai 1885 Saint-Honoré de Shenley
Célina Gagné
Née le 15 mai 18866
Décédée le 27 mars 1955
Parents: Ferdinand Gagné et Philomène Poulin
Enfants
Rose-Anna Paradis, Marie-Philomène Paradis,
Alexandrine Paradis, Estelle Paradis, Itha Paradis,
Louis Paradis, Auguste Paradis, Albertine Paradis,
Eva Paradis, Alfred Paradis, Joseph Paradis






© Alain Laprise 29 mai 2014


mardi 27 mai 2014

Toulouse Armosa - Vos ancêtres Pierre Creysac ou Cressac dit Toulouse marié Catherine Vincent

Creysac ou Cressac dit Toulouse


Pierre Creysac ou Cressac dit Toulouse et Catherine Vincent
Pierre Creysac ou Cressac dit Toulouse
Né le 19 avril 1714 Toulouse, France
Baptisé le 24 avril 1714
Occupation: soldat et cuisinier
Décédé le 29 février 1791 Beauceville
Parents: Pierre Creysac dit Toulouse et Catherine Subvanne


Première noce
Marié le 13 avril 1755 Petitcoudiac, Nouveau-Brunswick
Anne Comeau
Née avant 1715 à Petitcoudiac Nouveau-Brunswick
Décédée le 11 décembre 1757
Parents: inconnus
Enfant
Marie-Louise Toulouse


Autre noce d’Anne Comeau avec Joseph Levron


Deuxième noce
Marié avant le 06 août 1758 Petitcoudiac, Nouvelle-Écosse
Catherine Vincent
Née le 29  mai 1740 Pisquit, Windsor, Hants, Nouvelle-Écosse
Décédée le le 05 janvier 1822 Beauceville
Inhumée le 06 janvier 1822 Beauceville
Parents: Pierre Vincent et Geneviève Boudreau
Enfants
Charles Cressac, Joseph Cressac, Catherine Cressac, Louise Cresac



Autre noce de Catherine Vincent avec Jacques Roy


André Garant a écrit: Cressac dit Toulouse

Fils de Pierre Cressac et de Catherine Subvanne, né le 19 avril 1714 à Saint-Étienne de Toulouse, dans l’ancien Languedoc, au sud de la France, Pierre Cressac dit Toulouse (1714-1791) débarque à Québec le 23 août 1750. Il fait partie de la Compagnie d’Infanterie de Contrecœur à Montréal. Après un stage au Fort Chambly, il est transféré au Fort Beauséjour, en Acadie.


Il sera témoin de la déportation des Acadiens en 1755. En 1759, Pierre Toulouse a probablement participé à la Bataille des Plaines d’Abraham de Québec de 1759.

Le 13 avril 1755, à Petitcoudiac, il marie Anne Comeau (-1757), veuve de Joseph Levron dit Nantais. Vers 1759, la deuxième épouse de Pierre Toulouse, Catherine Vincent à Pierre est une Acadienne pure laine, née en 1740 à Petitcoudiac; en 1796, elle se remarie à Jacques Roy à Joseph de Saint-François-de-Beauce. Vers 1769, il arrive à Saint-François-de-Beauce.


Compagnie Contrecœur (à Montréal) Avec M. de Salières (27 Aout 1750)


Pierre Cressac dit Toulouse faisait partie de cette compagnie d'infanterie



Antoine  Pécaudy Sieur de Contrecœur
 
Capitaine
André  Jarret Sieur de Beauregard
 
Lieutenant
François  Jarret Sieur de Verchères
 
Enseigne
Pierre Julien
 
Cadet
Jean  Moisan
Dit Le Breton
Caporal
Pierre  Tenaillé
Dit La Violette
 
Bernard de Florensac
Dit Le Gascon
 
Hubert  Grangé
Dit Dauphin
Valet du Capitaine
Dit  Coderre
 
Pierre  Favreau
Dit Des Lauriers
 
Germain  Gauthier
Dit St-Germain
 
Jean Gazaille
Dit St-Germain
 
Pierre  Barbarin (Barbary)
Dit  La Pensée/Grandmaison
 
Gaspard  Dargan
Dit Le Boesme
 
François  Pougnet (Poignet)
Dit Beau Regard
 
Pierre Desaix
Dit  La Chapelle
 
Jacques  Surprenant
Dit Sansoucy
 
Bernard  Bertin
Dit Languedoc
 
Sicaire  Guire (Hire)
Dit  La Prairie
 
Edmé  Salain
Dit La Cave
 
Pierre Cressac
Dit Toulouse
Soldat et cuisinier
Louis  Lachaise
Dit Georges d’Amboise
 
