dimanche 11 janvier 2015

Scotstown Chemn Dell, Marsden, Touristes, avenir Partie 4

Scotstown
Suite 4

Pièce de théâtre de Fabien Cloutier concernant Scotstown
 
Pour voir la pièce de théâtre coller/copier sur ce lien:   http://www.scotstown.net/
 
Une critique de Lili Marin
 
Pauvreté intellectuelle, homophobie, suicide, pollution agricole... Scotstown brosse un tableau peu flatteur des régions reculées de la Belle Province. Beaucoup d'humour et un peu de chasse-galeries égayent cet univers sombre, que Fabien Cloutier déballe avec verve.
 
Ce spectacle solo a d'abord été un conte urbain, en 2005. Intitulé alors Ousqu'y é Chabot?, il avait permis à son auteur de se faire remarquer par la critique. Et pour cause!
 
Il décape, ne s'embarrassant d'aucun vernis politiquement correct ou d'autocensure. Le personnage en scène énonce tout haut, candidement, ce que plusieurs doivent penser, mais gardent pour eux et leur entourage, à défaut d'avoir accès à une tribune « nationale ».
 
Ce personnage, un jeune homme probablement décrocheur, gagne sa vie grâce à la culture d'une substance illicite. Là où il vit, un village non loin de Mégantic, les sources de désennuie semblent aussi rares que dans la campagne russe des Trois sœurs de Tchekhov.
Cependant, il ne perd pas de temps à rêver de la grande ville et à se morfondre. Il va y fêter Noël avec son «chum» Chabot.
 
Les aventures qui leur arrivent, sordides comme c'est souvent le cas dans les contes urbains, projettent l'histoire dans une dimension fantastique. Le retour à la réalité du quotidien n'en est que plus dur, mais narré avec autant d'aplomb.
 
Voilà la force incroyable de Fabien Cloutier: il parvient à maintenir l'intensité dramatique pendant près de deux heures, laissant peu de répit aux spectateurs, qui s'esclaffent et qui s'exclament.
 
Parce que le propos a de quoi déranger. Sans aucun complexe, le personnage assène ses vérités sur les grosses ou les «fifs». Le langage est cru, vulgaire, limité à la grossièreté. Le manque de vocabulaire, qui rend omniprésents les sacres dans toutes les fonctions syntaxiques, donne cependant un rythme enlevant au monologue. Celui-ci est ponctué par des envolées musicales: parodique (Boom Desjardins), tonitruante (du gros métal sale) ou sentimentale (une balade country).
 
Ces différentes couleurs teintent la personnalité du protagoniste, qui n'a rien à voir avec un héros, comme toujours dans la dramaturgie et la cinématographie québécoise. C'est néanmoins un personnage complexe, presque attachant, avec un regard lucide sur sa société. Ses yeux sont d'ailleurs très expressifs, notamment lorsqu'il rapporte qu'un Russe trouve que Scotstown est l'endroit au Québec qui lui rappelle le plus sa patrie...
 
Coordonnées de la ville de Scotstown
 


Scotstown est une petite ville de la région administrative de l’Estrie qui se niche au pied du Mont-Mégantic (MRC du Haut-Saint-François), tout près du Lac Mégantic, qui s’étend sur un territoire de plus de 12 kilomètres carrés et qui regroupe environ 700 Scotstownoises et Scotstownois.
 
Les coordonnées de la ville de Scotstown sont 101, chemin Victoria Ouest, Scotstown, comté de Compton, Québec J0B 3B0


Téléphone: 819 560-8433   Télécopieur: 819 560-8434  courriel: ville.scotstown@hsfqc.ca  site internet: www.scotstown-hsf.com
 
Le lac-Mégantic
 
Le Lac Mégantic mesure 20 kilomètres de long sur 7 kilomètres de large dans l’endroit le plus large. Il se trouve à environ 100 kilomètres au nord-est de Sherbrooke, près de la frontière américaine, à proximité de Scotstown, dans les Appalaches. Le lac Mégantic se trouve à l’altitude de 395 mètres, sa profondeur atteint 75 mètres. Le lac est entouré par les Montagnes Bleues et alimenté par un réseau de vallées qui drainent les forêts environnantes. Un vaste marais se trouve en bordure du lac.
 
