Scotstown Chemin Dell, Marsden, Prêtres, Religieux et Religieuses - Troisième partie
Scotstown
Chapitre 3
Pasteurs
Achille Rousseau 1888-1898 Le premier curé de Scotstown est d'un grand dévouement : il organise non seulement la vie spirituelle de ses ouailles mais également la vie sociale, culturelle et morale | |
Joseph-Eugène Lemieux 1898-1906 Son ministère chez nous sera un prolongement bienfaisant de tout ce que le curé Rousseau a semé. | |
Louis-Honoré Nicol 1906-1912 Le curé Nicol est un pasteur bien apprécié des gens même s'il ne semble pas un très bon financier. Il a fondé l'ordre des "Chevaliers de la Tempérance. | |
Joseph-Alcide Vaudreuil 1912-1924 L'Abbé Vaudreuil est un homme sévère qui n'a jamais de demi-mesure: tout doit contribuer à la gloire de Dieu et tout ce qui mérite d'être fait, se doit d'être fait à la perfection. Son idéal consistait à faire de l'église un grand livre ouvert devant Dieu | |
Pierre-Rodrigue Desnoyers 1924-1927 Ce dernier est organisateur, on profitera donc de son passage pour remettre de l'ordre dans les différents dossiers de la paroisse | |
Joseph-Eugène Leblanc 1927-1934 Le curé Leblanc a laissé chez nous le souvenir d'un homme très humain qui aimait taquiner ses collaborateurs en leur jouant différents tours. Il parlait fort, il avait une grosse voix et était bon acteur et bon raconteur | |
Antoine-Léon Ledoux 1934-1943 Il a travaillé très fort chez nous : il nous a laissé le meilleur de lui-même. Il a voulu construire une communauté unie dans la fraternité et la joie de vivre | |
Anatole Bachand 1943-1948 Cet homme est distingué et aristocrate : on dit de lui qu'il était conçu pour la pastorale des grosses paroisses urbaines. Il était gêné, donc gênant
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Adélard Belval, curé 1948-1970 Non seulement a-t-il exercé le mandat le plus long chez nous (22 ans), mais il a travaillé avec acharnement à reconstruire l'église, le presbytère et la salle de quilles. De plus il s'est battu férocement contre la pauvreté | |
L’abbé Adélard Belval Dès 1836, une première église fut érigée dans cette région au village de Victoria. Elle servait à chaque dénomination religieuse. Un pasteur protestant ou un prêtre catholique passait: les gens du village se rassemblaient pour écouter sa prédication sans distinction de religion. Lorsque le prêtre catholique voulait célébrer la messe, il se retirait dans une maison privée avec ses gens. Jusqu'en 1888, Scotstown, petite colonie sise dans le canton de Hampden, était desservie par les prêtres de Cookshire et de La Patrie. En 1888, Mgr Antoine Racine nomma un premier curé résident: l'abbé Achille Rousseau; cependant, l'érection canonique de la paroisse Saint-Paul ne se fit que le 18 mars 1891. Le jeune curé fit bâtir une chapelle et un presbytère. Madame Marie-Ange Cyr Au C.H.S.L.D. du Haut St-François, le 11 février 2002, est décédée madame Marie-Ange Cyr, à l'âge de 91 ans, fille de feu Phileas Cyr et de feu Rose-Anna St-Cyr, demeurant à Scotstown. Madame Cyr repose au cimetière St-Michel de Sherbrooke. Madame Cyr a été servante du curé Adélard Belval durant 24 ans. Elle s'est impliquée dans tous les organismes de sa paroisse. Elle n'a jamais compté ses heures données aux autres particulièrement au moins bien nantis. Elle a donné beaucoup de soins infirmiers à plusieurs familles. | L'abbé Adélard Belval, Arrivé le 3 mai1948, fonda une coopérative d'habitation en février 1949. Il fit construire un nouveau presbytère, terminé à la fin d'octobre 1949. Le 21 mars 1954, Mgr Georges Cabana autorisa la construction d'une nouvelle église, parachevée le 28 août 1955. Le 19 juillet 1974, la foudre tomba sur l'église; les