jeudi 25 septembre 2014

Généalogie de la famille Caron : Robert Caron et Marie Crevet 1612 La Rochelle France vers la Nouvelle-France

Caron


Robert Caron et Marie Crevet


Robert Caron
Né vers 1612 - La Rochelle (Charente-Maritime) 17300
Décédé le 8 juillet 1656 (samedi)
Hôpital Hôtel-Dieu de Québec, à l’âge de peut-être 44 ans
Inhumé le 8 juillet 1656 (samedi) - Québec (Québec), QC


Union(s) et enfant(s)
Marié le 25 octobre 1637 (dimanche) , Québec (Québec), Paroisse Notre-Dame, QC, avec Marie Crevet ca 1615-1695 (Parents : Pierre Crevet †/1637  &  Marie Le Mercier †/1637 ) dont
    • Marie Caron ca 1638-1660
    • Jean Caron 1641-1706
    • Robert Caron 1647-1714
    • Catherine Caron 1649-1725
    • Joseph Caron 1652-1711
    • Pierre Caron 1654-/1720
    • Aimée Caron ca 1656-1685


Notes individuelles


Arrivé le 30 novembre 1636 à Québec. Va s'établir sur la Côte de Beaupré à la Longue Pointe. L'acte de baptême d'un Robert Caron, fils de Jehan Caron, trouvé au registre de la paroisse St-Vivien en1613 pourrait être le sien, parce que tout nous porte à croire qu'il était d'origine normande. Le 4 octobre 1642, il vend à Guillaume Couillard sa terre de Longue-Pointe et vient s'établir à Québec.


CARON, Robert Origine inconnue; décédé: Hôtel-Dieu sépulture: 08-07-1656 Québec; première mention : témoin 30-11-1636 Québec; concession d’une terre en 1649; ne sait pas signer; marié: 25-10-1637 Québec avec Marie CREVET; famille établie à Québec; 7 enfants. (CI : 53; DGFQ : 199) 1636 à Québec


Flotte à Québec et en Acadie en 1636


Les pères jésuites CHASTELLAIN et GARNIER, qui arrivent en Huronie le 12 août 1637, racontent dans les Relations leur arrivée en 1636 et de la venue de « huit beaux
vaisseaux sous la conduite de du PLESSIS BOCHART ».


L’historien Marcel Trudel écrit qu’il est venu à Québec trois ou quatre navires dont le St-Joseph (mais on ne sait quand il est arrivé) avec Nicolas TREVET de Longuejoue comme lieutenant. François CASTILLON commande aussi un des quatre navires. Il identifie 91 des 100 immigrants.


Selon Trudel le père François RAGUENEAU est de passage (il le confond sans doute avec son frère Paul arrivé cette année-là).


Un premier gouverneur en titre


Un personnage important, Charles HUAULT de Montmagny embarqué dans l'un des navires de Duplessis, arrive à Québec le 11 juin. Nommé gouverneur le 15 janvier
1636 il est le premier gouverneur en titre de la Nouvelle-France. Il remplace ainsi CHAMPLAIN, dont la mort survenue le 25 décembre 1635, est encore inconnue des autorités
françaises. Marc-Antoine BRAS-DE-FER de Châteaufort en a assuré l’intérim.
Sages conseils aux candidats au départ pour la Nouvelle-France


Le père LEJEUNE, dans les Relations des Jésuites, félicite les Cents Associés pour leur effort dans l'amélioration des conditions de vie dans la colonie. Quoique le pays ne peut
encore se suffire à lui-même il offre de grandes opportunités, tant aux pauvres paysans qu'aux gens fortunés et de bonne famille. Il donne « quelques avis pour ceux qui
veulent passer en Nouvelle-France ». Les premiers, engagés sans gages mais logés et nourris, doivent d'abord venir seul.


