LAPRISE-MERCIER-TRÉPANIER- LANGLOIS- NOS derniers SURVIVANTS
Le 9 octobre 2024, aujourd’hui nos seules familles survivantes en 2024 vivantes et soyons tous heureux de pouvoir leurs rendre gloire, près de nous tous en ce jour, Marie-Hélène Mercier et Armande Langlois
Marie-Hélène Mercier
Née le 2 octobre 1927Parents : Alfred Mercier et Adèle Rancourt
Mariage
Marie-Hélène Mercier 21 ans & Camilien Lapierre 24 ans
23 avril 1949 à St-Samuel De Gayhurst, Frontenac, Québec
Canada
Enfants : Michel Lapierre, Carole Lapierre, Francine Lapierre et Alain Lapierre
Armande Langlois
Née le 17 décembre 1932 à Saint-Samuel de GayhurstParents : Théophile Langlois et Yvonne Boucher
Mariage
Armande Langlois 17 ans & Arthur Mercier 38 ans
28 octobre 1950 Saint-Samuel de Gayhurst
La vie c’est un chemin tortueux et rempli de bonheur et c'est à nous de choisir le chemin que nous voulons prendre en toute liberté.
Poème à la vie
Le chemin n'est d'abord qu'un sentier fuyant par la prairie,
Où la mère conduit son enfant par la main, aux abords du vallon, le sentier des enfants
Passe dans un jardin. Rêveur solitaire et l'adolescent effeuillé et jette à tous les vents les roses blanches du parterre.
Quand l'amoureux s'égare en ce bosquet charmant, il voit s'évanouir ses chimères lointaines, le démon du mal l'entraîne indolemment au bord des impures fontaines.
Plus loin, c'est l'arbre noir, détourne toi toujours, de l'arbre de la science où flottent les mensonges, des intelligences artificielles.
Garde que ses rameaux ne voilent tes beaux jours, et n'effarouchent tes beaux songes.
En quittant le jardin, la fleur et la chanson, la Jeunesse et l'Amour qui s'endorment sur l'herbe, vous le voyageur aborde au champ de la moisson, où son bras étreint une gerbe de sa moisson il va bientôt se reposer sur la blonde colline où les raisins mûrissent :
Pour la coupe enivrante, il retrouve un baiser à ses lèvres qui se flétrissent.
Plus loin, c'est le désert, le désert nébuleux, parsemé de cyprès et de bouquets funèbres enfin, c'est la montagne aux rochers anguleux, d'où vont descendre les ténèbres.
Pour la gravir, passant, Dieu te laissera tout seul sur la terre.
Un ami te restait, mais le voilà qui tombe, et adieu ; l'oubli de tous t’à couvert du linceul,
Et tes enfants creusent ta tombe !
Et, se voyant si loin du sentier où sa mère s'endormait tous les soirs sur son sein palpitant et il essuie une larme amère.
Se voyant loin de vous, paradis regrettés, dans un doux souvenir son cœur se réfugie :
En vain il tend les bras vers la belle saison, il jette des sanglots au vent d'hiver qui brame ; Il a vu près de lui le dernier horizon,
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