dommages furent limités au toit. Dans cette paroisse, il ya depuis 1932, à l'initiative du curé Joseph-Eugène Leblanc, un sanctuaire dédié à Notre-Dame-des-Victoires. Ce lieu de prières a bénéficié, au cours des ans, de nombreuses améliorations; le 15 août, on y célèbre, de façon grandiose, la fête de l'Assomption de Marie au ciel. De 1985 à 2001, cette paroisse faisait partie de la Zone Saint-Joseph; en 2001, elle a été dissoute et la paroisse Saint-Joseph-des-Monts de La Patrie a été fondée. Ce fonds permet de découvrir l'histoire et les événements qui ont marqués la paroisse de Saint-Paul de Scotstown. Il témoigne également des activités pastorales et de son territoire. Le fonds se compose d'un plan, de rapports financiers, d'un album historique et de documents relatifs à l'érection de la Congrégation de la Sainte-Vierge pour jeunes filles et du Congrès des Dames de Sainte-Anne. |
Lionel Ayotte 1970-1980 L'Abbé Ayotte est un prêtre au coeur d'or qui dispose de plusieurs habiletés: musique, photographie, sports, maison, étant diabétique, sa maladie gagne de plus en plus de terrain sur sa santé | |
Ange-Aimé Montminy 1980-1985 Il nous arrive avec la somme de ses expériences acquises comme professeur, aumônier, animateur de pastorale : certains disent de lui qu'il nous menait comme des enfants d'école, mais au moins on savait où aller." | |
Lionel Lisée 1985-1991 Sa réputation est celle d'un sage qui sait nous conduire sur les voies de l'Évangile. Beaucoup se plaisent à le comparer au saint curé d'Ars. | |
Paul Duncan 1991-1995 Il a ouvert les portes du presbytère et celles de son grand cœur | |
Gilles Baril 1995-1996 Gilles Baril est un homme dynamique et totalement donné à l'œuvre de Dieu. Il est un homme de défi, de communication facile et d'une audace à toute épreuve. | |
François Paré Son passage parmi nous fut de courte durée. Les paroissiens ont su accueillir en lui l'homme de Dieu | |
Daniel Gilbert Jeune prêtre dynamique, passionné, réfléchi, qui sait où il veut aller. Il est un travailleur acharné qui ne compte jamais ses heures |
Madame Irène Mercier
Un grand merci des hommages et de l'ouverture d'esprit que vous avez fait, M. Daniel Gilbert prêtre lors de la cérémonie d'inhumation de notre mère Madame Irène Mercier épouse d'Émile Laprise en mai 2009.
De la part des enfants de la famille Laprise qui vécurent à Scotstown
Léo Durocher Prêtre 2009-2012 | Jocelyn Plante Prêtre 2012 à nos jours |
Vocations religieuses de Scotstown
Laval Girard Fils d'Antonia Dion et d'Albert Girard, né le 26 octobre 1916. | |
Yves-Antonin Girard Fils d'Antonia Dion et d'Albert Girard, né le 12 mai 1927. | |
Bertrand Girard Fils d'Antonia Dion et d'Albert Girard, né le 5 février 1921. Ordonné le 21 Juin 1944. Jusqu'en 1951, il occupa la fonction de jardinier-peintre à Montréal et de 1951 à 1991, il occupa la fonction de cuisinier à Montréal, St-Jérôme et à Akwesasne où il est encore en 2004 | Photo non disponible |
Lucille Désilets Fille d’Yvonne Perreault et de Georges Désilets, née le 4 décembre 1931. Elle prononça ses vœux de profession religieuse chez les Sœurs de la Présentation de Marie. Elle a œuvrée dans l'éducation de 1953 à 1982 à Stanhope, Acton Vale, Coaticook et à Drummondville. En 1982, elle se rendit à Cap Rouge où elle exerça la fonction d'économe et d'animatrice jusqu'en 1987. Depuis, elle cumule des fonctions dans les services communautaires à la Maison-Mère Rivier de Sherbrooke. | |
Clément Roy Fils de Délia Busque et de Ferdinand Roy, né le 28 octobre 1933. Il fut ordonné prêtre dans la cathédrale de Sherbrooke par Mgr Georges Cabana le 23 mai 1959.
Il devint curé à St-Gabriel de Stratford en 1984 et de St-Gérard en 1985.
