Trépanier ou d’Estrépagny
Charles Trépanier ou d'Estrépagny et Marie Marette
Charles d'Estrépagny
Né en 1591 en France
Décédé le …………………………….
Parents: Inconnus
Marié en France
Marie Marette
Née inconnue
Décédée le :……………………………
Parents: Inconnus
Enfant
Romain Trépanier
Le village de Muchedent est situé dans le département de la Seine-Maritime de la région de la Haute-Normandie. Le village de Muchedent appartient à l'arrondissement de Dieppe et au canton de Longueville-sur-Scie.
Les habitants de Muchedent étaient au nombre de 129 au recensement de 1999 et de 113 au recensement de 2006. Le nombre de personnes ayant une résidence secondaire à Muchedent était de 2 en 2006.
Première génération
Romain d'Estrépagny et Geneviève Drouin
Romain d'Estrépagny
Né le 19 avril 1627 à St-Pierre de Muchedent, France
Décédé le 20 mars 1702 Château-Richer
À l'âge de 74 ans
Inhumé le 21 mars 1702 à Château-Richer
Parents: Charles d'Estrépagny et Marie Marette
Marié le 24 avril 1656 au logis du Sieur Giffard à Beauport
Contrat de mariage le 27 février 1656 signé chez le notaire Badeau
Geneviève Drouin
Baptisée le 19 octobre 1643 à Québec
Décédée le 04 octobre 1710 à Château-Richer
Inhumée le 06 octobre 1710 à Château-Richer
Parents: Robert Drouin 1607-1685 et Anne Cloutier 1626-1648
Enfants
Charles Trépanier, Geneviève Trépanier, Marie-Madeleine Trépanier,
François Trépanier, Jacques Trépanier, Louis Trépanier, Anne Trépanier, Marguerite Trépanier, Claude Trépanier, Barbe Trépanier, Jean Trépanier, Gabrielle Trépanier
Robert Drouin
Maison de Robert Drouin
De 1636 à 1640 les colons semble venir régulièrement mais, en petit nombre. Le recrutement se faisait en France par les relations que des familles des cultivateurs déjà établies à Québec et aux Trois-Rivières, entretenaient avec leurs parents de la mère-patrie. Les trois frères Gagnon : Mathurin, Jean et Pierre; Paul de Rainville; Jean Cochon; Julien Mercier; Robert Drouin et Louis Gagné qui s'établirent au Château-Richer, arrivèrent durant ce laps de temps; de même Louis Sédilot; Henri Pinguet; Antoine Brassard; Noël Morin; qui se fixèrent dans la banlieue de Québec.
Ainsi donc, Québec, Beauport : la Côte de Beaupré et Trois-Rivières avaient une population sédentaire et habituée. Quel pouvait être le chiffre de cette population ? Nous croyons qu'elle peut être estimée à 340 personnes. De 1608 à 1640, 296 immigrants étaient venus de France. L'abbé Tanguay a compté 73 naissances et 92 décès durant cette période, ce qui amène une diminution de 14 et donne 284 âmes; mais, en ajoutant à ce nombre la population flottante : les fonctionnaires, les religieux, les religieuses et leurs engagés, nous arrivons à une population totale de 340 âmes. C'était encore bien peu pour une colonie qui comptait tout près de 40 ans d'existence.
La déposition de Jamin Bourguignon, habitant de Beauport à l'encontre de Robert Drouin et son domestique pour avoir battu Claire Morin, épouse dudit Bourguignon, pendant qu'ils étaient tous deux à la pêche; et tentative d'assassinat par le domestique dudit Drouin, les nommés La Pouthier (Lapouthier) et Jolicoeur (Jollicoeur) contre Bourguignon et sa femme. - 9 mars 1642.
Côte de Beaupré
Fils de Robert (I) Drouin et de Marie Dubois, c'est le 6 août 1607 qu'est baptisé Robert (2) Drouin, dans la paroisse Saint-Barthélemy-du-Pin, dans le bourg du Pin-La-Garenne, dans le Perche, département actuel de l'Orne, en France, il est l'un des premiers colons de la Nouvelle-France, en effet. Il arrive en Nouvelle-France vers la fin de l'an 1635.
Robert Drouin (2) se met au service de Robert Giffard, puis c'est dans la maison de ce seigneur que Jean Guyon, dit Dubuisson, rédige le premier contrat de mariage passé dans ce nouveau pays. Signé le 27 juillet 1636, entre les nouveaux époux, Robert Drouin (2) et Anne Cloutier, fille de Zacharie Cloutier et de Xainte Dupont.