Gabriel  Boutaux
Dit La Ramé
 
Claude  Bernard
Dit  L’Eveillé
 
Maximin  Laforge
Dit  Laforge
 
Nicolas  Guillaud
Dit Lachaume
 
Jean  Mouflet
Dit Champagne
 
Etienne  Benoit
Dit  La Jeunesse
 
Vivier  Magdeleine
Dit  La Douceur
 
Guillaume  Beaufre il (Bonfretil) (Beautrefils)
Dit  Lafleur
 
Mathurin Beaudry
Dit George d'Ambroise
 
Jacques Berté
Dit Champagne
 
Dit Lajeunesse
 
Philibert Couillau
Dit Roquebrune
 
Bernard Deniger
Dit Sanssoucy
 
Pierre Jouanneau
Dit Latour
 
André Merlot
Dit Laramée
 
Charles Milouin
Dit Le Boesmé
 
Jacques Paviot
Dit Lapensée
 
Pierre Tabault
Dit Léveillé
 
                                                                     
Deuxième génération


Charles Cressac dit Toulouse et Thérèse Quirion
Charles Cressac dit Toulouse
Né le 21 décembre 1765 Québec
Inhumé le 16 septembre 1834 Beauceville
Marié le 26 juin 1787 St-François d’Assise, Beauce
Thérèse Quirion
Née le 20 novembre 1765 Beauceville
Décédée le 04 mars 1839 Beauceville
Parents : Ignace Quirion et Marguerite Pouliot
Enfants
Marie-Thérèse Cressac, Jean Toulouse, Joseph Cressac


Régiment de Carignan : Compagnie arrivée à bord du navire, La Paix
Arrivé à Montréal le 17 août 1665
Navire numéro 788 La Paix, Tonnage : 200 à 300 tonnes, Maître : Ethier Guillon capitaine en provenance de La Rochelle et arrive à Québec le 20 août 1665, retourne en France le 19 septembre 1665.  Le navire La Paix ferra naufrage le 26 septembre 1665 près de Matane.


La Compagnie de Contrecœur aidera à la construction du Fort Sainte-Thérése, puis cantonne à Montréal jusqu’à son départ en 1668 vers la France
Le fort Sainte-Thérése est l'un des divers ouvrages défensifs de la Nouvelle-France érigés au XVIIe siècle le long de la rivière Richelieu. Le site est localisé à Carignan, en Montérégie dans la province de Québec.


Premier fort (1665-1667)


La première fortification fut construite en octobre 1665 par Henri de Chastelard de Salières, sous commandement d'Alexandre de Prouville de Tracy, du Régiment de Carignan-Salières. On termina de planter les palissades le 15 octobre, ce qui valut son nom à la fortification, ce jour marquant le fête liturgique de sainte Thérèse. Situé à l'extrémité des rapides de Sainte-Thérése, l'emplacement du fort était stratégique. Il se trouvait par conséquent à la fin du portage commençant à Chambly. En amont et en aval de ces deux points, le Richelieu est navigable, du moins pour de petites embarcations. Le fort Sainte-Thérése aurait été abandonné dès 1667. M. Fortin souligne, dans son ouvrage, que le fort aurait par la suite servi de repaire aux contrebandiers
Compagnie Contrecœur


Régiment de Braglie puis de Nassau


Cette compagnie participa à la bataille du St-Gollard contre les Turcs en 1664, le régiment de Nassau fut anéanti, très peu de soldats et officiers eurent la vie sauve, parmi les survivants, Antoine Pécaudy de Contrecœur, que nous
retrouvons dans le régiment de Carignan-Salières en Nouvelle-France
En 1665, Pécaudy de Contrecœur s’embarquait à la Rochelle à la tête de l’une des compagnies rattachées au régiment de Carignan-Salière, à destination de la Nouvelle-France. Il débarqua du navire "La Paix" à Québec dans la nuit du 17au 18 août 1665.  il  fut confirmé le 31 août 1665.

Après un premier hiver passé à Montréal, le capitaine dirigea ses troupes dans les diverses campagnes entreprises par le régiment de Carignan.