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Richard Désilets Fils de Yvonne Perreault et de Georges Désilets, né le 18 septembre 1937. Richard Désilet décédé le 3 décembre 1974 à Sumbawanga, en Tanzanie où il a passé la majeure partie de sa vie religieuse. Missionnaires de Sumbawanga en Tanzanie Richard Desilets missionnaire à Sumbawanga en Tanzanie, Connu sous le nom de Pères Blancs. Richard Desilets missionnaire à Sumbawanga en Tanzanie. Connu sous le nom de Pères Blancs. | |
Jean Lebeau Fils de Agathe Blanchette et de Émile Lebeau, née le 28 décembre 1944.
Jean Lebeau directeur d'un centre pour sans-abri à Sanyukaï à Tokyo. Jean Lebeau missionnaire au Japon Jean Lebeau biographie et directeur missionnaire du Sanyukaï, Japon Né à Scotstown, Québec Canada, il quitte son pays natal à l’âge de 27 ans avec la société missionnaire catholique dont il faisait partie et découvre le Japon qu’il ne quittera plus. Après avoir été garçon de café puis concessionnaire, et tout en apprenant le japonais, il se détache doucement de sa carrière de prêtre qui lui était destinée et intègre le Sanyukaï en tant que bénévole. Aujourd’hui, âgé de 65 ans, il compte bien rester au Japon auprès de ces gens de la rue qu’il considère comme des membres de sa propre famille. La société japonaise établit une corrélation entre travail et identité sociale et si l’on perd son travail, on en perd quasiment ses droits. Jean Le Beau, tout comme Kaizuka-san, sont de ceux étant aux antipodes de cette idéologie ; ils m’apparaissent comme des joyaux dans cette société malade de sa modernité. Jean Lebeau biographie et directeur missionnaire du Sanyukaï, Japon Né à Scotstown, Québec Canada, il quitte son pays natal à l’âge de 27 ans avec la société missionnaire catholique dont il faisait partie et découvre le Japon qu’il ne quittera plus. Après avoir été garçon de café puis concessionnaire, et tout en apprenant le japonais, il se détache doucement de sa carrière de prêtre qui lui était destinée et intègre le Sanyukaï en tant que bénévole. Aujourd’hui, âgé de 65 ans, il compte bien rester au Japon auprès de ces gens de la rue qu’il considère comme des membres de sa propre famille. La société japonaise établit une corrélation entre travail et identité sociale et si l’on perd son travail, on en perd quasiment ses droits. Jean Le Beau, tout comme Kaizuka-san, sont de ceux étant aux antipodes de cette idéologie ; ils m’apparaissent comme des joyaux dans cette société malade de sa modernité. | Les pays développés et riches n’échappent évidemment pas au phénomène de l’itinérance. Ainsi, le Japon, la troisième économie mondiale, n’arrive pas à loger convenablement tout son monde. Jean Lebeau, diacre québécois associé à la Société des Missions-Étrangères, travaille depuis 30 ans dans un quartier de Tokyo de Tokyo, au Centre Sanyukaï. Cette organisation comprend une clinique gratuite, une salle de consultation avec des travailleurs sociaux, une équipe qui s'occupe des soupes populaires, en plus d’abriter une vingtaine de personnes. Selon Monsieur Lebeau, « le terme ‘itinérance’ ne reflète pas toute la réalité des sans-abri de la région » de la capital du Japon, une ville de 13 222 760 d’habitants, et dont l’agglomération urbaine compterait… 38 millions d’habitants! Cinq millions de personnes de plus que la population canadienne en 2011 – 33 476 688 millions d’habitants comprimée dans un rayon de 70 kilomètres. La majorité des itinérants japonais sont d’anciens travailleurs journaliers qui ont perdu leur travail – pour plusieurs raisons – dont certains ont fait faillite. « Beaucoup d’entre eux ont fait des emprunts lors du boom économique des années 70 et 80 », indique Monsieur Lebeau. « Lors de la récession des années 90, ils furent du jour au lendemain incapables de rembourser les dettes, ni même les intérêts. » Jean Lebeau, c’est pourquoi « les chômeurs se sauvent à Tokyo, sous un faux nom, et sont incapables de trouver du travail à cause de l'âge, ou du manque de qualifications ». Donc, ils se retrouvent à la rue. Jean Lebeau indique également que le pays a pris du temps à réagir, « parce que le Japon n'a pas d'histoire de services sociaux et de bien-être social » assurés par le gouvernement. Auparavant, c'était la famille ou la compagnie qui s'occupaient des personnes dans le besoin. « Sous la pression des médias, le gouvernement a commencé à bouger, avec des erreurs ou des échecs au début », continue le diacre. « Ce fut en même temps le phénomène de ses milliers de tentes blues en plastiques dans les parcs ou sur les bords des rivières. » Aujourd’hui, Monsieur Jean Lebeau estime qu’il y a une baisse de 70% des personnes sans-abris, « à cause des services du pays, par exemple les nouveaux services de bien-être et aussi les services assurés par les organisations civiles ». Enfin, quel est le jugement social que l’on porte sur ces gens? « Le jugement des Japonais là-dessus varie selon le statut des personnes. Il y a ceux qui travaillent fort et qui les voient comme des paresseux ou des soulards, et d'autres sont plus sympathiques au problème, mais avec une vision assez superficielle », affirme-t-il. |
Marcel Poirier Fils de Lucienne Roy et de Dorès Poirier, né le 3 octobre 1941.