Cinq ou six ans après un dur labeur ils deviendront propriétaire de la moitié des arpents de terre qu'ils auront défrichés, soit en moyenne huit arpents, amplement suffisant pour nourrir six personnes. Il y a tant de forts et robustes paysans en France n'ayant pas de pain à se mettre sous la dent, apeurés de quitter la misère et la pauvreté de leur village quand ils pourraient être à leur aise parmi les habitants de la Nouvelle-France.


Les seconds se feront concéder une terre avec un emplacement défriché pour se construire une maison. Ils engageront des ouvriers à leurs frais avec des provisions suffisantes pour tous. Il cite en exemple pour l'un de ses « avis » Pierre LEGARDEUR, sieur de Repentigny, embarqué dans le navire de Savinien de COURPON : « le plus de bonnes farines qu'on peux faire passer, c'est le meilleur, et de le plus assuré. M. de Repentigny en a apporté pour deux ans, en quoi il a fait sagement ». Après quelques années grâce aux travail de défrichement et de labourage de ces engagés un gentilhomme aura un établissement florissant.


Navire venues en Nouvelle-France


Navire numéro: 555    « navire de Savinien de COURPON » Maître: Savinien de COURPON de Latour En provenance de La Rochelle et arrive à Québec 12 juin 1636


Robert Caron était probablement sur ce navire




Prénom:
Robert
Nom:
Caron
Sexe:
M
Occupation:
Fermier
Naissance:
1603 vers
Paroisse/ville:
Saintonge, Poitou-Charentes
Pays:
France
Inh.:
08 juillet 1656 - âge: 53
Paroisse/ville:
Québec
Pays:
Canada
Inh./Source:
Sépulture le 8 juillet 1656, Québec (PRDH)

Information, autres enfants, notes, etc.
(CT 07 Aubert avec Marie Crevet

de parents inconnus

Robert Caron arriva en Nouvelle-France, vraisemblablement en 1635, sur un bateau de la Compagnie des Cent-Associés venant de Dieppe.

Il se fait attribuer une concession par Pierre LeGardeur de Repentigny, seigneur d’une partie de la côte de Beaupré, et il s’établit aussitôt près du Sault Montmorency.

Le 25 octobre 1637, il se marie à Québec avec une jeune normande, Marie Crevet, fille de Pierre et Marie LeMercier, de Benouville, diocèse de Bayeu. C’est là que naquit son premier enfant, Marie, en 1639.

Quand naquit son deuxième enfant, il s’était déjà rapproché de Québec, au Côteau Ste-Geneviève, et faisait baptiser Jean-Baptiste le 10 juillet 1641 à Québec.

Le 4 octobre 1642, il vendit sa terre de Montmorency à Guillaume Couillard pour la somme de cent cinquante livres en argent.

Dès le printemps de 1643, Robert Caron s’adonne donc au défrichement au Côteau Ste-Geneviève et en 1649 il recevait de la compagnie des Cent-Associés le titre officiel de Propriétaire de sa concession de 40 arpents.

M. D’Ailleboust, gouverneur, lui ajoute vingt arpents en 1651.

En 1654, Robert Caron vend sa propriété du Côteau Ste-Geneviève pour aller s’établir sur la côte de Beaupré sur une terre qu’il s’était choisie et située à environ un mille de l’actuelle basilique Ste-Anne.

Il avait déjà six enfants dont Marie, Jean-Baptiste, Joseph, Robert, Pierre et Aimée.

Note: Robert Caron, fils s'est marié avec Marguerite Cloutier et ils ont eu comme fils Augustin Caron qui lui s'est marié avec Madeleine Gaulin.

Jusque là ces ancêtres se retrouvent dans la famille Boucher et Bélair...

Augustin Caron et Madeleine Gaulin ont eu 2 fils Michel (famille Boucher) et Ignace (famille Bélair).

Robert Caron décéda à l’Hotel-Dieu de Québec le 8 juillet 1656 (selon René Jetté)

Nous n’avons aucun renseignements sur les circonstances de sa mort.

