mardi 16 avril 2024

Scotstown et Bury- Chemin de Dell, Marsden- Marécage-des-Scots - Cinquième partie

 Scotstown  et Bury- Chemin de Dell, Marsden-  

Le marécage des Scots

Cinquième partie 

Le parc régional du Marécage-des-Scots est un parc régional du Québec inauguré en ? 

Et chevauchant les municipalités de Hampden et Scotstown, dans la  municipalité régionale de comté du Haut-Saint-François, dans la région administrative en Estrie, au Québec 

Le parc régional est situé au nord-ouest du parc national du Mont-Mégantic. Il possède des sentiers polyvalents reliant le parc national à la ville de Scotstown.

Ce parc doit son nom au marécage des Scots qu'il inclut dans ses limites. Ce toponyme a été officialisé le 27 novembre 2015 ce parc 

Le marécage des Scots est un écosystème particulier. Plusieurs arrêts ont été aménagés, à la fois le long de la rivière Saumon et du ruisseau 

McLeod. Ces arrêts présentent des panneaux d'interprétation de la faune, de la flore, de la foresterie et de l'histoire du légendaire train de transport de grumes. Les enfants peuvent entrer dans une réplique du train. 

Ce secteur propose des sentiers de randonnée sur la crête de Franceville ou sur le tout nouveau sentier des escarpements.

Habituellement, le parc est fermé pendant la saison de chasse jusqu'à la mi-décembre. Ensuite, l'accès est autorisé en hiver pour la pratique de la raquette (et du ski de fond) jusqu'au dégel printanier.

Les utilisateurs du parc peuvent y faire du vélo et de la randonnée pour un total de 25 km. 

Le parc offre un 8,3 km sentier graveleux et sinueux polyvalent (à sens unique ou 16,6 km) en zone forestière. 

Les usagers ont également accès à un prolongement d'un autre 4,5 km (aller simple) grâce à un sentier dans le secteur Franceville du  parc National du mont-Mégantic (sentier de la Vallée). Ces sentiers mènent à l'arrêt Beaver.

Le parc compte trois places de stationnement: soit au parc Walter-Mackenzie à Scotstown, au belvédère à la sortie du ruisseau Macleod ou en face de l'entrée Franceville. 

Pour atteindre les deux parkings situés sur le chemin Franceville, il vous suffit de continuer sur 4 km après le village de Scotstown. 

En venant de Sherbrooke par la route 108 ou la route 112 Est, prenez la route 214 jusqu’à Scotstown  et faire une escale à Bury.

 BURY  

Première partie

Population  1230, en Estrie, Québec, Canada bury_house


Cette municipalité tranquille et pittoresque est célèbre pour son ambitieuse parade de la Fête du Canada, considéré comme la plus importante au Québec en dehors de Montréal. 


Fondée dans les années 1830 comme une colonie British American Land Company (BALCO), Bury a été une ville de bois connue sous le nom de Robinson premiers pionniers Écossais. Bien que Gaélique ne soit plus parlé, l'héritage britannique de la colonie est profondément enraciné. Le terrain de golf local, une fois que le terrain de jeu privé du comté de Compton pape célèbre famille, est l'une des plus anciennes au Québec. 

  

Memorial Park derrière historique Old Town Hall au 569, rue Main est un bon endroit pour contempler les souffrances des premiers habitants rencontrés la construction de leur communauté dans ce qui était un village isolé d'exploitation forestière. Le bâtiment en planches blanc éclatant (1865) est un joyau architectural. 

  

Un certain nombre de bâtiments patrimoniaux ornent les rues Main, Stokes et les rues McIver, y compris la brique Fairview School (1907) au 535-A, rue Main, et l'ancienne église unie (1868) à travers la rue. Anglicane St. Paul et St. Raphael églises catholiques sont toujours actifs. De nombreuses générations d'anglophones ont été inhumées dans le cimetière protestant de la rue McIver. BURY_0~1

  

Reconnu comme l'un des plus anciens terrains de golf de l'Estrie le golf Pen-Y-Bryn de la municipalité de Bury vous offre un parcours de neuf trous dans un décor enchanteur.  

  

Le Canton de Bury fut constitué en mars 1803, ce qui déclencha le début de la colonisation de cette contrée. La colonisation débuta lentement, car les terres concédées ne furent pas exploitées immédiatement. Ceci laisse libre cours aux colons qui défrichèrent des terres dans le Canton de Bury sans concession. Ces squatters s’établissent un peu partout dans le canton. 

  

La petite municipalité de Bury regorge de trésors architecturaux ayant conservé leur état d’origine. Les styles variant du vernaculaire au victorien sauront vous impressionner. Sur la route 255, avant d’arriver à Bury, ne manquez pas le belvédère de Brookbury ainsi que la magnifique église St-John à voir au passage. Découvrez l’un des plus anciens golfs des Cantons-de-l’Est  

  

En 1832, la British American Land Company (BALCO) achète toutes les terres non vendues qui sont arpentées du district Saint-François dont le canton complet de Bury. Pour accélérer le peuplement, la (BALCO) entreprend une campagne de promotion et de construction de maisons et de chemins, dont un venant de Sherbrooke. 

Bury St-Paul rest homme


Bury St Pauls Rest Home


De plus, la (BALCO) crée deux villages modèles dans le Canton de Bury, Robinson et Victoria. L’objectif est de peupler ce canton de colons européens, surtout des britanniques. 


Les terres sont vendues, mais les colons les plus modestes peuvent payer leur dû sous forme de travail. C’est à partir de 1834 et ce jusqu’en 1837 que Bury connaît une immigration importante. En 1836, certaines sources avancent le chiffre de 2000 personnes surtout des familles originaires d’Angleterre. Le village de Robinson connaît un certain succès, tandis que celui de Victoria sera un échec dès 1838

  

Par la suite, des familles écossaises viennent s’établir dans le Canton de Bury entre 1838-1840, mais lorsque l’on observe des documents des archives de la municipalité datant de 1851, pas plus d’une dizaine de familles avec un nom à consonance écossaise demeurent encore à Bury. Dans la seconde moitié du XIX e siècle, des norvégiens vont également venir s’établir à Bury. 

  

Tous ces colons vont travailler ensemble à défricher et à développer l’économie de Bury. 


L’agriculture va occuper une grande place dans les activités économiques. L’exploitation de la forêt et sa transformation vont permettre l’établissement de petites entreprises. Ainsi, en 1851, trois moulins à scie sont nécessaires pour répondre à la demande. Par la suite, une fabrique de chariots va s’implanter bénéficiant de la matière première en abondance. L’arrivée du chemin de fer l’International Railway, en 1874, va venir consolider ce développement qui se poursuivra jusqu’au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale.   



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