Le Père Poirier a résidé et fut curé à la paroisse de Beauvoir de 1985 à 1993. Il est actuellement à Rome, économe général et personne-ressource des Communautés des Assomptionnistes déjà établies dans les Amériques. Son mandat à Rome se terminera en 2005. Saint Augustin a été baptisé en 386 par Saint Ambroise, à Milan. Il est décédé en 430. Il a occupé les fonctions de prêtre et d’évêque à Hippone. Bien qu’il n’ait pas fondé de congrégation au sens institutionnel du terme, il a constitué une communauté d’hommes ayant pour objectif la recherche de la foi. Ses écrits relatent sa pensée sur la grâce, la foi, la raison et bien d'autres sujets. Le fondateur des Augustins de l’Assomption, le père Emmanuel d’Alzon, s’est inspiré des réflexions d’Augustin pour constituer une communauté d’hommes partageant la vie quotidienne, la recherche de Dieu et le service de l’Église, en 1850. La vie communautaire est un élément important pour les Augustins de l’Assomption. Il ne s’agit pas seulement d’être membre d’une même association, mais aussi de vivre sous le même toit et de vivre le quotidien. En 2010, au Montmartre canadien, deux communautés se côtoient. L’une est composée de 5 personnes âgées entre 29 et 42 ans, dont 3 d’entre eux sont étudiants. L’autre compte 5 personnes dont 3 aînées de plus de 80 ans. Les membres de ses communautés récitent la prière en commun et ont une action commune. Un individu n’est jamais propriétaire de la mission qu’il a reçu: «Même s’il n’y a qu’un seul individu impliqué dans une action, cela demeure une mission reçue de la communauté, en fait une action de la communauté elle-même.» affirme le père Marcel Poirier. Le membre rend compte de ses actions à la communauté et choisit avec elle les orientations qu’il doit prendre. La journée d’un augustin de l’Assomption débute généralement par une méditation ou les laudes. La méditation est une activité commune se déroulant en silence. Lorsqu’elle n’est pas effectuée en commun, chacun trouve un moment pour la faire. Les laudes ou prière du matin, consistent à réciter un passage du bréviaire. Ce livre à l’usage des religieux et des prêtres contient des psaumes, des antiennes, des hymnes et autres prières. Le soir, les vêpres sont également récitées en commun à partir du bréviaire. Cette forme de prière unit la communauté à l’Église universelle. «Actuellement dans le monde il y a certainement quelqu’un en train de réciter son bréviaire.» mentionne le père Marcel Poirier. Une eucharistie est célébrée chaque jour à 11h15 et à laquelle se joignent les fidèles. Il y a donc 3 moments de prières communes. Dans certaines communautés, il n'y en aura qu’une. En raison de leur travail, les Augustins de l’Assomption ne sont pas toujours présents à chacune des eucharisties ou autres activités communes. Marcel Poirier Néanmoins, il importe qu’au moins une ou deux fois par semaine ils participent ensemble à l'eucharistie. L’eucharistie résume la foi et la démarche des chrétiens. Les repas sont communautaires. Il s’agit d’un moment de détente, d’échanges de nouvelles et de relaxation. Ces diverses activités communes assurent la cohésion du groupe : «Chacun a choisi la communauté, mais il n’a pas choisi les individus qui en font partie […] [Pour] vivre avec des gens qu’on n’a pas choisi, il faut qu’il y ait quelque chose d’autres qui nous unit.» soutient le père Marcel Poirier. Certaines communautés vivent une partie de leurs vacances annuelles en commun. Ce n’est toutefois pas le cas au Montmartre canadien où chacun dispose à sa guise de ses trois semaines de vacances. Chaque année, un Augustin de l’Assomption doit faire au moins une retraite spirituelle d'une semaine. L’intégration à la vie quotidienne de la communauté débute avant le postulat. La personne rencontre d’abord la communauté et partage le quotidien avec le groupe pendant quelque temps. Par la suite, il devient postulant. Il est alors invité à penser à la communauté et non plus en fonction de lui-même, par exemple en informant de ses sorties, et ce en préparation du vœu perpétuel d’obéissance. Il est alors accompagné tout au long de son cheminement. Plus tard, il accède au noviciat où il assimile la règle de vie et la spiritualité de la communauté avant d’être intégré à la congrégation, d'abord par des vœux temporaires et plus tard par des vœux perpétuels. |
Monique Robidas Fille d'Alice Bergeron et de Wilfrid Robidas, née le 17 mars 1940.