D'autres Caron ont émigré au Canada par la suite et certains se sont établis aux États-Unis
Mariage ou union de fait
Robert à 34 ans & Marie à 22 ans
25 octobre 1637
Québec
Canada
Source: mariage PRDH (Admin#1)



conjoint(e)


Prénom:
Nom:
Sexe:
F
Occupation:

Naissance:
1615 vers
Paroisse/ville:
Benouville, Normandie
Pays:
France
Bapt./Source:
Naissance : vers 1615 benouville, archev. rouen, normandie (ar. le havre, seine-maritime) PRDH
Décès:
22 novembre 1695 - âge: 80
Paroisse/ville:
Baie-St-Paul
Pays:
Canada
Inh./Source:
Décès : 1695-11-22
Sépulture : 1695-11-23 Baie-St-Paul PRDH
Information, autres enfants, notes, etc.
se nomme aussi Marie CRENEL, CREVEL
(Ct 07 Aubert)
A son décès elle a 92 ans
Sépulture le 23 novembre 1695, Baie St-Paul (PRDH)

Autres mariages de: Marie Crevet
Noel Langlois
Château-Richer 


L'ancêtre des Caron
Texte de Jean-Paul Caron et Jean de Chantal..
Chronique réalisée en collaboration avec la Société de généalogie de l`Outaouais, Inc., parue le 1er avril 1991
L'origine de cette famille demeure un secret
La principale souche des familles Caron est celle formée par Robert Caron. On ignore d'où l'ancêtre était originaire: Bretagne, Saintonge, Aunis, Normandie? Le mystère demeure depuis que les registres de l'église Notre-Dame-de-la-Recouvrance à Québec ont été brûlés lors de l'incendie du 15 juin 1640. En même temps l'acte de mariage unissant Robert Caron et Marie Crevet disparaissait, effaçant pour les générations futures, les renseignements concernant l'origine, l'âge et la famille de l'ancêtre.
Ce dernier débarqua à Québec au cours de l'été 1636. Quelques semaines plus tard, il s'installa à Longue-Pointe, dans les environs des chutes Montmorency. Les semaines et les mois passant, laissant à Robert Caron le temps qu'il faut pour défricher sa concession et construire sans doute une maison destinée à accueillir Marie Crevet ou le Crevet qu'il épousa le 25 octobre 1637.
Au fil des années naissent Marie, Jean-Baptiste, Robert, Catherine, Joseph, Pierre et Aymée. L'ancêtre a la «bougeotte» ou le désir de trouver la concession qui soit plus profitable pour lui et pour sa famille. En 1642, il vend sa terre de Longue-Pointe pour venir s'établir près de Québec, au côteau Sainte-Geneviève où il trouve un plus grand nombre de compatriotes.
Le grand périple des Caron n'est pas achevé puisque le 27 mars 1654, Robert achète une terre à Sainte-Anne-de-Beaupré. À peine âgé de 40 ans, il meurt subitement à l'Hôtel-Dieu de Québec, et est inhumé le 8 juillet 1656 dans le cimetière Notre-Dame de cette ville.
Une autre branche de cette famille, qu'on n'a pas encore réussi à relier au tronc principal issu de l'ancêtre Robert Caron, est venue s'établir à Hull à la huitième génération. Il s'agit d'Hercule-Arthur Caron, fils de Norbert et d'Herméline Mercure qui a épousé Georgiana Kemmer-Laflamme, fille de Jean-Baptiste et de Véronique Yon (Dion). Nos lecteurs voudront sans doute éclairer notre lanterne au sujet de cette dernière famille.


La lignée des Caron

CANADA

I
Robert I Caron
 
25 octobre 1637
Québec
Marie Crevet

II
Robert II Caron
 
9 octobre 1674
Château-Richer
Marguerite Cloutier

III
Ignace I Caron
 
15 novembre 1707
Ste-Famille, Ile d'Orléans
Marie Gaulin

IV
Louis Jean-Marie Caron
 
26 juin 1740
St-Roch-des-Aulnaies
Françoise Gagnon

U.S.A.