Anne n'a que dix ans, elle est née à Mortagne au Perche, en janvier 1626. Leur mariage n'est célébré que le 12 juillet 1637, dans l'église Notre-Dame de Québec.
Les parents de l'épouse s'engagent à héberger le couple pendant trois ans. C'est que, Robert Drouin préfère pratiquer son métier, de maître briquetier, plutôt que de cultiver.
Dès 1641, on lui promet une concession qui ne lui est confirmée que cinq ans plus tard.
Six enfants sont nées de ce mariage, et seulement deux filles survivantes qui se sont mariées à l'âge de douze ans.
Geneviève Drouin, baptisée le 19 octobre 1643, mariée à Romain Trépagny (Trépanier) et
Jeanne Drouin, baptisée le 2 mai 1647, mariée à Pierre Maheust dit des Hasards (Maheu).
En 1648, grand deuil! Anne Cloutier, âgée de 22 ans, décède à la Chandeleur et elle est inhumée à Québec, le 4 février. L'année suivante, soit le 26 novembre 1649, Robert Drouin fait sa marque au bas d'un second contrat de mariage. Marie Chapelier, veuve de Pierre Petit, native de Comte-Robert-en-Brie, fille de Jean Chapelier et de Marguerite Dodier, l'accepte comme mari.
Château-Richer 1828
Le lundi suivant, 29 novembre, a lieu la cérémonie religieuse à Québec. Huit autres enfants naissent dont : leur fille, Marguerite Drouin née le 23 décembre 1655, baptisée le 27, à Québec et elle épouse le 26 octobre 1670, Jean Gagnon, fils de l'ancêtre Jean Gagnon et de Marguerite Cauchon. Ils ont comme fils, Joseph Gagnon, né en 1685, qui épouse en 1709, Magdeleine Tremblay, fille de Pierre Tremblay et de Marie Roussin.
Robert Drouin, âgé de 77 ans, décède à la fin de mai 1685, à Château-Richer. Sa veuve, Marie Chapelier lui survit 12 années, elle était de 26 ans sa benjamine.
Trépanier ou Trépagny est au pays en 1655 ou avant. Il travaille comme fermier au fief de Beaumarchais à Beauport, Le 01 juin 1659, Jean de Lauzon lui concède une terre au fief de Lottinville, qui vend par après. Au recensement de 1667 il demeure à Beaupré; au recensement de 1681 demeure à Château-Richer; ne sait pas signer famille établie à Château-Richer et a 12 enfants.
Romain d'Estrépagny nait le 19 avril 1627 à Dieppe, Seine-Maritime, Normandie, France. Il est baptisé le 19 avril 1627 à Saint-Pierre, Muchedent, Dieppe. Il immigre en 1653 à Québec, Capitale-Nationale, Québec, Canada. Le contrat de mariage de Geneviève Drouin et Romain Trépanier est signé le 27 février 1656 par devant François Badeau. Il épouse Geneviève Drouin, fille de Robert Drouin et Anne Cloutier le 24 avril 1656 à Notre-Dame, Québec, Québec, Québec. Il est nommé au recensement en 1667 habitant à Beaupré, Montmorency, Québec. Romain Trépanier donne ses droits sur sa succession à Robert Drouin le 29 juin 1667.
Navires venues en Nouvelle-France
Navire numéro 699 Le Taureau 150TX Capitaine: Élie Tadourneau Départ de La Rochelle en 1655 et arrive à Québec en 1655 et Romain Trépanier était à bord.
Flottes de navires vers Québec en 1655
Six navires en 1655 partirent pour Québec mais trois ne l’atteignent pas dont le « vaisseau flamand », le Passemoy, qui s’est perdu en mer. Le Petit François et le Chat Bouqué sont capturés par les Anglais, les Espagnols et les Hollandais de même que « trois navires de pêche ».
Seuls le Patriarche d'Abraham, la Colombe Mouillée et la Fortune atteignent Québec. Le navire le Taureau se serait aussi rendu à Québec plus tard cette année-là.