La création du lac Mégantic date de l’époque glaciaire, quand, il y a quelques 12 000 années, des cuvettes laissées par le glacier fondu, formèrent des plans d’eau qui ont évolué au cours des millénaires. Le lac Mégantic, donc est situé dans une telle cuvette. La décharge du lac Mégantic est la source de la rivière Chaudière et à cet endroit se situe la seule ville de la région, Lac-Mégantic.
 
Le lac prend son nom du mot Abénaquis Namesokanjik, dont la traduction est quelque chose comme « endroit plein de poissons », toutefois, une autre version dit que le mot à l’origine du nom du lac est Namagontekw, ce qui signifie « lac à la truite saumonée ».
Astrolabe à Lac-Mégantic


Québec du haut Saint-François rivière traverse des forêts denses dans l'arrière-pays montagneux, loin de la côte nord dénudée écossais. Pourtant, la cadence de Gaelic fois retenti dans les domaines rocheux et des cabines crofters.
 
Les familles agricoles dans la région des Highlands d'Écosse face à la famine dans les années 1830. Les propriétaires fonciers dans l'espoir de tirer profit de la vente de la laine à l'industrie autorisé locataires de terres agricoles pour faire place à des moutons. Agriculteurs étaient entassés dans les lots en front de mer de petites appelé Crofts, où ils ont été mis à profit la collecte et la transformation des algues pour les savonneries. Crofters venus à dépendre de pommes de terre pour se nourrir. Lorsque de mauvaises récoltes les transformaient en pauvres, les propriétaires contraints à émigrer.

Soixante familles sont montées à bord du navire de l'énergie à Stornoway sur l'île de Lewis en 1838, à destination de la propriété familiale en milieu sauvage dans les Cantons de l'Est du Québec. Basée à Londres, British American Land Company les droits de propriété sur les terres de la Couronne plus dans le quartier et a engagé les habitants à construire des routes, des ponts et des moulins.  
 
Avec une grande partie du district du Haut-Saint-François impropres aux cultures céréalières, les immigrants se tournent vers l'exploitation forestière. Rejoints par des Canadiens français et Irlandais colons catholiques, les Highlanders construisirent un style de vie fondé sur la foresterie et l'agriculture à petite échelle. Par la fin des années 1800 quelque 3,000 Gaelic-parleurs peuplé de la région.
 
Ce circuit patrimonial vous conduit à travers une des plus anciennes du Québec districts d'exploitation forestière et un berceau de l'industrie canadienne des pâtes et papier.
 
Bien que la plupart des descendants des pionniers écossais aient quitté, leur mémoire est admirablement conservé dans les églises et les cimetières et les groupes patrimoniaux locaux comme la Société Ceilidh de Scotstown.
 
Scotstown est une des villes de la région du Haut Saint-François en Estrie
 
L’Estrie, aussi appelée Cantons de l’Est, est l’une des plus petites régions du Québec, avec une superficie de 10 200 kilomètres carrés et une population de 300,000 habitants. Les Cantons-de-l’Est sont entourés de la Montérégie à l’ouest, du Centre-du-Québec au nord et de Chaudière-Appalaches à l’Est. C’est aussi une région limitrophe des États-Unis.
 
La plus grande partie de la population est concentrée dans l’ouest, dans les agglomérations de Sherbrooke, Magog, Granby et Lac-Mégantic. On peut souligner que dans la seule ville de Sherbrooke se trouve la moitié des habitants estriens.
 
C’est une région accidentée, puisqu’elle est située au cœur des Appalaches. Son réseau hydrographique est composé de plus de 130 lacs. Ces caractéristiques assurent le développement du tourisme, mais le secteur de l’agriculture est aussi présent avec une importante industrie laitière. Sur le plan industriel, la mine d’Asbestos et le centre de recherche le plus important au monde consacré à l’amiante se trouve dans cette région. De plus, l’Estrie bénéficie de la proximité du marché américain.
 
L’Estrie compte deux universités: l’Université de Sherbrooke française établit à Sherbrooke et l’Université Bishop, célèbre établissement anglophone situé à Lennoxville, à quelques kilomètres de la capitale régionale. 