V
Ignace II Caron
 
1er juin 1762
Philadelphie
Marie-Anne Thibodeau

CANADA

VI
Olivier I Caron
 
1er mariage : 13 février 1809
Louiseville
Marie-Josephte Baril

VI

 
2e mariage : 14 octobre 1834
St-Grégoire de Nicolet
Madeleine Bourk

VII
Olivier II Caron
 
15 février 1836
St-Grégoire de Nicolet
Ovide Bourk

VIII
Thomas Caron
 
12 janvier 1875
Ste-Ursule de Maskinongé
Virginie Lupien

IX
Arthur Caron
 
1er mariage : 27 octobre 1908
Hull, Québec
Alice Lalonde

IX

 
2e mariage : 20 novembre 1918
Hull, Québec
Apolline Guérin

X
Jean-Paul Caron
 
31 mai 1933
Hull
Germaine Dallaire

XI
Suzanne(1934)  Caron Pierre(1944)
 


Plusieurs pistes sont avancées pour expliquer l’origine du patronyme Caron. La principale réfère au métier de charron, pratiqué par un artisan qui fabrique des chariots et des machines agricoles. Comme le précise l’historien Roland Jacob, le métier connu jadis sous le nom de charron ou charlier au centre de la France, prend différentes appellations selon les régions du pays. Au sud, on le nomme carrier; en Lorraine, Cherrier; puis, en Picardie et en Normandie, Carlier ou... Caron! Caron peut aussi référer à quelqu’un d’avare ou encore à un prénom, porté notamment par un saint gaulois.
 
Avec quelque 24 300 porteurs, les Caron se hissent parmi les familles les plus nombreuses du Québec. Ils occupent le 21e rang. En France également leur nombre n’est pas négligeable. On en compte entre trente et quarante mille, ce qui leur vaut une place dans le top 100.
 
Les pionniers des Caron
 
Les Caron d’ici descendent de 4 pionniers, tous arrivés au 17e siècle. Ils ont contribué généreusement à la revanche des berceaux. 
 
Arrivé en 1636, Robert Caron est le premier à fouler le sol de la Nouvelle-France. Malheureusement, son acte de mariage sera détruit dans l’incendie de l’église de Québec en 1640. On le reconstituera de mémoire, mais en omettant certains détails précieux comme le nom des parents de l’ancêtre et son lieu d’origine. On ignore donc de quelle région de la France il est arrivé. On sait cependant qu’il a vu le jour en 1612 et qu’il a épousé Marie Crevet à Québec le 25 octobre 1637. Celle-ci est originaire de Bénouville, un arrondissement de Caen, dans le Calvados, en Normandie. 
 
Des 4 pionniers, Robert Caron aura le moins d’enfants, mais ceux-ci seront particulièrement prolifiques. Les 7 héritiers (3 filles et 4 garçons), tous baptisés à Québec, laisseront plus d’une quarantaine de descendants. Par leur mariage, les filles Caron s’allieront à des patronymes forts répandus et grossiront les rangs des Lessard, Paré, Bolduc, Bernier et Simard.


Quant aux 4 garçons (Jean-Baptiste, Robert, Joseph et Pierre), 12 de leurs fils au total vont se marier et poursuivre ainsi la lignée de leur père Robert, principalement dans les régions de Beaupré et Cap Saint-Ignace. 


Claude Caron


Tout comme le précédent, l’origine de ce deuxième arrivant nous est inconnue. Vers 1670, Claude Caron épouse Marie Madeleine Varennes, originaire de Saint-Jean d’Aubrigoux en Auvergne. Le couple aura 9 enfants (5 filles et 4 garçons), baptisés à La Prairie. Deux des fils (Claude et Vital) vont se marier, aux soeurs Élisabeth et Marie Perthuis. Claude prendra pour seconde épouse Marie-Jeanne Boyer qui lui donnera 12 enfants (9 garçons et 3 filles, dont 4 fils vont se marier). À eux deux, Claude et Vital seront les pères d’une vingtaine d’enfants qui fonderont leur famille principalement à La Prairie, mais aussi à Lachine.  