Le Calendrier des Pionniers
À la faveur de notre éphéméride du 14 avril, nous avons dégagé les traits de l'une des plus belles figures qui aient marqué les débuts de la colonisation en Nouvelle-France, Robert Giffard. Nous avons vu que celui-ci obtint la seigneurie de Beauport en 1634 et qu'il s'employa à recruter des colons dans son Perche natal en France. À Mortagne, même, il signa des ententes avec plusieurs candidats, dont Zacharie Cloutier, à qui il promit mille arpents de terre.
Ce colon était né en 1590. Il avait par conséquent 44 ans lorsqu'il passa au Canada. Il était accompagné de sa femme, Née Dupont (Xainte), de ses filles, Anne et Louise et de ses fils Zacharie, Jean et Charles. En 1635 arrivait un autre colon du Perche, Robert Drouin, né en 1606 et originaire du Pin: son père portait le même nom que lui et sa mère s'appelait Marie Dubois.
Manoir Giffard
Le 27 juillet 1636, Robert Drouin se choisissait une femme-enfant, la petite Anne Cloutier, qui avait encore 11 ans: en effet, elle avait été baptisée le 19 janvier 1626. Ce jour-là, il y a eut sans doute une animation exceptionnelle au manoir de Giffard. Lui et sa femme, Marie Reynouard, accueillaient un certain nombre d'invités à l'occasion de la signature du premier contrat de mariage en Nouvelle-France.
Robert Drouin était assisté de son cousin, Barthélémy Lemoine et de leur ami commun, François Bélanger. Quant à Anne Cloutier, bien que ses père et mère aient été là, ce sont le seigneur et son épouse qui lui servaient de témoins, de même que Jean Guyon et Mathurin Robin, deux amis de la promise.
C'est par devant le notaire F. Guyon qu'on passa le contrat
Manoir Giffard le mariage de Robert Drouin
Drouin et la dite Anne Cloutier,
y lit-on, du vouloir et consentement des susdits leurs parents et amis, se sont promis et promettent par ces présentes se prendre l'un l'autre par foi et loyauté de mariage, le parfaire et solenniser en sainte face d'église le plus tôt qu'il sera en eux leurs parents et amis avisés.
« Cette formule vous étonnera peut-être. C'est que la jeune fille n'était peut-être pas nubile. En fait, le mariage ne fit célébré qu'un an plus tard le 12 juillet 1637. »
Le dit futur époux, prendra la future épouse avec les droits qui lui peuvent appartenir et le dit futur époux à donné et donne par le mariage faisant à tous et chacun ses biens, terres, maisons à lui venus et échus par le décès de ses défunts père et mère. Suivant d'autres conditions, puis le tabellion stipule que « commencera la communauté des dits futurs mariés dès le jour de la bénédiction nuptiale ». Enfin le père et la mère du marié s'engagent à les loger et héberger durant trois ans.
Les signatures de Robert Giffard, de la fille Marie, de sa femme Marie Reynouard, de François Bélanger, de Martin Grouvel qui assistaient à la rédaction du document, de Mathurine Robin et du tabellion. Cependant, les deux futurs époux ne savaient signer pas plus que les parents Cloutier d'ailleurs: ils apposèrent donc leurs marques ainsi que deux autres témoins, Noël Langlois et Denis Robert.
Robert Drouin était briquetier. Le 15 mars 1640, il s'engageait devant Martial Piraude à fournir aux hospitalières de Québec sept mille briques « bonnes et suffisantes », livrables le 15 juin suivant « sur le bord de la rivière proche Beauport»
Son épouse mourut en février 1648 à 22 ans. Elle laissait deux filles. L'aînée mourut en bas âge. Sa deuxième fille Geneviève Drouin qui maria Romain d'Estrépagny l'ancêtre de tous les Trépanier en Amérique.
Romain Trépanier, Geneviève Drouin, Jean de Trépagny, Claude de Trépagny, Anne de Trépagny, Louis de Trépagny, Jacques De Trépagny, François De Trépanier et Charles De Trépagny vivaient en 1681 à la seigneurie de Beaupré, Montmorency.
Romain Trépanier possédait un fusil, treize bêtes à cornes et quatorze arpents de terre en valeur. Il est nommé au recensement en 1681 habitant à Château-Richer, Capitale-Nationale.
