St-Cyr
Deshaies ou Deshayes dit St-Cyr ou dit Tourigny ou Cyrenne
Pierre Deshaies ou Deshayes dit St-Cyr ou dit Tourigny ou Cyrenne
et Marguerite Guillet dite Lajeunesse
Pierre Deshaies dit St-Cyr
Né 12 mars 1648 St-Vivien, Rouen, Normandie, France
Décédé le 06 août 1732 Bécancour
Parents : Alexandre Deshaies St-Cyr et Marie-Annes Deshaies
Marié le 18 septembre 1678 au Québec
Marguerite Guillet dite Lajeunesse
Née le 17 août 1660 Cap-de-la Madeleine
Décédée le ...............................
Parents: Pierre Simon Guillet et Jeanne Champoux
Enfants
Catherine Deshaies, Jean-Baptiste Deshayes, Marie-Anne Deshayes,
Marie-Angélique Deshayes, Pierre Deshaies, Marguerite Deshaies,
Joseph Deshaies, Augustin Deshaies, Marie-Jeanne Deshaies,
Françoise Deshaies, Louis-Michel Deshaies
Navires venues en Nouvelle-France en 1611
Il est arrivé sur un de ces navires
Numéro 358 l'Espérance, ou numéro 359 De Merveille, navire 360 La Grâce de Dieu, numéro 361 de François Gravé, numéro 362 l'Aigle D'or, numéro 363 La Nativité, numéro 364 Le Dauphin et le dernier numéro 365 Robert Gravé
Pierre Deshaies, dit St-Cyr ou dit Tourigny ou dit Cyrenne
Né 12 mars 1648 St-Vivien, Rouen, Normandie, France, ses parents Alexandre Deshaies St-Cyr et Marie-Annes Deshaies, l'ancêtre Pierre Deshayes, est mentionné au recensement de 1666, à Trois-Rivières, âgé de 19 ans.
Paul St-Cyr
Il est à l’emploi comme domestique, de Marie Boucher, veuve d’Étienne Pépin de Lafond et sœur de Pierre Boucher, gouverneur de Trois-Rivières. Au recensement de 1667, encore âgé de 19 ans, au Cap-de-la-Madeleine, il est encore domestique de Marie Boucher.
Le 22 février 1672, il reçoit de Michel Godefroy, sa première terre de trois arpents de front sur vingt et un de profondeur, à la rivière Saint-Michel, à Bécancour. Le 13 septembre 1674, le Père Louis Nicolas, au nom des seigneurs des jésuites, lui concède une autre terre. Selon une note d'un acte passé le 26 mai 1676, il y est indiqué que Pierre Deshayes, habitant de Batiscan, et Jean Lariou s’associent pour construire une grange, de 30 pieds de façade, par 24 pieds de profondeur, pour le compte de Thomas de Lanouguère, seigneur de Sainte-Anne-de-la-Pérade.
En 1677, Pierre Deshayes épouse au Cap-de-la-Madeleine, Marguerite Guillet, est née le 17 août 1660, au Cap-de-la-Madeleine et, est baptisée à Trois-Rivières, le 22 août 1660, fille de l'ancêtre Pierre Guillet, dit Lajeunesse et de Jeanne de Saint-Père. Les parents de Marguerite sont concessionnaires d’une terre dans la seigneurie de Lantôt, au recensement de 1681.
Le 22 février 1672, il reçoit de Michel Godefroy, sa première terre de trois arpents de front sur vingt et un de profondeur, à la rivière Saint-Michel, à Bécancour. Le 13 septembre 1674, le Père Louis Nicolas, au nom des seigneurs des jésuites, lui concède une autre terre. Selon une note d'un acte passé le 26 mai 1676, il y est indiqué que Pierre Deshayes, habitant de Batiscan, et Jean Lariou s’associent pour construire une grange, de 30 pieds de façade, par 24 pieds de profondeur, pour le compte de Thomas de Lanouguère, seigneur de Sainte-Anne-de-la-Pérade.
En 1677, Pierre Deshayes épouse au Cap-de-la-Madeleine, Marguerite Guillet, est née le 17 août 1660, au Cap-de-la-Madeleine et, est baptisée à Trois-Rivières, le 22 août 1660, fille de l'ancêtre Pierre Guillet, dit Lajeunesse et de Jeanne de Saint-Père. Les parents de Marguerite sont concessionnaires d’une terre dans la seigneurie de Lantôt, au recensement de 1681.
Marguerite Guillet, dite Lajeunesse lui donne onze enfants. Même aujourd'hui, il est impossible de découvrir d'où est originaire Pierre Deshayes, ni le nom de ses parents. La majorité des recensements nous indiquent qu'il est né vers 1648.
Le recensement 1681 mentionne le nom de Pierre Deshayes deux fois. Il travaille toujours pour Marie Boucher, au Cap-de-la-Madeleine et sa famille est établie dans la seigneurie de Lantôt, à Bécancour. Pierre Deshayes a 33 ans, son épouse en a 21 et deux filles leurs sont nées. Marie-Catherine a 3 ans et Madeleine 1 an et demi. Huit arpents sont défrichés depuis 1672 et une vache lui est louée.