De retour à Sherbrooke en 1966, el le enseignera à l'école Buissière jusqu'à 1991.
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Madeleine Tétreault Fille de Marie-Claire Beaudoin et de Félix Tétreault, née le 15 Juin 1942.
Elle y demeura jusqu'en 1982 et fut ensuite transférée au Collège Jésus-Marie de Sillery où elle fut directrice des pensionnaires et enseignante à temps partiel au secondaire jusqu'en 1993.
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Colette Beaudoin Fille de Gracia Turcotte et de Gérard Beaudoin, née le 12 mai 1946.
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Marcel Dumoulin Fils de Léo Dumoulin et de Marie-Paule Baillargeon. Fit ses études au Séminaire de Sherbrooke et demeurait chez sa grand-mère Arzélie à Scotstown. Prêtre et curé dans le Diocèse d'Augusta (Maine) durant plusieurs années. Il est à sa retraite depuis fin Avril 2004. Canton-Reverend Marcel L. Dumoulin, 78, a priest of the Diocese of Portland, who died Wednesday, July 30th at the Victorian Villa Rehabilitation & Living Center in Canton, ME. Fr. Dumoulin had suffered from Alzheimer’s Disease for several years.
– Temporary Administrator (June 1976) St. Ann’s Parish, Bradley – Pastor (July 1976-September 1977) St. Gerard’s Parish, Grand Isle – Administrator (started September 1977) Our Lady of Mount Carmel, Lille – named Pastor of both parishes (January 1978-January 1979) St. Francis Xavier Parish, Winthrop – Administrator (January 1979-June 1979) Our Lady of Peace, Berwick – Pastor (June 1979-June 1985) St. Augustine Parish, Augusta – Pastor (June 1985-June 1990) Augusta Mental Health Institute, Augusta (June 1987 – sacramental care) Immaculate Heart of Mary Parish, Fairfield – Pastor (June 1990-until his retirement for reasons of health on May 3, 2004)
Father Prior of the Columbian Squires, Old Town; member of the Diocesan Priests’ Senate (2 terms) and the Council of Priests (1 term); volunteer staff member of the Diocese Marriage Counseling Program and team member for Marriage Encounter weekends; member of the Advisory Board to the Vicar for Religious; Chaplain to the Knights of Columbus Council, Waterville; Faithful Friar to the Knights of Columbus Assembly, Waterville; and Confessor to the Sisters of the Presentation of Mary, Holy Cross Convent, Lewiston and to the Ursuline Sisters of the Mount Merici Convent, Waterville;
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Chantal Rhéaume | Un rallye coup de cœur pour un écrivain a renforcé leurs connaissances de la notion du droit d'auteur. La soupe aux alphabets a sustenté les appétits des plus gourmands (il ne restait plus aucune «lettre» au fond du chaudron...). Mais! Le clou de la soirée... Chantal Rhéaume, conteuse émérite, leur a livré trois récits tirés de la tradition de divers pays. Ils ont prolongé la soirée en pyjama en écoutant Marc-Olivier Poulin et Ariane Valcourt leur lire à tour de rôle une dernière histoire. |
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