Deuxième génération
François Trépagny et Anne Lefrancois
François Trépanier
Né le 05 avril 1664 à Château-Richer
Baptisé le 07 avril 1664 en la paroisse
La-Visitation-de-Notre-Dame de Château-Richer
Décédé vers 74 ans
Inhumé le 24 août 1738 à Château-Richer
Parents: Romain Trépanier et Geneviève Drouin
Marié le 14 février 1689 à Château-Richer
Contrat de mariage le 06 février 1689 chez le notaire Étienne Jacob
Anne Lefrancois
Née le 05 février 1669 à Château-Richer
Baptisée le 05 février 1669 en la paroisse La-Visitation-de-Notre-Dame
Décédée vers 74 ans de Château-Richer
Inhumée le 16 décembre 1743 à Château-Richer
Parents: Charles Lefrancois et Marie Madeleine Trio
Enfants
François Trépanier, Charles Trépanier, Joseph Trépanier,
Augustin Trépanier, Marie-Anne Trépanier,
Prisque Trépanier, Geneviève Trépanier, Jean Trépanier,
Cécile Trépanier, Gabriel Trépanier, Anne Trépanier (1),
Étienne Trépanier, Claude Trépanier,
Claire-François Trépanier, Anne Trépagny (2)
Les trois fils mariés de Romain d'Estrépagny sont
Charles d'Estrépagny, François d'Estrépagny, Claude d'Estrépagny
Seul François Trépanier marié à Anne Lefrancois sera à l'origine de cette longue lignée de Trépanier, établis au Québec en premier lieu et par après en Ontario, suivie par l'ouest canadien et une partie de la famille Trépanier partit aux États-Unis.
Quant à Charles Trépanier a marié Marguerite Jacquereau et cette descendance s'éteindra dès la quatrième génération.
Concernant Claude Trépanier marié à Geneviève Burrel sa descendance s’établie en Louisiane et il est bien ancré jusqu'à nos jours. Ils écrivent ainsi leur nom de famille: Trepagnier
La descendance de Claude Trépagny et Angélique Michel-Taillon garde amoureusement le coin des tous nos ancêtres Trépanier à Château-Richer et se propagera principalement dans les comtés de Beauce, Frontenac, Sherbrooke en Estrie au Québec. On en retrouve aussi à Hull, en Ontario.
On en retrouve aussi à Hull, en Ontario et principalement en Louisiane aux États-Unis et le nom s'écrit Trepagnier
Contrat de mariage signé devant le notaire Guyon
Chapelle des Matelots
La Côte-de-Beaupré est l'une des premières régions colonisées au Québec et est considérée comme le berceau de l'Amérique française. Avant même que Samuel De Champlain fonde Québec en 1608, il avait déjà exploré la rive nord du fleuve Saint-Laurent. Le premier établissement de la Côte se planifie dès 1623 au pied du Cap Tourmente, lorsque Champlain y découvrit des pâturages exceptionnels. Ces beaux prés sont à la source du toponyme « Beaupré ». En 1626, on trouve à la ferme de Champlain des étables et des bâtiments pouvant loger les ouvriers. L'établissement sert alors de grenier ou garde-manger pour nourrir la colonie naissante.
Entre 1662 et 1668, Mgr François de Laval acquiert la totalité des parts de l’ancienne compagnie de Beaupré. Les habitants deviennent alors les censitaires du Séminaire de Québec et la Côte-de-Beaupré connaît un développement rapide au niveau de sa population et de son organisation économique et spirituelle. Déjà, en 1658, on édifie des lieux de culte à Château-Richer et à Sainte-Anne. La chapelle de cette paroisse avait reçu le vocable de Chapelle des Matelots, en souvenir d’un sauvetage miraculeux sur le fleuve. Sainte-Anne-de-Beaupré devenait, petit à petit, un pôle religieux important. Encore aujourd’hui, plusieurs monuments témoignent de la foi de nos ancêtres. Des croix de chemin, des églises de pierres et des chapelles de procession sillonnent l'avenue Royale. Vers 1651, la compagnie de Beaupré fait construire à Château-Richer un moulin à vent pour répondre aux besoins des censitaires. En 1661, un moulin à eau, cette fois, est construit près de la rivière du Sault à la Puce. En 1678, on assiste à l'érection canonique des premières paroisses de la colonie, dont Château-Richer, l’Ange-Gardien et Sainte-Anne du Petit Cap. En 1695, Mgr de Laval fait construire le premier moulin industriel, le moulin de Petit Pré, situé à la limite ouest de Château-Richer. Il servait à moudre le blé et avait pour but d’assurer la rentabilité de la seigneurie.