Vital Caron


À ne pas confondre avec le fils du pionnier précédent, ce troisième ancêtre voit le jour à Médeyrolles, en Auvergne, de l’union de Michel Caron et Jeanne Allard. On soupçonne qu’il serait parent avec le couple Claude Caron et Marie Madeleine Varennes mentionnés plus haut. Le 10 février 1686, à Château-Richer, Vital Caron épousera Marguerite Gagnon, fille de Mathurin Gagnon et Françoise Godeau. Le couple aura 9 enfants (6 filles et 3 garçons), tous baptisés à Québec. Deux fils, Joseph Vital et Nicolas vont se marier et laisser assurer la descendance. 
 
Jean Caron
 
On en sait un peu plus sur ce quatrième et dernier pionnier de la famille. Fils de Pierre Caron et Marie Thoisnet, il grandit dans la paroisse Saint-Jean-du-Perrot de La Rochelle où il travaille comme forgeron et maître taillandier. Le recensement de 1681 nous apprend qu’il vit dans la seigneurie de Saurel où il met 8 arpents en valeur. Le 27 mai 1687, il épouse Élisabeth Rabouin, fille de Jean Rabouin et Marguerite Radion. Le contrat est signé chez le notaire Ménard de Saint-Ours. Leur 3 enfants mourront en bas âge et l’épouse, peu après, en 1691. 
 
Le 27 février 1686, Jean Caron épousera en secondes noces Thérèse de Billy, fille de François de Billy et Catherine-Marguerite de Lamarche. Le couple aura 6 enfants (4 filles et deux garçons). Un seul va se marier. 
 
En 1723, Jean Caron deviendra veuf pour la deuxième fois et le demeurera jusqu’à son dernier souffle, à 82 ans. Sa descendance peuplera les régions de Sorel et de Batiscan. 
 
Elle est aussi connue sous le nom de Marie le Crevel, Marie Crevel  et Marie Crenel .


Marie Crevet


Elle est la fille de Pierre Crevet et Marie Le Mercier.


Elle nait vers 1615 à Bénouville, Caen, Calvados, Basse-Normandie, France 8, 9, 10, 11, 12, 13. Elle épouse Robert Caron fils de René-Édouard Caron le 25 octobre 1637 à Notre-Dame, Québec, Québec, Québec, Canada en présence de Noël Langlois dit Boisverdun et Robert Giffart, seigneur de Beauport 1, 2, 5, 14. Aimée Caron, Joseph Caron, Pierre Caron, Robert Caron et Marie Crevet vivent en 1666 à Beaupré, Montmorency, Québec 5.


Le contrat de mariage de Marie Crevet et Noël Langlois dit Boisverdun est signé le 7 juillet 1666 par devant Claude Aubert. Elle épouse Noël Langlois dit Boisverdun, fils de Guillaume Langlois et Jeanne Millet le 27 juillet 1666 à La-Visitation-de-Notre-Dame, Château-Richer, Capitale-Nationale, Québec 1, 2, 6. Michel Acau, Abraham Albert, Jean Langlois, Noël Langlois dit Traversy, Aimée Caron et Marie Crevet vivent en 1667 chez Noël Langlois dit Boisverdun à côtes de Beauport, Notre-Dame-des-Anges ou autres lieux, Québec 6. Marie Crevet et Noël Langlois dit Boisverdun vivent en 1681 à la seigneurie de Beauport, Québec 1.


Elle décède le 22 novembre 1695 à Saint-Pierre-et-Saint-Paul, Baie-Saint-Paul, Charlevoix, Québec 15. Elle est inhumée le 23 novembre 1695 à Saint-Pierre-et-Saint-Paul, Baie-Saint-Paul 15.


Elle est peut-être la mère de Marie-Anne Langlois.


(c) Alain Laprise 15 août 2014


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