Rivière au Saumon
 
La Rivière au saumon est une rivière qui parcoure l'Estrie. Prenant ses racines dans la rivière Chaudière en Beauce, elle se jette dans la rivière Saint-François à Weedon. Son débit étant plus prononcé que celui de la rivière Saint-François, de nombreuses crues printanières ont lieu dans ce secteur.

Dès l’ouverture de la pêche la rivière au saumon et habité par la truite grise à cause des l’éperlans qui dévalent le barrage tôt le printemps. Mais celle-ci ne peuvent remonter et reste dans la rivière pour y vivre toute l’année, tout comme pour la Massawipi. Il y a aussi la présence de truites arc-en-ciel, et brune a cause de certains ensemencements antérieurs. Comme dans presque tout les cours d’eau, l’achigan est encore présent avec le brochet et la Doré, vers la fin de son parcours.
Rivière-au-saumon
 
Veuillez noter qu'il y a plusieurs Rivières-au-Saumon sur le territoire du Québec.  La Rivière-au-Saumon ci-après mentionnée est Scotstown, comté de Compton, en Estrie, Québec, Canada

Dès la création du parc National du Mont-Mégantic (PNMM), en 1994  les gens de la Société de développement de Scotstown développaient le concept « du Parc au Parc », avec des étudiants du CÉGEP de Saint-Félicien.


Cette idée consistait à relier le PNMM et Scotstown, notamment par l’intermédiaire d’une piste cyclable joignant le parc Walter-McKenzie de Scotstown, le marécage des Scots (Hampden) et le PNMM.


Dans la foulée de l’ouverture du secteur Franceville du Parc National du Mont-Mégantic (PNMM), le concept de pôle touristique de la Rivière au Saumon est né. Il s’agit d’optimiser l’attractivité touristique et la diversité des activités offertes à la population, en développant la ville de Scotstown autour de la thématique des jardins et le territoire situé entre les deux sous la forme d’un parc régional.

La MRC du Haut-Saint-François est le promoteur du parc régional. Ce projet est rendu possible notamment grâce aux municipalités de Hampden et Scotstown, ainsi que plusieurs partenaires, dont le Ministère des Ressources naturelles, le PNMM, Canards Illimités, la Fondation Hydro-Québec pour l’environnement et la Conférence régionale des élus de l’Estrie.

Le plan directeur est en cours de réalisation et l’obtention du statut de parc régional devrait être réalité bientôt. L’attrait principal du parc sera l’aménagement d’une piste multifonctionnelle de 7,5 km qui s’ajoutera aux 4,5 km déjà construits dans le Parc national du Mont-Mégantic et qui mènera au Parc Walter-Mackenzie à Scotstown. La phase 1 de 3 km est déjà accessible au public. Cette phase comprend également des panneaux de signalisation, d’information, d’interprétation et de sensibilisation. Un stationnement a été aménagé, de plus des bancs, des tables à pique-nique et des supports à vélo sont installés dans trois haltes. Un gazebo complète le tout.
Scotstown fête le drapeau du Québec pour le 65 ième anniversaire à l’Assemblée Nationale du Québec

Vous êtes invité à venir en vélo ou à pied dès maintenant, tout en étant conscient qu’il s’agit d’un projet en début de réalisation. Ci-dessous, la carte de la piste multifonctionnelle pour bien planifier votre visite. Veuillez prendre note qu’il y a des frais d’accès pour la section à l’intérieur du PNMM. Nous vous invitons à respecter la règlementation, en particulier pour votre sécurité pendant les périodes de fermeture pour la chasse.


Déjà 1993, le plan directeur de développement initial du PNMM prévoyait la mise en place d’un deuxième accès officiel au parc, du côté nord, pour faire profiter les municipalités de Scotstown et d’Hampden des retombées économiques liées à la fréquentation du parc national. 
 
Cependant, pour des raisons d’affaire, les infrastructures du secteur de l’observatoire du parc national avaient du être consolidées avant le développement du secteur de Franceville.  Suite à cela, la direction s’est montrée ouverte à envisager le développement du nouveau secteur.  Il est cependant apparu nécessaire de jumeler ce développement à d’autres, pour créer une masse critique d’attraits touristiques dans ce secteur.
 