Troisième génération
Claude Trépanier et Angélique Michel dite Taillon
Claude Trépanier
Né le 10 octobre 1709 à Château-Richer
Baptisé le 10 octobre 1709 Paroisse La-Visitation-de-Notre-Dame de Château-Richer
Décédé le 09 avril 1789 à Château-Richer vers 79 ans
Inhumé le 11 avril 1789 à Château-Richer
Parents: François Trépanier et Anne Lefrancois
Marié le 23 novembre 1733 à Château-Richer
Angélique Michel dite Taillon
Née le 02 septembre 1711 à Château-Richer
Baptisée le 02 septembre 1711 Paroisse La-Visitation-de-Notre-Dame de Château-Richer
Décédée le 23 mars 1782 à Château-Richer âgée de 70 ans
Inhumée le 25 mars 1782 à Château-Richer
Parents: Guillaume Michel 1676-1729 et Anne Gagnon 1694-1776
Enfants
Marguerite Trépanier, Jean-François-Xavier Trépanier, Pierre Trépanier,
Ignace Trépanier, Angélique Trépanier, Geneviève Trépanier,
Marguerite Trépanier, Marie-Anne Trépanier
Le tracé de l’avenue Royale
À la même époque (1683), l’avenue Royale est tracé sous l’ordre de Mgr de Laval. Cette route est plutôt mauvaise en automne et au printemps. La route est davantage utilisée durant la saison hivernale. Le reste de l’année, les habitants font davantage du cabotage en barque ou en goélette. Trois siècles ont passés mais encore aujourd’hui, on retrouve une concentration importante de maisons ancestrales retraçant l'évolution de l'architecture de la maison québécoise. Un riche patrimoine témoigne toujours des débuts de la Nouvelle-France : moulins, chapelles, caveaux à légumes, croix de chemin, fours à pain, sites historiques, etc.
La création de nouvelles paroisses et municipalités
Saint-Ferréol-les-Neiges
De nouveau érigées canoniquement en 1684, les paroisses de l'Ange-Gardien, Château-Richer et Sainte-Anne-de Beaupré poursuivent leurs destinées. La paroisse de Saint-Joachim est crée en 1687, celle de Saint-Ferréol-les-Neiges suivra beaucoup plus tard en 1801, et ce sera au tour de Saint-Tite-des-Caps en 1876. La municipalité de Saint-Jean-de-Boischatel verra le jour en 1920, quatre ans après celle de Saint-Louis-de-Gonzague-du-Cap-Tourmente. En 1920, une portion du territoire de l'Ange-Gardien est détachée pour créer la municipalité de Boischatel. En 1928, Sainte-Anne-de-Beaupré voit également son territoire se morceler en vue de la création de la municipalité de Beaupré.
Le premier prêtre de la famille Trépanier
Abbé Joseph René Voyer
Né à Québec le 02 février 1689 et baptisé le 03 février 1689
Parrain: René Pelletier et marraine: Marguerite Jacquereau
Parents: Robert Voyer et Madeleine Trépanier, fille de Romain d'Estrépagny
Il est entré au séminaire en 1697 et fit ses études à Québec où il fut ordonné prêtre par
Mgr. Saint-Vallier le premier mai 1715. Il fut curé de la paroisse de Saint-Vallier de Bellechasse de 1716 à 1722 et en plus la desserte à Berthier. Curé de Sainte-Anne de La Pérade de 1722 à 1743. Curé de Cap-Santé de 1743 à 1752. Curé de Les Écureuils de 1752 à 1753 où il est Décédé le 25 mai 1753 dans cette même ville.
