03 mai 2014
Petite histoire du Québec
La ligne Borden
Séparation du Canada en deux parties
Partie Est de la rivière des Ottawa: Québec et les maritimes
Partie ouest de la rivière des Ottawa: Ontario et l'ouest du Canada
Comment détruire le Québec
Pourquoi la construction de l'aéroport de Mirabel
Pierre Elliott Trudeau savait très bien que cette «ligne Borden» existait et qu'il fallait détruire le Québec pour son Canada multiculturalisme. C'est à dire un melting pot.
Pour ce faire, même si cela coûte des milliards, il y avait les communications et les aéroports. Lorsque seulement l'aéroport de Dorval existait tous les vols transatlantiques transitant vers les États-Unis passaient par Dorval. Au même aéroport, il y avait seulement un changement d'avions. Pour les gens d'affaires et touristes c'étaient parfaits.
Le méchiaviliste de Pierre Elliott Trudeau avec l'accord du Gouvernement du Canada et de l'Ontario, se sont dites pourquoi pas faire croire à ces Québécois que nous ferrons la construction d'un aéroport loin de Montréal pour augmenter le trafic aérien. Nous allons faire tout ce qui se peut pour coloniser, dépenser au maximum pour qu'il pense que c'est pour leur bien. Donc on a déplacé des fermes, récupérer des terrains, un vrai cataclysme Ottawa tombait sur le Québec. Nous pouvons concevoir que plusieurs personnes ont reçus de très belles enveloppes remplies d'argent et de pouvoir.
Sir Borden
Donc il, y a 2 aéroports à Montréal Dorval et Mirabel. Aucun moyen direct de communication entre Montréal et Mirabel. Trajet d’un aéroport à l’autre incluant les attentes environ 2 heures. Aussi aucun moyen direct entre Mirabel et Dorval. Toute cette pièce qui était très bien orchestré par ce traite.
Tous les touristes et gens d'affaires voulant transiter vers les États-Unis n'arrête plus à Montréal car Mirabel est un aéroport seulement vers l'Europe et autres pays. Dorval devient un aéroport domestique, le Canada et les États-Unis. Donc la première solution de tous ces gens qui veulent transiter vers les États-Unis et l'ouest est d'atterrir à l'aéroport de Toronto. C'est beaucoup moins long en temps et le transfert se fait dans le même aéroport. L’aéroport de Toronto devient le premier aéroport du Canada.
Monsieur Pierre Elliott Trudeau détestait tellement le Québec, qu’il a mit au point toute sorte de stratège pour diminuer la puissance du Québec comme les déménagements des sièges sociaux, la bourse, l'énergie, etc. Je crois que le synonyme du mot machiavélisme doit être Trudeau.
Diefenbaker
Les Québécois francophones ont toujours été trahis par des Québécois francophones vendues et corrompues. Habituellement les premiers ministres Anglophones s'entendent mieux avec le Québec. Pour prouver leur cynisme et que les anglophones du reste du Canada pour avoir leur face confiance, ils détruisent le Québec. Cela a très bonne presse car le méchant est le francophone et toutes les autres nationalités sont des saints «Québec bashing».
Première solution: le contrôle des prix par l'État
À partir de 1973, les prix du baril de pétrole de l'OPEP sont en ascension. En septembre 1973, afin de protéger les consommateurs de hausses brusques des prix du pétrole, les gouvernements canadien et américain décident de geler le prix du baril de pétrole produit sur leurs territoires (local) à 3,80 $. En octobre 1973, en quelques semaines, le baril de brut extérieur passe de 3,50 $ à 11 $.
Il faut savoir que, depuis la commission Borden de 1957, il avait été décidé par le gouvernement canadien que tous les territoires à l'ouest de la rivière des Outaouais devaient s'approvisionner avec le pétrole local et que les provinces à l'est de la rivière devaient s'approvisionner avec le pétrole extérieur. C'est la rivière des Outaouais qui devient la ligne de démarcation, ce que l'on appelait «la ligne Borden».