Contexte
 
Ce concept de Pôle touristique de la Rivière-au-Saumon à Scotstown, qui propose le développement d’attraits touristiques dans Hampden et Scotstown pour y favoriser les retombées économiques, est né vers l’an 2000, alors que son comité est créé en 2003.  Ce dernier se compose de représentants des municipalités de Scotstown et de Hampden, du Parc national du Mont-Mégantic, du CLD et de la MRC du Haut-Saint-François, Société de développement de Scotstown, du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF). 


L’organisme Canards Illimités, voué à la conservation des milieux humides, qui développait parallèlement un projet d’amélioration de l’habitat faunique au marécage des Scots, notamment pour la sauvagine, s’est joint au comité un peu plus tard. 


Le Pôle touristique de la Rivière-au-Saumon à Scotstown prend une forme plus concrète en 2004 avec la sortie du rapport de la firme DBSF


Il  propose trois volets complémentaires :


- l’ouverture du nouveau secteur de Franceville du PNMM ;
- l’amélioration de l’attrait de la ville de Scotstown ;
- la création d’un parc régional entre Scotstown et le parc national, incluant le marécage des Scots.

C’est de ce troisième volet, celui du parc régional, dont il est question ici.
Depuis juillet 2009, la MRC du Haut-Saint-François embauche une chargée de projet pour coordonner les activités du Pôle Saumon dans le cadre de la création du parc régional, préparer un plan directeur de développement, un plan d’aménagement et un plan d’affaires.
 
Comité
 
Le comité responsable du développement du Pôle touristique de la Rivière-au-Saumon à Scotstown est composé de représentants des organismes suivants :


CLD du Haut-Saint-François (Dominic Provost, directeur général)
MRC du Haut-Saint-François (Dominic Provost, directeur général)
Parc national du Mont-Mégantic (Pierre Goulet, directeur général)
Ministère des Ressources naturelles et de la Faunes (MRNF)
(Jeanne Thériault et Alain Lussier)
Ville de Scotstown (Jacques Gosselin, conseiller)
Société de développement de Scotstown (Chantal Ouellet, présidente)
Municipalité de Hampden (Bertrand Prévost, maire)
Canards Illimités (CI) (Claudie Lessard)


Mandats visés
 
En tenant compte des potentiels et des contraintes du territoire, des objectifs de gestion harmonieuse des usages et des besoins d’autofinancement du projet, il ressort que le projet doit intégrer les différents usages du milieu.  Ainsi, le conseil d’administration du parc régional devra obtenir la gestion des activités récréatives, mais aussi celle de la faune (chasse, pêche, protection de la faune) et de la foresterie, tout en y alliant des préoccupations de conservation, d’éducation, et de sensibilisation.  C’est pour cette raison que nous désignons ce parc par l’appellation Territoire de mise en valeur intégrée de la Rivière-au-Saumon à Scotstown.


Stratégie retenue pour la mise en place du Territoire de mise en valeur intégrée de la Rivière-au-Saumon à Scotstown.
 
Principes directeurs


Le comité du Pôle touristique de la Rivière-au-Saumon à Scotstown a élaboré la liste suivante des principes directeurs qui devront orienter le développement du Territoire de mise en valeur intégrée de la Rivière-au-Saumon à Scotstown ainsi que la gestion qui devra en être faite d'un  équilibre optimal entre la protection et la mise en valeur du milieu.
 
Gestion intégrée et harmonieuse des usages du territoire (récréatifs, fauniques, forestiers, etc.).
 
Complémentarité de l’offre avec celle du PNMM et de la ville de Scotstown.
 
Accessibilité au territoire pour les clientèles locales, régionales et touristiques.
 
Maximisation des retombées économiques locales et régionales.
 
Acceptabilité sociale.
 
Autofinancement; viabilité financière du projet.
 
Territoire visé


Le territoire visé occupe 38 km2 situés dans la ville de Scotstown et la municipalité du Canton de Hampden, entre le noyau villageois de la ville de Scotstown et le parc national du Mont-Mégantic.  Situé à l’est de la rivière au Saumon, il inclut l’ensemble du ruisseau de la Loutre et du marécage des Scots qui constituent le cœur du territoire.  La limite proposée est illustrée en rouge sur la carte suivante.    


Tenure des terres


La plus grande partie du territoire visé est constituée des terres du domaine de l’état des municipalités du Canton de Hampden.  Ces terres publiques occupent 29 km2, soit plus de 76% du territoire visé.


