dimanche 13 juillet 2014

Pensions de nos Élus et Élites du Québec payé par nous les contribuables

  1. 13 juillet 2014 Montréal
  2. Les pensions des députés fédéraux, provinciaux, municipaux, juges, organismes, sous la loupe
Le 25 octobre 2010 à 5h26 | Agence QMI
Mise à jour le 21 février 2013 à 15h53
Brian Lilley
Agence QMI
Les trois élections partielles déclenchées hier coûteront cher aux contribuables, qui devront verser de généreuses pensions à trois anciens élus.
Ces élections partielles sont nécessaires pour pourvoir les postes laissés vacants par trois députés de longue date de la Chambre des communes.


Tous trois ont démissionné pour se lancer sur la scène politique municipale.
Le libéral Maurizio Bevilacqua a quitté Ottawa et convoite le poste de premier magistrat de la Ville de Vaughan, en Ontario.
Le conservateur Inky Mark vise la même fonction dans la ville de Dauphin, au Manitoba, alors que la néo-démocrate Judy Wasylycia-Leis veut devenir la mairesse de Winnipeg, la capitale du Manitoba.
Ces trois courses à la mairie connaîtront leur dénouement cette semaine, mais les Canadiens, pour leur part, verseront une pension à vie aux trois ex-députés.
Une pension de 131 000$


M. Bevilacqua est celui qui recevra la plus importante pension, qui atteindra 131 000 $ par année, à partir de son 55e anniversaire, en 2015.
Mme Wasylycia-Leis et M. Mark, tous deux élus en 1997, ont droit pour leur part à une pension de 68 000$ par année.
La candidate à la mairie de Winnipeg a promis de faire don de sa pension à des organismes de charité si elle est élue mercredi.
D'autres élections partielles seront vraisemblablement déclenchées au cours des prochaines semaines, voire des prochains mois.
Un peu gênant
Aujourd'hui, le député conservateur Jay Hill démissionnera à son tour après 17 ans à Ottawa. M. Hill, qui représente une circonscription du Nord de la Colombie-Britannique, était un député du Reform Party [fusionné avec le Parti progressiste conservateur], qui a été élu en promettant d'abolir les pensions des députés. Il quittera Ottawa avec une pension annuelle de 110 000$.


Le député bloquiste Jean-Yves Roy, qui a annoncé vendredi qu'il ne représentera plus les citoyens de la circonscription de la Haute-Gaspésie-La Mitis-Matane-Matapédia, recevra une pension annuelle de 46 000$.
Le régime de retraite des députés suscite la controverse depuis long-temps en raison de sa générosité. Pour chaque dollar versé par un député dans son régime, les contribuables en ajoutent quatre.
Durant la récession, alors que la plupart des Canadiens ont vu leur régime de retraite perdre de la valeur en raison des marchés boursiers qui vacillaient, celui des députés a, pour sa part, vu sa valeur grimper de 10%.
Les pensions des députés sont indexées à vie et les paiements augmentent au rythme de 3,3% par année. L'inflation au pays se situe en ce moment à 1,9%, selon la Banque du Canada.
Les députés doivent être âgés de 55 ans et plus pour toucher leur pension, mais ils ont droit à une somme de 28 000 $ par année dès qu'ils ont servi au moins six ans à la Chambre des communes.


Pour les députés qui sont élus pendant des décennies, comme ce fut le cas de l'ex-premier ministre libéral Jean Chrétien (1963-1986 et 1990-2003) pendant 36 ans, la pension annuelle est encore plus importante. Le «p'tit gars de Shawinigan» reçoit chaque année une pension d'environ 300 000$.