La famille Deshayes est profondément enracinée dans la région de Bécancour et de Nicolet, au Québec. Un bon nombre de Deshayes ou de Deshaies, Saint-Cyr, Tourigny et Cyrenne font partie de la grande famille de l’ancêtre Pierre Deshayes.
Récollets accueillent les Jésuites
On ignore la date de décès de Marguerite Guillet, mais elle est encore vivante en 1713. L’ancêtre, Pierre Deshayes, décède à l'âge de 84 ans, son corps est inhumé à Bécancour, le 7 juin 1732. L'acte de sépulture révèle qu’il a été capitaine de la milice. Il a servi dans la milice, sur le fief Du Tort, en 1726.
Informations supplémentaires
Le premier ancêtre venu de France s'appelait Pierre Dehayes. Il est arrivé dans notre pays vers 1672 et fut engagé chez la veuve Lafond, née Marie Boucher, mariée a Etienne Pépin Sieur de Lafond, ayant une terre au nord de la rue actuelle Ste-Cécile au Trois Rivières. Le 14 septembre 1674, Pierre acheta une terre du Père Nicolas, à Bastican, et en 1681 nous le retrouvons dans les registres de Bécancour, à la seigneurie de Lintot dans lesquelles nous y lisons ceci:
Pierre Deshayes, 33 ans; sa femme Marguerite Guillet, 21 ans. Leurs enfants: Marie, 3 ans, Madeline 1 an et demie. Son avoir était d’une vache et huit arpents de terre.
Il eu dix autres enfants, en partie mariés et établis aux environs de Bécancour, Trois-Rivières, Champlain, Batiscan, Nicolet et St-Célestin. L'acte de la sépulture de Pierre Deshayes, inhumé à Bécancour, nous révèle qu'il était ancien capitaine de milice et qu'il est mort d'une espèce de léthargie. Les descendants de Pierre Deshayes sont divisés en quatre branches : Deshayes, Saint-Cyr, Tourigny et Cyrenne.
Nouvelle-France 1611
Expédition financée par une marquise, protectrice des Jésuites
Les Jésuites Pierre Biard et Ennemond Massé arrivent à Dieppe le 26 octobre 1610 avec l'espoir d'embarquer sur le navire de Charles de Biencourt pour Port-Royal.
Mais l'opposition de deux marchands calvinistes les en empêche. La marquise de Guercheville, épouse du gouverneur de Paris, très influente à la cour et protectrice des Jésuites, rachète les parts des marchands protestants.
Étienne Brulé
Le 20 janvier 1611 Charles de Biencourt signe un contrat en vertu duquel Antoinette de Pons, marquise de Guercheville, paie la cargaison de son navire qui doit conduire les Jésuites Biard et Massé à Port-Royal. La moitié des profits servira pour l'entretien des deux pères et de la colonie de Port-Royal. Le nom de la marquise n'apparaît pas dans le contrat mais dans une lettre du père Biard.
Des banquises retardent les navires en 1611. Champlain écrit que « c'était des bancs de glace de 30 à 40 brasses (50 à 70 mètres), dans la nuit, dans la brume si épaisse que l'on voyait à peine la longueur du vaisseau ». Le navire de Biencourt doit faire de longs détours pour les éviter. La traversée dure quatre mois. Donc une grande partie des provisions devant secourir la colonie acadienne est consommée.
Les Missions jésuites en Nouvelle-France englobent une série de postes missionnaires établis par les jésuites.
La Nouvelle-France était dominée par deux familles linguistiques amérindiennes : la famille algonquienne et la famille iroquoienne. Les missionnaires jésuites tentèrent de s’imposer dans la vie des groupes d’Amérindiens appartenant à ces deux familles, surtout entre 1632 et 1658, lorsque les jésuites eurent le monopole missionnaire en Nouvelle-France. Leur contact prolongé avec divers groupes d’indigènes permit aux jésuites de devenir adeptes dans les traditions et la culture des Amérindiens.
Jésuites en Nouvelle-France
Pour les jésuites, la conversion ne se limita pas au baptême, mais fit partie d’un projet de développement qui chercha à transformer tous les aspects de la vie des Amérindiens. Ce programme de changement fondamental, que les jésuites appelaient metanoia, consistait en la transformation du païen et de son mode de vie barbare en un néophyte qui démontrait non seulement sa compréhension du catholicisme, mais aussi une capacité et un désir d’appliquer les instructions des jésuites dans leur vie. Ainsi, les jésuites étaient convaincus que seule une transformation complète de la vie des Amérindiens eût pu offrir à ces derniers l’espoir du salut, et ils interprétèrent le processus de civilisation des Amérindiens comme étant la phase préalable à l’adoption du christianisme.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Missions_j%C3%A9suites_en_Nouvelle-France
http://www.genealogy.com/forum/surnames/topics/tourigny/4/
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