Le tiers de ces terres étaient jusqu’à tout récemment la propriété de la compagnie forestière Domtar. Ces terres ont fait l’objet d’échanges et d’acquisitions par le ministère des Ressources naturelles et de la Faune et l’organisme Canards Illimités.  La plupart d’entre elles font maintenant l’objet de servitudes de conservation dans le but de limiter les impacts négatifs que pourraient subir les habitats fauniques qu’elles abritent. Deux types de servitudes restreignent l'usage du territoire à des degrés différents.  La première liée à des terres du milieu humide et de sa bande riveraine de 100 m; elle est plus limitative alors que la deuxième, plus souple s'applique à une partie du milieu forestier.
 
Des propriétés incluses appartiennent à la ville de Scotstown et resteront la priorité de la ville. 


C’est le cas du parc municipal Walter-McKenzie.    


Les terres privées incluses dans le périmètre identifié couvrent quant à elles 9 km2 (24% du territoire) et appartiennent à une cinquantaine de propriétaires privés. 


Propriétés privées


Les propriétés privées incluses dans le périmètre du Territoire de mise en valeur intégrée de la Rivière-au-Saumon à Scotstown l’ont été à cause de leur position géographique, parce qu’elles sont enclavées dans les terres publiques ou qu’elles font le lien entre le cœur du territoire et, d’une part la Ville de Scotstown, d’autre part la rivière au Saumon et enfin le parc national du Mont-Mégantic.  L’inclusion de ces terrains au périmètre du parc n’a aucune incidence sur ces terrains ou sur leurs propriétaires. 



Road Dell - Cemetery road - Chemin de Dell chemin du cimetière
 
Cimetière chemin de Dell


Il est essentiellement le résultat d'une émigration importante des Écossais en 1874, la majorité venant de l'île de Lewis dans les Hébrides. Des habitants pauvres, et en irlandais de langue thèse presbytérienne début rémunérés pour leurs rêves de sang, de sueur et de larmes.

Aujourd'hui, dans le creux sheltered du Mont-Mégantic, ils jouissent d'année exceptionnelle Vue de la paysage environnant est proche de la réserve écologique Samuel Brisson municipalité, on peut observer des espèces où plusieurs oiseaux, animaux sauvages et des forêts denses des Appalaches.


Comment vous rendre à Scotstown et autres municipalités à partir de la ville de Sherbrooke

De Sherbrooke, prendre la route 143 Sud à Lennoxville. Suivre la Route 108 Est jusqu'à Bury où vous prendrez la route 214 à Scotstown. Go-à travers la ville et traversez le pont. Il y aura une chute d'eau sur votre droite. Non loin de là, une route sur votre gauche appelé Dell Road. Tourner sur cette route. You Will Go à environ 12 km dans la forêt et ensuite vous verrez une pancarte disant Dell cimetière sur votre droite sur le chemin Cemetery (chemin Cemetery). Le cimetière est à 2 km, c'est cette route.

C'est un autre Burying Ground (cimetière) de colons écossais et de leurs descendants, avec beaucoup de ceux qui sont inhumés ici sont issues de l'île de Lewis dans les Hébrides de l'Écosse. Il a commencé "semble avoir utilisé vers 1862 heures et est aujourd'hui. Il est très bien entretenu et dispose d'une clôture de Nice et la porte et livre d'or.

Toutes les pierres sont lisibles et aucune n'a l'or Fallen besoin de réparations à cette époque.
Susan Nutbrown, Gary MacDonald et je marchais et lire ce cimetière en août 2006 et a fait un enregistrement complet de 323 pierres tombales.
Suite à découvrir sur d’autres documents de toute cette région


Alain Laprise   



http://www.stjosephdesmonts.com/SCOTSTOWN/histoire.htm
http://www.interment.net/data/canada/qc/frontenac/dell/index.htm   
http://www.historicplaces.ca/visit-visite/com-ful_e.aspx?id=9408 
http://www.usherbrooke.ca/sommets/v16/n1/tetea.htm
http://grandquebec.com/sport-au-quebec/kayak-et-canot/
http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:
http://www.stjosephdesmonts.com/Scotstowncimetiere.html
http://www.multiculturalcanada.ca/Encyclopedia/A-Z/s2/5
http://www.mrchsf.com/info@journalhsf.com



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