Gilles Duceppe reçoit 115,000 $ par année et reçoit encore des contrats du provincial.  Nous sucions jusqu'à la dernière senne.
http://argent.canoe.ca/nouvelles/affaires/les-pensions-des-deputes-federaux-sous-la-loupe-25102010
Les députés provinciaux
  1. Pensions: les députés, et élus du Québec ne sont pas en reste
Le 4 mai 2011 à 11h47 | ARGENT
Mise à jour le 21 février 2013 à 15h53
Jean-François Cloutier
Argent
Alors que la Fédération canadienne des contribuables soulignait hier que certains députés fédéraux battus auraient droit à de très généreuses pensions, les députés en poste à l’Assemblée nationale ne sont pas en reste non plus et profitent d’un régime de retraite sans commune mesure avec ce qui a cours dans le secteur privé.
En janvier, l’équipe de l’émission JE avait confié à une spécialiste de l’Université Laval, la professeure en actuariat Claire Bilodeau, la liste de dix anciens et actuels députés et ministres pour qu’elle calcule leur retraite.
L’enquête, qui a requis de savants calculs, avait notamment permis de découvrir que la chef de l’opposition de la ville de Montréal, Louise Harel, avait droit à une rente annuelle estimée à 117 248 $. Mme Harel a été au service de l’Assemblée nationale comme députée et ministre péquiste durant 27 ans.
On apprenait également que le ministre libéral de la Justice, Jean-Marc Fournier, de retour en politique depuis août dernier, pourrait toucher une retraite de 69 599 $ par année à partir de 60 ans pour ces 14 années de service déjà écoulées.
Quant à William Cusano, député du Parti libéral pendant 26 ans, JE révélais qu’il était éligible à la somme de 99 127 $ chaque année. M. Cusano n’a jamais siégé au Conseil des ministres.
Plus avantageux qu’en Ontario
JE soulignais aussi que le régime de pension québécois était plus avantageux que le régime ontarien, dans la mesure où il est à prestations déterminées, alors que le régime des députés ontariens est à cotisations déterminées.
Un régime à prestations déterminées est jugé plus attrayant parce qu’il protège son bénéficiaire en cas d’effondrement des marchés et garantit des revenus stables à la retraite.


En entrevue à Argent, l’expert en rémunération Jérôme Côté, de la firme 37-2, a souligné que le régime à prestations déterminées représentait un archaïsme dans le monde du travail actuel. «La tendance de fond est la disparition progressive de ce type de régime, pour des régimes à cotisations déterminées, beaucoup moins risqués pour l’employeur», dit-il.
M. Côté estime qu’il n’existe à peu près pas d’équivalent à ce qui est offert aux députés provinciaux dans le secteur privé, hormis ce qui est réservé à certains très hauts dirigeants. «Ce sont des régimes très généreux qui représentent une forme de rémunération différée», souligne-t-il.
Un député au provincial reçoit un salaire de base de 85 388$, auquel s’ajoutent diverses primes selon les fonctions cumulées. En cas de non-réélection, un député québécois a droit à une prime de départ de plusieurs dizaines de milliers de dollars.
Monsieur Côté estime que ce type d’avantage financier vise à attirer les meilleurs candidats et à protéger les députés élus de la pression des lobbyistes et des tentatives de corruption. «On ne veut pas qu’ils soient soumis à des pressions indues parce qu’ils manquent d’argent», explique-t-il.


Pensions de retraites des juges, des ex-députés, des élus municipaux, des directeurs d'université, Cégep, Commission Scolaire, Hydro-Québec, SAQ, SAAQ, etc.  Cela n'en finit plus.


Monsieur Jean Charest, le meilleur premier ministre du Québec reçoit lui aussi plusieurs centaines de milliers de dollars par année.  Il a toujours juré qu’il participera complément à la corruption des politiciens sous son règne glorieux.  Mes ministres, députés, maires, directeurs d’organismes savent bien comment ma vie a été sacrifié pour vous tous.
Même Monsieur Gilles Vaillancourt, notre voleur de Laval reçoit une pension de retraite de plusieurs centaines de milliers de dollars par an, même s'il nous a volés durant des années.


Par après nous vous demandons petits cons de peuple de payer plus pour les régimes de retraites car ils sont déficitaires.  Nous, élus et élites nous avons sacrifié toute notre vie à vos dépends.  Il est donc nécessaire et respectable que vous devez tout faire pour que nous gardions tous ces avantages sur vous, chers concitoyens.  Que pourriez-vous faire avec au tant d'argent?  
Vous avez l'habitude de ne rien avoir.  Nous ne voulons pas vous traumatiser avec trop de revenu de retraite.  Nous sommes là, pour vous, et entièrement pour vous dévorer comme des requins glissant sur les vaques de la richesse inépuisable de nos chers contribuables.  Vous devriez vous mettre à genoux, et prier pour notre confort jusqu'à la fin de nos jours.


Serrez-vous un peu la ceinture, contribuée plus au régime de pension de vos employeurs et par surcroit vous aurez l’impression d’avoir fait votre devoir de bons citoyens envers vos élus et l’état.  L’état c’est nous et vous êtes rien.




Alain Laprise 13 juillet 2014

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