Quatrième Génération
Jean-François-Xavier Trépanier et Marie-Rose Mathieu
François-Xavier Trépanier
Né le 03 février 1740 à Château-Richer
Baptisé le 03 février 1740 Paroisse La-Visitation-de-Notre-Dame de Château-Richer
Parents: Claude Trépanier et Angélique Michel-Taillon
Marié le 16 novembre 1767 à Château-Richer
Marie-Rose Mathieu
Née le 17 août 1747 à Château-Richer
Baptisée le 17 août 1747 Paroisse La-Visitation-de-Notre-Dame de Château-Richer
Décédée le 11 août 1830 Château-Richer
Parents: Nicolas Mathieu 1719-1791 et Pélagie Guyon 1718-1795
Enfants
Claude Trépanier, Ignace Trépanier, Marguerite Trépanier, François Trépanier,
Nicolas Trépanier, Marie-Angélique Trépanier
Cinquième génération
Claude Trépanier et Catherine Verreault
Claude Trépanier
Né le 15 novembre 1769 à Château-Richer
Baptisée le 16 novembre 1769
Paroisse La-Visitation-de-Notre-Dame de Château-Richer
Parents: François-Xavier Trépanier et Rose Mathieu
Première noce
Marié le 19 octobre 1795 à Château-Richer
Contrat de mariage le 04 octobre 1795 chez le notaire Antoine Crespin
Catherine Verreault
Née le 26 septembre 1772 à Château-Richer
Baptisée le 27 septembre 1772 Paroisse La-Visitation-de-Notre-Dame de Château-Richer
Parents: Prisque Verreau-1745 et Marie-Thérèse Cauchon 1746-1779
Enfants
Catherine Trépanier, Prisque Trépanier, Jean-Baptiste Trépanier,
François Trépanier, Françoise Trépanier, Élisabeth Trépanier,
Catherine Trépanier, Rosalie-Rose Trépanier, Flavie Trépanier,
Isaïe Trépanier, Julienne Trépanier, Claude Trépanier
Sixième génération
Prisque Trépanier et Théotiste Lessard
Prisque Trépanier
Né le 05 novembre 1797 à Château-Richer
Décédé le 24 juillet 1849 à Saint-Joseph de Beauce
Parents: Claude Trépanier et Catherine Verreault
Marié le 17 février 1817 à Saint-Joseph de Beauce
Théotiste Lessard
Née le 09 mars 1802 à Saint-Joseph-de-Beauce
Décédée le ...........................
Parents: Jacques Lessard 1769-1857 et Véronique Gagné 1772-1838
Cap Tourment Château-Richer
Enfants
Prisque Trépanier, Sophie Trépanier, Augustin Trépanier,
Basilice Trépanier, Georges Trépanier, Divine Trépanier,
Adeline Trépanier, Agnès Trépanier, Vital Trépanier,
Adélaïde Trépanier, Hilaire Trépanier, Thomas Trépanier
Septième génération
Georges Trépanier et Émélie- Soulange Reny ou Renier
Georges Trépanier
Né le 09 juillet 1827 Saint-Joseph-de-Beauce
Décédé le 16 août 1897 East Broughton
Parents : Prisque Trépanier et Théotiste Lessard
Marié le 27 août 1853 à Saint-Victor, Comté de Frontenac
Émélie-Soulange René ou Rainier
Née 12 juin 1835 Sainte-Claire de Dorchester
Décédée le 28 avril 1899 Laconia, Belkmap Co. NH
Inhumée le 02 mai 1899 East Broughton, Beauce
Parents: Magloire Charles Reny et Marie-Christine Delisle
Enfants
Napoléon Trépanier 1856 -, Henriette Trépanier 1858 -,
Aurore Trépanier 1860 -, Gédéon Trépanier
Huitième génération
Gédéon Trépanier et Émilia Nadeau
Gédéon Trépanier
Né le 25 juillet 1869 Saint-Éphrem de Beauce
Décédé le 06 août 1945 à Saint-Samuel de Gayhurst, comté de Frontenac
Parents: Georges Trépanier et Soulange Reny ou Renier
Marié le 25 juillet 1888 à Laconia, New Hampshire
Émilia (Mélia) Nadeau
Née le 18 juin 1871 Lambton
Décédée le...................................................
Parents: Théophile Nadeau et Geneviève Proulx
Enfants
Gédéon Trépanier, Marie-Ange Trépanier, Marie-Délima Trépanier,
Joseph Trépanier, Ernest Trépanier, Wilfrid Trépanier, Émilia Trépanier,
Gérard-Émile Trépanier, Rosalie Trépanier, Arthur Trépanier,
Donat Trépanier, Marie-Alvine Trépanier, Rose-Hélène Trépanier,
Honoré Trépanier, Stanislas Trépanier, Charles Trépanier,
Marie-Blanche Trépanier, Gérard Trépanier
Suite des informations généalogiques sur les autres documents pour
Marie-Ange Agathe-Léonie Trépanier en première noce avec Arthur Laprise
Marie-Ange-Agathe-Léonie Trépanier en deuxième noce avec Grégoire Deslongchamps
Grégoire Deslongchamps en première noce marié avec Laure Labrecque
Marie-Ange-Agathe-Léonie Trépanier en troisième noce avec Adrien Lessard
Gérard Trépanier marié avec Lucienne Mercier
© Alain Laprise 22 février 2014
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