Comme les prix du marché mondial ne cessaient d'augmenter, les provinces de l'est du pays, suivant la ligne Borden, se trouvaient à payer beaucoup plus cher leurs produits pétroliers. Un écart considérable s'était créé entre les prix contrôlés de l'État et le prix du marché mondial. À partir de 1974, le gouvernement canadien a décidé d'indemniser les importateurs de brut de l'est du pays. Les raffineries de l'est du Canada ainsi que les consommateurs du Québec et des maritimes n'étaient plus défavorisés par rapport aux Canadiens à l'ouest de la ligne Borden.
À partir de 1973, les prix du baril de pétrole de l'OPEP sont en ascension. En septembre 1973, afin de protéger les consommateurs de hausses brusques des prix du pétrole, les gouvernements canadien et américain décident de geler le prix du baril de pétrole produit sur leurs territoires (local) à 3,80 $. En octobre 1973, en quelques semaines, le baril de brut extérieur passe de 3,50 $ à 11 $.
Il faut savoir que, depuis la commission Borden de 1957, il avait été décidé par le gouvernement canadien que tous les territoires à l'ouest de la rivière des Outaouais devaient s'approvisionner avec le pétrole local et que les provinces à l'est de la rivière devaient s'approvisionner avec le pétrole extérieur. C'est la rivière des Outaouais qui devient la ligne de démarcation, ce que l'on appelait «la ligne Borden».
Comme les prix du marché mondial ne cessaient d'augmenter, les provinces de l'est du pays, suivant la ligne Borden, se trouvaient à payer beaucoup plus cher leurs produits pétroliers. Un écart considérable s'était créé entre les prix contrôlés de l'État et le prix du marché mondial. À partir de 1974, le gouvernement canadien a décidé d'indemniser les importateurs de brut de l'est du pays. Les raffineries de l'est du Canada ainsi que les consommateurs du Québec et des maritimes n'étaient plus défavorisés par rapport aux Canadiens à l'ouest de la ligne Borden.
Commission royale d'enquête sur l'énergie
La Commission royale d'enquête sur l'énergie est constituée en 1957 par le gouvernement de John DIEFENBAKER pour examiner « un certain nombre de questions relatives aux sources d'énergie ».
Commission royale d'enquête sur l'énergie
La Commission royale d'enquête sur l'énergie est constituée en 1957 par le gouvernement de John DIEFENBAKER pour examiner « un certain nombre de questions relatives aux sources d'énergie ». Elle est aussi appelée commission Borden, du nom de son président, Henry, président de Brazilian Traction, Light and Power Ltd.
La plus importante question dont la commission est saisie est la revendication des producteurs de pétrole indépendants de l'Alberta, qui veulent qu'on crée un débouché pour leur pétrole brut en construisant un pipeline d'Edmonton à Montréal. Leurs adversaires, les grandes pétrolières internationales, trouvent plus rentable d'alimenter leurs raffineries de Montréal avec du pétrole importé.
La personne la plus influente lors des audiences est probablement Walter J. Levy, expert-conseil new-yorkais du pétrole, qui propose que le pipeline ne soit pas construit et que le pétrole albertain soit exporté aux États-Unis, tandis que Montréal continuera de s'approvisionner à l'étranger.
Dans ses rapports (1958 et 1959), la commission accepte cette recommandation, appelée Politique nationale du pétrole (PNP), assurant ainsi aux producteurs de pétrole de l'Ouest les marchés situés à l'ouest de la vallée de l'Outaouais. L'OFFICE NATIONAL DE L'ÉNERGIE, auquel la commission propose de confier l'administration de la politique, est créé par le Parlement en 1959. La PNP, instaurée en 1961, demeure en vigueur jusqu'à ce que les événements des années 70 provoquent des changements radicaux en matière de POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE.
C’était le début de la fin du Québec.
© Alain Laprise 03 mai 2014
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