À l’âge de 71 ans, il épousa en secondes noces, le 17septembre1667, (Contrat du 6 septembre, Notaire Ragot), une jeune fille de 15 ans, Mlle Barbe Denys, née le 14 et baptisée le 20 juin 1652 à Québec, fille de Sieur Simon Denis de La Trinité, membre du Conseil souverain; et Dame Françoise de tartre. Étaient présent au mariage, outre le père de la mariée, Pierre Denys son frère, de Messire Jean Talon, de M. de la Fouille capitaine au régiment de Carignan.

Au départ du régiment de Carignan, Antoine Pécaudy de Contrecœur opta pour le Canada. Le 29 octobre1672, Talon lui faisait concéder une seigneurie de deux lieues carrées sur la rive sud du Saint-Laurent, quelques milles à l’est de Montréal. La seigneurie, désignée sous le nom de Contrecœur, comptait 69 habitants et 80 arpents productifs au recensement de 1681. Lui même possède 2 mousquets, vingt bêtes à cornes et quatre-vingt arpents de terre en valeur
Contrecoeur

Auparavant en juillet 1673, on trouve le seigneur de Contrecœur parmi les officiers qui accompagnent le gouverneur de Frontenac à la fondation du fort Cataracoui (Frontenac). Si le nom du seigneur de Contrecœur est assez souvent mentionné dans les documents du Conseil souverain et dans diverses autres sources, il semble toutefois que le personnage n’ait été associé à aucun événement de très grande importance dans les années qui précédèrent sa mort, survenue le premier mai 1688 à Québec.

Il sera courant plus tard, dans la famille Pécaudy de Contrecœur, de répéter que l’aïeul était décédé au service du roi peut-être faut-il comprendre par là qu’il aurait été tué lors d’une expédition des Iroquois dans la région de Montréal.

Dans sa postérité, il convient de signaler Claude-Pierre Pécaudy de Contrecœur qui joua un rôle d’importance au cours des opérations militaires de la guerre de Sept Ans et fut membre du Conseil législatif de Québec.
Ile aux Noix
Troisième génération


Jean Toulouse et Archange Veilleux
Jean Toulouse de Cressac
Né vers 1800
Décédé le :…………………………………
Parents : Charles Cressac et Thérèse Quirion
Marié le 20 janvier 1824 St-François d’Assise de Beauce
Archange Veilleux
Née le 15 février 1806 Beauceville
Décédée le………………………….
Parents : Louis Veilleux et Marie Gagné
Enfants
Michel Toulouse, David Toulouse
Quatrième génération


David Toulouse et Marie Morin
David Toulouse
Né en 1845
Décédé le 13 août 1915 Saint-Martin de Beauce
Parents : Jean Toulouse et Archange Veilleux
Marié le 17 janvier 1871 Saint-Georges de Beauce
Marie Morin
Née vers 1850
Décédée le 18 mars 1917 Saint-Martin de Beauce
Parents : Alexis Morin et Tharsile Labbé
Enfants
Amanda Toulouse, Armosa Toulouse, Cléophas Toulouse,
Joseph Toulouse, Rosanna Toulouse, Valérie Toulouse


Cinquième génération


Armosa Toulouse et Charles Poulin
Armosa Toulouse
Née le 04 avril 1874 Saint-Georges de Beauce
Baptisée le 05 avril 1874
Décédée le 25 mars 1930 Saint-Martin de Beauce
Inhumée le 01 avril 1930
Parents : David Toulouse et Marie Morin
Mariée le 19 mai 1890 Saint-Martin de Beauce
Charles Poulin
Né le 24 janvier 1866 Saint-Ferdinand d’Assise  Beauce
Décédé le 26 avril 1960 Saint-Martin de Beauce
Parents : Augustin Poulin et Rose-Délima Fecteau
Enfant
Jeanne d’arc Poulin



Charles Poulin deuxième noce avec. Sophie Poulin (Hilaire) le 30 juin 1931, à Saint-Martin. Sophie est décédée le 21 mai 1942 à 71 ans et 2 mois.


Charles Poulin troisième noce avec Apolline Bolduc le 27 janvier 1943, à Saint-François. Apolline est née en avril 1871 et décédée le 27 octobre 1953 à 82 ans 6 mois.

(c) Alain Laprise 27 mai 2014